Accueil > Citations > Citations sur le sensuel

Citations sur le sensuel

Il y a 14 citations sur le sensuel.

• Le chocolat est divin, moelleux, sensuel, profond. Noir, somptueux, gratifiant, puissant, dense, crémeux, séducteur, suggestif, riche, excessif, soyeux, doux, luxueux, céleste...

• La plus grande joie d'une femme, dont elle peut tirer les conséquences sensuelles les plus profondes, c'est la certitude que lui donne un homme de sa virilité morale.

• Ce sont les hommes les plus sensuels qui doivent fuir devant les femmes et torturer leur corps.

• Il y a quelque chose d’odieux dans la beauté dès qu’elle prend conscience d’elle-même, dès qu’elle devient sensuelle.

• Ce qui comble, ce n'est pas la passion sensuelle ; c'est la rencontre, c'est l'intimité.

• Tous les hommes sont menteurs, inconstants, faux, bavards, hypocrites, orgueilleux ou lâches, méprisables et sensuels ; toutes les femmes sont perfides, artificieuses, vaniteuses, curieuses et dépravées.

• Les grandes passions, cérébrales ou sensuelles, sont affaires de gens dûment repus, désaltérés et reposés.

• Entre le roman sensuel et le roman sexuel, il y a cet écart essentiel ; que le premier voit dans la vie du sexe la chose la plus curieuse du monde, le second la chose la plus sérieuse du monde.

• La voix de la mer parle à l’âme. Le contact de la mer est sensuel, et enlace le corps dans une douce et secrète étreinte.

• Le désir est sensuel, une manifestation du libre choix ; l’attachement, au contraire, est l’ennemi du libre choix.

• La musique est le seul plaisir sensuel sans vice.

• Il savait que les femmes de l’aristocratie devenaient après leur mariage des meubles de communauté pour la famille et les amis de leur mari. Elles sont d'ailleurs bien trop dévotes pour être sensuelles. Les étrangers n'ont pas beau jeu à ce train de galanterie.

• Il la pénétrait bestialement, dans une hébétude sensuelle qui n’atteignait à la lucidité qu’à la minute où l’on voit, par une nuit d’été, la fusée d’un feu d’artifice fondre en un riche bouquet d’étoiles pâmées qui retombent au néant.

• Une après-midi d’automne, Gervaise, qui venait de reporter du linge chez une pratique, rue des Portes-Blanches, se trouva dans le bas de la rue des Poissonniers comme le jour tombait. Il avait plu le matin, le temps était très doux, une odeur s’exhalait du pavé gras ; et la blanchisseuse, embarrassée de son grand panier, étouffait un peu, la marche ralentie, le corps abandonné, remontant la rue avec la vague préoccupation d’un désir sensuel, grandi dans sa lassitude. Elle aurait volontiers mangé quelque chose de bon. Alors, en levant les yeux, elle aperçut la plaque de la rue Marcadet, elle eut tout d’un coup l’idée d’aller voir Goujet à sa forge.