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Il y a 15 citations sur le quelque part.
Quand un mercredi démarre comme un dimanche, il y a quelque chose qui cloche quelque part. John Wyndham
Etre né quelque part Pour celui qui est né C'est toujours un hasard...
Toute sortie est une entrée quelque part ailleurs. Tom Stoppard
On prend toujours un train pour quelque part. Au bout du quai flottent des mains et des mouchoirs. Gilbert Bécaud — On prend toujours un train pour quelque part
Il y a quelque part une poésie de la bêtise. Coluche — Pensées et anecdotes
Les questions éludées vous attendent toujours quelque part. Yvon Rivard — Mort et naissance de Christophe Ulric
Toute route qui mène quelque part est mensongère. Marc Gendron — Jérémie ou le bal des pupilles
Le puritanisme est la crainte épouvantable que quelqu’un puisse être heureux quelque part. Henri Louis Mencken — American Mercury
Quand il lut quelque part que fumer pouvait provoquer le cancer, il arrêta de lire. A. Kirwan
Si vous ne savez pas où vous allez, vous finirez probablement quelque part ailleurs. Laurence Peter — Le principe de Peter
Qu'on le veuille ou non, on va toujours quelque part. Camille Bilodeau — Une ombre derrière le coeur
Ce qui embellit le désert c’est qu’il cache un puits quelque part… Antoine de Saint-Exupéry — Le petit prince
L’art, c’est comme la moralité, ça consiste à tracer une ligne quelque part. Gilbert Keith Chesterton
Les premiers réfugiés ukrainiens en transit vers l’Espagne et le Portugal accueillis ce mardi 8 mars 2022, pour une nuit, à Hendaye aspiraient à trouver un peu de calme. Une immense majorité de femmes et d’enfants. L’une, enceinte de huit mois… Les traits tirés et les regards un peu perdus reflétaient une immense fatigue. Derrière leurs remerciements gênés, une même attente d’enfin pouvoir poser quelque part les maigres affaires emportées dans... SudOuest.fr — Accueil temporaire des réfugiés à Hendaye : Tamara veut « remercier tous les volontaires d’Europe qui aident les Ukrainiens »
Quelque part à Soumy, dans le nord-est de l’Ukraine, Tolu, 21 ans, vit dans un bunker. Elle a faim, et elle ne supporte plus le froid. Pour boire de l’eau potable, elle doit attendre que la neige fonde à l’entrée de son abri. Jamais cette étudiante nigériane n’aurait pensé que son quotidien en Ukraine puisse un jour se transformer en un tel enfer. À Soumy, comme partout ailleurs dans le pays, c’est la guerre. « On se réveille avec le bruit des bombardements Il fait très froid et humide. Nous dormons à même le sol, sur des vieux débris de cartons », souffle Tolu, lors d’un appel téléphonique l’application Telegram. Vanity Fair — En Ukraine, témoignages des étudiants africains pris au piège des bombes et du racisme | Vanity Fair