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Citations sur le mot « siffler »

Il y a 17 citations sur le mot « siffler ».

• C'est ainsi, on ne tire pas sur son passé. Selon qu'on est le fils d'un garde-barrière ou d'une duchesse, quand on se penche sur l'histoire qu'on a vécue, on entend siffler des trains ou sonner des cors de chasse !

• Quand les chats siffleront A beaucoup de choses nous croirons.

• Le politicien est un acteur contrarié, toujours en quête de bravos ; le poète est un spectateur implacable toujours prêt à siffler.

• La psychologie. Quand on se sert de ce mot-là, on a l'air de siffler des chiens.

• Une bouche doit-elle siffler quand une autre le lui ordonne ?

• C'est un droit* qu'à la porte on achète en entrant.

• – Sors une bouteille ou deux de falerne, que demain nous viendrons siffler avec toi. – André Gide – Les Caves du Vatican

• M. Garrido siffle deux coups francs l'un après l'autre, le premier pour une faute de Neeskens, le second pour une main de Van de Korput à une vingtaine de mètres sur la droite du but de Van Breukelen.

• Et Charles IX se remit à siffler tranquillement et plus juste que jamais son air favori.

• On l’entend siffler quand il dort.

• […] ses deux garçons étaient tisserands, et dans ce vieux nid on entendait grincer les métiers et siffler les navettes du matin au soir.

• Quand j’atteignais un rat d’un bon coup de fouet, le ronge-maille sifflait avec fureur, hérissait tous ses poils et s’élançait avec désespoir contre le fouet lui-même, instrument de sa torture […]

• Le pré dégageait une odeur de terreau humide, une marouette sifflait dans les roseaux au sud. Son chant sonnait comme des gouttes d'eau qui tombaient.

• D'où mon irritation contre ceux qui pratiquent le « ne pas se gêner », soit en fumant malgré l'affiche qui l'interdit, […], soit (ceci pour les Américains) en sifflant à tue-tête, sans se soucier un seul instant de ce qu'ils imposent leur sifflerie à une assemblée qui ne la leur demande point.

• Je fus tiré de mes réflexions par le gazouillement d’une grive perchée sur la plus haute branche d’un bouleau. À l’instant, ce son magique fit reparaître à mes yeux le domaine paternel ; j’oubliai les catastrophes dont je venais d’être le témoin, et, transporté subitement dans le passé, je revis ces campagnes où j’entendis si souvent siffler la grive. Quand je l’écoutais alors, j’étais triste de même aujourd’hui ; mais cette première tristesse était celle qui naît d’un désir vague de bonheur, lorsqu’on est sans expérience ; la tristesse que j’éprouve actuellement vient de la connaissance des choses appréciées et jugées. Le chant de l’oiseau dans les bois de Combourg m’entretenait d’une félicité que je croyais atteindre ; le même chant dans le parc de Montboissier me rappelait des jours perdus à la poursuite de cette félicité insaisissable. Je n’ai plus rien à apprendre, j’ai marché plus vite qu’un autre, et j’ai fait le tour de la vie. 

• Contrairement à tout ce qui peut-être annoncé aujourd'hui dans la presse et à la télévision, l'arbitre n'est pas obligé de siffler systématiquement une main dans la surface de réparation. 

• Pour Denis, 27 ans, également abonné de la tribune Auteuil, la décision est plus radicale : « S'il rentre, bien sûr que je vais le siffler. Depuis qu'il est là, il n'a jamais rien donné à ce club ou aux supporters. Il n'a jamais vraiment voulu jouer à Paris. Eh bien qu'il s'en aille, même pour 100 millions d'euros ».