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Citations sur le pis - Page 2

Il y a 233 citations sur le pis.

• La Julie, lui tournant le dos, était en train de traire et, du pis qu’elle pressait en cadence, le lait tombait dans le chaudron de fer battu avec un roulement semi-argentin de tambour.

• Ça fait trois jours qui neige ben raide pis Les chemins sont bloqués ben dur Avant-hier, on a r'çu des cartes pis On a passé la soirée À r'garder les images qui avaient d'sus Moi, ch'pas pire J'en ai cinq d'accrochés su' mon mur au-d'sus d'mon buck.

• Tenez, vrai comme vous êtes là, j'vas juste prendre le temps de m'faire frapper, voir un brin de la ville et pis revenir ainque su un temps.

• Je revois les grands sombreros et les mantilles Y s’appelait Aimé Grondin Y avait les bras comme des rondins Et pis un torse de Rodin Et pis l’ corps raide comme un sapin Y était fort comme un taureau Mais y était doux comme un agneau La vie lui coulait sur le dos Comme l’eau sur le dos d’un canard sauvage.

• Le premier Maillet à débarquer en Amarique , c'était Jacques à Antoine, et le plus vieux Cormier, Thomas à Robert. Robert pis Antoine sont point venus, ils ont resté au vieux pays.

• En 1978, le chansonnier américain David Allan Coe a connu un succès mondial avec son tube Take this job and shove it (qu’on pourrait librement traduire par : « Prends ta job, pis fourre-toi-là dans l’cul... »).

• Je suis un crottéUn égocentréJe suis un pas d’coeur, un pas d’classe, un charmeurCourrailleux, va-nu-pieds, pis j’tappelle justeQuand j’ai un lift à t’téterQuand j’ai l’goût de m’coller su’ toéQuand j’ai pas une cenne, que j’veux boire pis fumer […]

• Quant aux autres membres du sacré collège Tonto, Lanfranco , Philonardo et quelques-uns de leurs collègues, ce serait pis encore si on leur demandait quelle profession ils exerçaient avant de passer cardinaux , l'un était sonneur d'orgues à l'Oratoire, et recevait quinze jules de traitement par mois; l'autre était guérisseur de vérolés dans un carrefour de Naples; le seigneur Philonardo était souteneur de filles dans un bordeau; un quatrième était chef d'une bande de voleurs, […].

• La Julie, lui tournant le dos, était en train de traire et, du pis qu’elle pressait en cadence, le lait tombait dans le chaudron de fer battu avec un roulement semi-argentin de tambour.

• S'il faut aller au cimetièreJ'prendrai le chemin le plus longJ'ferai la tombe buissonnièreJ'quitterai la vie à reculonsTant pis si les croqu'-morts me grondentTant pis s'ils me croient fou à lier.

• Tant pis pour ceux qui ont pris part à la curée ; tant pis pour ceux qui se sont rués sur « l’assiette au beurre » « pour s’en fourrer jusque-là !… ». […] Dentistes ! Vous tournerez le feuillet, vous dont « l’assiette au beurre » a été le fort d’Issy avec ses obus et ses bombes !

• Il n’est rien de pis que la délectation morose, que la passivité dans le taedium vitae.

• Les uns ont tout perdu au jeu, ou à la bourse, et se sont tués; les autres sont morts de noce, tout simplement. Que voulez-vous? Ma foi, tant pis pour eux : comme on fait son lit, on se couche

• oh pis si ils te rembarrent, tu les rerembarre, va pas nous casser le pattes, non plus:! (sic, réécrit en corrigeant les fautes d'orthographe, cela donne : oh, pis, s'ils te rembarrent, tu les rerembarres, vas pas nous casser les pattes, non plus :)

• Mais pas pire que moi, la mienne est décédée, je l’ai ranimée, elle est redécédée, je l’ai reranimée et elle est reredécédée pis je l’ai plus rereranimée lolllllll

• N’ai-je pas un aspirateur tout neuf avec une flopée de bidules adaptables pour gober même les poussières invisibles. Je ferai un effort tant pis si extraire l’engin du placard, monter, changer les bidules, reranger, bouffe trois plus de temps qu’un coup de balai.

• Tant pis pour la France, qui, au lieu de se Rochefortiser, ferait bien mieux de se légitimiser !

• Texte original : la premiere conciste a faire des donjon sur l’ile doto ( selon votre lvl vous avez plus ou moin de donjon a faire ) pis vous aller voir oto et vous restater : vous restater soit vos caracteristique (totalement ou partielement ) soit vos sorts.

• J'avions connu Ernest Turcotte / Qui vivait entre de beaux bois ronds / Qui parlait aux arbres et aux taons / Qui chaque matin chaussait ses bottes / Pour aller comme Ti-Jean Hébert / Fendre la forêt avec ses nerfs / Qui n'avait pas de chainsaw / Qui avait hache et bucksaw / Pis des bras durs comme la roche / Pis des cuisses comme des troncs d'arbre / Pis du front tout le tour de la tête / Pis qui n'était pas si bête

• Viens icitte, i'm reste une chaloupe pis un moteur pour toé.

• Vous dormez comme un peuple de poteux dépressifs , obsédés par vos pères qui ne vous ont pas assez aimés pis vos mères qui vous protégeaient trop , suicidaires en hiver et légumes en été , critiqueux sans épine dorsale , petits gérants d’estrade dans un stade qui ne vous appartient même plus génération de nouveaux moutons électriques qui se laissent manger la laine sur le dos par une corporation étrangère qui a donné une grosse enveloppe brune pour faire de vous des esclaves modernes.

• Un beau banc, avec son marchepied, son numèro, pis sa petite planche pour y attoquer son livre de messe.

• Teinté musicalement d’exotisme le répertoire se « cajunise » —tant pis pour les cajuns de Louisiane— parfois il « québécoise » ou s’« irlandaise » sous les guirlandes… — (Roger Siffer, ‎Jacques Erwan, ‎Marc Legras, Alsace/Elsass, 1979)

• Qui c’est est venu câliboirer de l’asphate pis du béton partout?

• Qu’entend ce rustre, et que nous veut-il dire ?S’écria lors une de nos sans-dents.Quoi tu n'es pas notre faiseur d'enfants ?Tant pis pour toi, tu paieras pour le sire.

• Il est superbe Martine ton petit cache cœur, moi j’ai voulu le faire en coton pour ma puce et il s’élampe ! Tant pis à refaire en laine quoi !!! Rires !

• Impossible de mettre la main dessus pour l'éjecter ce maudit cafard. Il est partout; omniprésent. C'est pas la faute des murs, de l'éclairage, de la musique, du plastique jaunasse merdâtre qui recouvre les tabourets pis les tables. C'est pas la faute des tantes, des pédés, des artistes de l'arabesque sur le plancher de danse.

• Ça fait que l’pére à Guérard, Henri Demeules, y m’a changé les oignons pour un habillement de serge bleue, une paire de souyers noirs, des beaux chaussons noirs, pis des lacets neufs, des bartelles de police de Montréal, une ch’mise en coton blanc, pis une damnée belle cravate en soie grise avec une épingle, une vraie perle à collier pour accrocher après...

• Une attitude de mécréant !… Pis ! de défi. Je vous disais bien que c’était une manre bête. Sa grandeur, du haut de sa calèche, le voit, fait arrêter les chevaux, descend et va truver l’homme au milieu des lisettes.

• La bonne façon de faire c'est de framer le mur a 1" foam pis mettre d’la R-12(3.5" d'épais) dans le mur en 2x3.

• Au yabe les termes su' vingt-cinq ans, on vend-tu tout' pis on crisse notre camp?

• Ma lumière discollectée pis mon eau est pas payée. Y'ont pas besoin d'v'nir m'achaler, m'a les sâprer en bas d'l'escalier

• Au pis aller, un chef, lui, pourrait faire « déféticher » l’objet, la statuette, mais le simple habitant de la brousse devrait payer une certaine contribution ou effectuer un sacrifice pour cette cérémonie de « défétichement » indispensable dans ces cas, à célébrer par le féticheur.

• Si t’as ton gars à temps plein, pis que tu ne peux plus te pointer, ramasse tes cliques pis tes claques, pis sayonara ma guédaille.

• Ben quiens ! Pis le nom lui est resté!

• Le crépi se débrette pis ça l'air de la marde avec le temps.

• Et pis mon Shepard (métis comme moi) l'a dé-racistisé la Ashley LoL...

• Bravo, et, oui, tant pis pour Nabe. Qui se mêle de péremptoiriser sur des matières – la politique, l’histoire – où il est remarquablement nul.

• – C’est rien que de l’ouvrage comme ane autre, ça… J’ai déjà vu pire… quand j’ai passé sous les billots, y a 12 ans, aux Chutes des Cinq, dans la rivière Mattawin… Y en avait ben un mille de cordé… J’veux donner la chance à un jeune de se sauver, la « jam » avance d’un pied, je saute, et v’lan dans l’rapide. J’sus sorti tout nu en bas d’la chute. C’était plus risqué qu’icite. J’dois vous dire que j’avais eu moins chaud… Mes hommes y m’crayaient nayé et en m'voyant tous se signaient. J'leur crie : « Tabarnac ! c’est moé, j’sus pas un fantôme. Trouvez-moé des habits... L'maudit courant y m’a déculotté... J’ai pus rien que mes bottes... Pis donnez-moé du tabac et des allumettes. Dépêchez-vous ; c’est vré qu’y a pas d'femmes avec nous autres, mais j'sus toujours pas endimanché !...

• — On se rejoint à la maison. Pis pas de niaisage. — (Patrick Senécal, Hell.com, Éditions Alire, Québec, 2009, page 130)