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Citations sur le pigeon voyageur

Il y a 35 citations sur le pigeon voyageur.

• Autrefois utilisé comme pigeon voyageur, le pigeon biset est identifiable grâce à son bec noir et ses yeux rouges. Son plumage est majoritairement gris avec deux traits noirs sur les ailes. On retrouve également sur les plumes du pigeon biset des taches vertes au niveau du cou.

• Un acheteur chinois a acheté aux enchères ce pigeon voyageur issu d'un élevage belge.

• Même si le sens de l’orientation est inné chez le pigeon voyageur, il peut être développé grâce à des entraînements. Les éleveurs commencent à entraîner leurs pigeonneaux vers l’âge de trois mois. Ils les transportent de plus en plus loin du pigeonnier, dans différentes directions, puis les libèrent pour vérifier s’ils retrouvent leur chemin.

• Un pigeon voyageur a décidé de passer quelques heures sur la commune de Saint-Maurice-sur-Moselle, au lieu-dit La Goutte du Rieux, sur l’impasse des Roches. Ce pigeon était bagué. Après un moment de repos, il a repris sa route vers d’autres horizons. Ce pigeon possédait deux bagues, une indiquant son matricule et l’autre les coordonnées de son propriétaire.

• Car le pigeon rentre toujours même blessé – ça s'est vu – à l'endroit où il a été élevé. Et en plus d'être casanier, le pigeon voyageur est monogame, il revient toujours auprès de sa dame. À l'ère des drones et des satellites, le pigeon est-il vraiment anachronique ? La Jordanie signalait l'an dernier l'utilisation de pigeons voyageurs par Daesh, la Chine en achète donc par brassée, au cas où. Et toujours l'an dernier, un historien militaire américain, Frank Blazich titrait un de ses articles : "à l'heure de la guerre électronique, recrutez des pigeons".

• Un pigeon voyageur venu de Francfort en Allemagne a élu domicile depuis trois semaines dans le jardin d’un couple de retraités à Épinal. À chaque fois qu’ils tentent de le relâcher, il revient dans leur jardin. Itinéraire d’un pigeon de compétition qui vient d’un élevage reconnu en Allemagne.

• L’idée d’un musée dédié au pigeon voyageur avait germé dans les esprits des colombophiles cailarens depuis quelque temps. Ils ont donc décidé d’exposer les éléments reçus en cadeau et d’en faire profiter les personnes intéressées.

• Les membres du Messager Hombourgeois se sont retrouvés, dimanche 26 septembre à Hombourg-Haut, avec leurs partenaires allemands autour de leur passion commune pour le pigeon voyageur. L’occasion pour le président Christophe Glomb de s’interroger sur l’avenir de la colombophilie.

• L’avantage avec un pigeon voyageur, c’est qu’il revient toujours là où il est né, nourri, entraîné et là où il a ses petits. Rien à voir avec les pigeons de ville, porteurs de maladies, qui errent de toits en places et en balcons sans attache particulière, et qui sont honnis par tout colombophile passionné et rigoureux.

• Un pigeon voyageur est parti en 1910 de la région d’Ingersheim pour acheminer un message portant sur des manœuvres de l’armée allemande. La capsule enfermant le document vient d’être découverte par un promeneur.

• « Comparer un pigeon que vous voyez dans la rue à un pigeon voyageur, c’est comme comparer un âne à un cheval de course », prévient Philippe Guilhem-Pourqué. Le Palois de 63 ans reconnaît chacun de ses 145 athlètes à plumes, sans avoir besoin de jeter un coup d’œil au numéro accroché à leur patte.

• Le pigeon voyageur qui avait trouvé refuge chez Yves et Marie-Thérèse François est enfin rentré chez lui, en Allemagne, dans la région de...

• Vincent Thellier vit un rêve éveillé. Son pigeon voyageur, une femelle portant le nom de Marilyne, vient de remporter au national allemand le prestigieux concours de Barcelone. Elle a été constatée à 5 h 25, après un vol de 918 km, avec une vitesse moyenne de 937 m/minute.

• Il est devenu dimanche l'oiseau de son espèce le plus cher au monde. Un pigeon voyageur dressé en Belgique, vedette des concours de colombophilie, a été vendu dimanche plus de 1,25 million d'euros lors d'une vente aux enchères en ligne. C'est le site spécialisé Pigeon Paradise (Pipa) qui a annoncé ce record mondial à l'actif du dénommé Armando, pigeon flamand mâle de l'élevage de Joël Verschoot, un des plus réputés du pays.

• Samedi matin, la société colombophile de Saint-Brieuc accueillait le congrès annuel des colombophiles des départements bretons au restaurant « L’épisphère ». La soixantaine d’éleveurs de pigeons présente a fait le point sur cette activité très réglementée. Parmi les sujets évoqués : les lieux de lâchers de pigeons voyageurs, l’orientation et les champs magnétiques terrestres, la position par rapport au soleil, les concours (de mai à juillet), les croisements, la génétique et le fait que le pigeon voyageur ne peut survoler les mers, point important pour les éleveurs finistériens.

• Aujourd'hui, le pigeon voyageur n'a plus le rôle de messager. La colombophilie est devenue un passe-temps. Mais les courses ne sont pas sans risque: attaque de rapace, mauvaises conditions météorologique, collisions avec des lignes à haute tension. Certains oiseaux ne retrouveront jamais leur chemin en raison des ondes qui balaient le territoire et qui perturbent le sens de l’orientation des pigeons.

• Issu de la famille des columbidés, le pigeon voyageur se caractérise par son sens aigu de l’orientation et sa capacité à revenir promptement à son colombier. Même si tous les mystères de cette incroyable particularité n’ont pas encore été percés, la découverte scientifique de cristaux de magnétite dans son cerveau pourrait expliquer son aptitude à se repérer par le champ magnétique terrestre.

• En novembre dernier, un pigeon voyageur a été vendu plus de 2 millions de dollars à un acheteur chinois. Cette transaction spectaculaire a ravivé la curiosité pour la colombophilie. Loin de battre de l’aile, ce passe-temps pour papis s’est transformé en une véritable industrie où des sommes astronomiques sont désormais en jeu. Surtout en Belgique, où le « sport » a été inventé…

• Le pigeon voyageur ne sait voyager que dans un sens : de l’endroit où il est libéré vers le pigeonnier où il a été élevé. Les colombophiles commencent à entraîner leurs pigeonneaux vers l’âge de trois mois. Ils les transportent de plus en plus loin du pigeonnier, dans différentes directions, puis les libèrent pour vérifier s’ils retrouvent leur chemin. Cet oiseau a la faculté de repérer sa position par rapport à son pigeonnier malgré des distances importantes. S’il est lâché à 1 000 km de son pigeonnier, il trouve quand même le chemin du retour.

• A partir de ces données, il est alors possible de calculer la vitesse du pigeon voyageur. Dimanche 18 juillet, certains pigeons de René Tixier ont ainsi rallié Hoegaarden en Belgique à Guéret, soit 561 km, en 6 heures. Ce qui nous donne une vitesse moyenne de 93km/h. Le Guérétois a donc terminé premier parmi les 26 colombophiles limousins.