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Citations sur le secondairement

Il y a 25 citations sur le secondairement.

• Dans le pays dijonnais, la demande solvable de crédit est d'abord une demande de crédit à l'agriculture, ensuite une demande de crédit à la consommation, secondairement enfin une demande émanant de ceux qui se livrent au négoce.

• Pour d’autres auteurs, Manz et Zehender, l’ablépharie est due à une agénésie des ébauches palpébrales; apparaît secondairement une métaplasie au niveau de la matrice cornéenne.

• En milieu méditerranéen, par exemple, l’arbousier apporte avec lui des champignons mycorhiziens qui peuvent coloniser secondairement les racines du chêne vert.

• La sourdine sonore, plus sonore que sourde, sonore par son intensité, mais tournée vers le decrescendo de par son intentionnalité, ne présuppose-t-elle pas un forte préexistant et prédominant, secondairement atténué ?

• Dans le pays dijonnais, la demande solvable de crédit est d'abord une demande de crédit à l'agriculture, ensuite une demande de crédit à la consommation, secondairement enfin une demande émanant de ceux qui se livrent au négoce.

• Si le patient est laissé en appui complet, la fracture peut secondairement se désengrener et se variser.

• Dans le pays dijonnais, la demande solvable de crédit est d'abord une demande de crédit à l'agriculture, ensuite une demande de crédit à la consommation, secondairement enfin une demande émanant de ceux qui se livrent au négoce.

• Les symptômes sont une plus grande fatigabilité, puis une toux, et des troubles cardiaques qui peuvent provoquer secondairement des syncopes.

• Toutes les enzymes sont délivrées dans l’intestin sous forme active, sauf la trypsine produite d’abord sous la forme d’une proenzyme (le trypsinogène), secondairement activée dans la lumière digestive par l’entérokinase.

• La radiomucite est le terme général utilisé pour décrire l’ensemble des réactions inflammatoires et des lésions ulcératives de la cavité orale et de l’oropharynx qui apparaissent secondairement au traitement de radiothérapie, dont elle est la manifestation clinique la plus fréquente et la plus invalidante.

• Ces moments ou ces mécanismes pervers-narcissiques servent plusieurs maîtres à la fois. Précisons-les : — le psychotique soulage sa profonde détresse et sa confusion en ébranlant le fonctionnement psychique d'autrui ; — il agit en « déprédateur », en essayant de subtiliser ou de s'apprioprier des qualités psychiques de l'autre pour trouver un contenant rassemblant ses parties dissociées ; — il a certes un éphémère sentiment de triomphe sur l'objet mais secondairement à l'emprise compulsive ; — il cherche aussi à dénigrer ou à démythifier tantôt la santé psychique, tantôt le savoir sexuel qui lui échappe, tantôt la capacité génitrice et gestatrice de son père et de sa mère.

• La conception de la névrose comme négatif de la perversion est liée à l'hypothèse de composantes excessives subissant le refoulement, détournées de leur but, et dirigées « sur d'autres voies jusqu'au moment où elles s'extériorisent sous la forme de symptômes morbides » dans la névrose. Sa formule ne signifie pourtant pas que la perversion soit le positif de la névrose : le névrosé refoule ce que le pervers met en acte. Elle révélerait donc une sexualité « déculturée » puisque non marquée par le refoulement, non « névrotisée » par l'éducation et la culture. L'acte pervers est ainsi un « acte partiel » par où l'objet est rabaissé au rang « d'objet partiel » sur lequel s'exerce une « pulsion d'emprise », non sexuelle, archaïque, proche du besoin d'étayage et qui ne s'unit que secondairement à la sexualité.

• Emile Benveniste décrit le magisme en quelques mots : « Une cosmologie mazdéenne non réformée, subordonnée au principe du Temps divisé ; le tout harmonisé secondairement avec la réforme de Zarathoustra. Tel paraît avoir été le contenu du magisme. » (3)

• Le vert est, bien sûr, en Russie comme dans de nombreux autres pays, le symbole de la nature, du printemps, du renouveau, de la jeunesse. Mais qu’on ne nous fasse pas dire ce que nous ne disons pas : le vert russe n’est que secondairement l’emblème des écolos, et il n’a rien à voir avec celui de l’islam. Le vert russe est avant tout marqué au coin de l’ambiguïté.

• La messe est d’abord et premièrement le renouvellement non sanglant de la Passion et de la mort du Seigneur ; elle renouvelle le sacrifice du Christ. La double consécration y fait immédiatement référence. Elle rappelle aussi, mais secondairement, la Résurrection et l’Ascension du Christ, intimement liées à sa Passion. Ce lien est explicite, par exemple dans la prière Unde et memores qui suit immédiatement la consécration. 

• Avant 2000 et l’étude de Mari, la surveillance des grossesses à risque d’anémie foetale par alloimmunisation antiérythrocytaire était principalement basée sur la mesure de la bilirubinémie par mesure de l’indice optique à 450 nm. Cette mesure était confrontée au diagramme de Liley modifié secondairement par Queenan afin de juger du risque probable d’anémie foetale et de décider d’une prise en charge invasive(10). En plus du risque lié à l’amniocentèse, chaque geste entraînait une activation de l’immunisation. Cette technique a progressivement été abandonnée au profit de la surveillance échographique exclusive.

• Un calcul biliaire ou lithiase vésiculaire, est une masse semblable à un petit caillou composé de cholestérol cristallisé qui se forme habituellement dans la vésicule biliaire et peut secondairement migrer dans la voie biliaire principale (appelée également canal cholédoque).

•  Une douleur épigastrique peut secondairement se prolonger d'un spasme œsophagien qui peut être confondu avec un angor. Toutefois, les douleurs épigastriques sont rythmées par les repas et sont intenses (sensation de brûlure). Elles peuvent être calmées par certains aliments comme le lait ou des médicaments comme les inhibiteurs de la pompe à protons (IPP). De leur côté, les angines de poitrine se déclenchent à l'effort et ne sont pas rythmées ou calmées par l'alimentation. 

• Pour rappel, dans une interview accordée à nos confrères du journal l’Observateur, le professeur Seydi avait indiqué que les cas asymptomatiques avaient non seulement une charge virale très élevée, mais ils transmettent surtout la maladie aux personnes qui n’ont pas une bonne hygiène des mains, c’est-à-dire qui ne se lavent pas les mains quand il le faut et peut-être secondairement à ceux qui ne respectent pas la distanciation et/ou le port de masque.

• Les principaux arbres allergisants appartiennent aux espèces des familles des bétulacées (aulnes, bouleaux, noisetiers), moracées (mûrier à papier), oléacées (frênes), cupressacées (cyprès) et secondairement aussi des pinacées (cèdres, mélèzes, pins, etc.), salicacées (saules), etc. Ces caractéristiques doivent inciter les services municipaux à leur préférer des espèces de substitution non ou nettement moins allergisantes (érables, copalme, caryer, etc.).