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Citations sur le nouvelle - Page 2
Il y a 73 citations sur le nouvelle.
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Nous ne conduisons jamais bien la chose de laquelle nous sommes possédés et conduits. Celui qui n’y emploie que son jugement et son adresse il y procède plus gaiement : il feint, il ploie, il diffère tout à son aise, selon le besoin des occasions ; il manque le but, sans tourment et affliction, prêt et entier pour une nouvelle entreprise ; il marche toujours la bride à la main.
Montaigne — Essais -
Une humanité nouvelle —grâce à la Science des Perturbations — prend le départ sur les chapeaux de roues de la fortune, celle-ci inversement partagée entre les individus.
Marcel Sauvage — Gardiens de la parole -
Après les constatations de Gay-Lussac sur le manque d'oxygène dans les récipients clos, l'opinion de Needham avait droit de ressurgir avec une force toute nouvelle.
J. Rostand — Genèse vie -
On en essaye quelques milliers au camp de Châlons [des fusils à aiguille] avec une poudre nouvelle, plus extraordinaire que la poudre de perlimpinpin.
Prosper Mérimée — Lettres Panizzi -
O nuit désastreuse ! ô nuit effroyable, où retentit tout à coup comme un éclat de tonnerre cette étonnante nouvelle : Madame se meurt ! Madame est morte !
Jacques Bénigne Bossuet — Oraison funèbre d’Henriette d’Angleterre -
Je ne pouvais plus avoir de doutes, l'abbé Sérapion avait raison. Cependant, malgré cette certitude, je ne pouvais m'empêcher d'aimer Clarimonde et je lui aurais volontiers donné tout le sang dont elle avait besoin pour soutenir son existence factice. D'ailleurs, je n'avais pas grand-peur; la femme me répondait du vampire, et ce que j'avais entendu et vu me rassurait complètement; j'avais alors des veines plantureuses qui ne se seraient pas de sitôt épuisées, et je ne marchandais pas ma vie goutte à goutte. Je me serais ouvert le bras moi-même et je lui aurais dit : « Bois ! et que mon amour s'infiltre dans ton corps avec mon sang! ». J'évitais de faire la moindre allusion au narcotique qu'elle m'avait versé et à la scène de l'aiguille, et nous vivions dans le plus parfait accord. Pourtant mes scrupules de prêtre me tourmentaient plus que jamais, et je ne savais quelle macération nouvelle inventer pour mater et mortifier ma chair. Quoique toutes ces visions fussent involontaires et que je n'y participasse en rien, je n'osais pas toucher le Christ avec des mains, aussi impures et un esprit souillé par de pareilles débauches réelles ou rêvées. Pour éviter de tomber dans ces fatigantes hallucinations, j'essayais de m'empêcher de dormir, je tenais mes paupières ouvertes avec les doigts et je restais debout au long des murs, luttant contre le sommeil de toutes mes forces; mais le sable de l'assoupissement me roulait bientôt dans les yeux, et, voyant que toute lutte était inutile, je laissais tomber les bras de découragement et de lassitude, et le courant me rentraînait vers les rives perfides.
Théophile Gautier — La Morte Amoureuse -
Aucun homme ne peut parler des femmes, cher, parce qu'aucun homme ne comprend que tout nouveau maquillage, toute nouvelle robe, tout nouvel amant, proposent une nouvelle âme...
Malraux — Condition humaine -
Pour caractériser mon drame je me suis servi d’un néologisme qu’on me pardonnera car cela m’arrive rarement et j’ai forgé l’adjectif surréaliste qui ne signifie pas du tout symbolique comme l’a supposé M. Victor Basch, dans son feuilleton dramatique ; mais définit assez bien une tendance de l’art qui si elle n’est pas plus nouvelle que tout ce qui se trouve sous le soleil n’a du moins jamais servi à formuler aucun credo, aucune affirmation artistique et littéraire.
Guillaume Apollinaire — Les Mamelles de Tirésias -
Un soir, étant entré au casino, le narrateur du présent récit entend, avec surprise, un bruit singulier, celui d'un craquement ou d'un claquement de doigts qui se brisent. Il s'approche de la table d'où lui parvient ce bruit. Zweig réussit merveilleusement bien à nous rendre l'atmosphère fébrile qui règne dans le casino et la tension particulière du joueur qu'il observe.C'étaient des mains d'une beauté très rare, extraordinairement longues, extraordinairement minces, et pourtant traversées de muscles extrêmement rigides - des mains très blanches, avec, au bout, des ongles pâles, aux dessus nacrés et délicatement arrondis. Je les ai regardées toute la soirée, oui, je les ai regardées avec une surprise toujours nouvelle, ces mains extraordinaires, vraiment uniques ; mais ce qui d'abord me surprit d'une manière si terrifiante, c'était leur fièvre, leur expression follement passionnée, cette façon convulsive de s'étreindre et de lutter entre elles. Ici, je le compris tout de suite, c'était un homme débordant de force qui concentrait toute sa passion dans les extrémités de ses doigts, pour qu'elle ne fît pas exploser son être tout entier. Et maintenant..., à la seconde où la boule tomba dans le trou avec un bruit sec et mat et où le croupier cria le numéro ..., à cette seconde les deux mains se séparèrent soudain l'une de l'autre, comme deux animaux frappés à mort d'une même balle.
Stefan Zweig — vingt-quatre heures dans la vie d’une femme -
Après un examen minutieux de chaque partie de la maison, qui n’amena aucune découverte nouvelle, les voisins s’introduisirent dans une petite cour pavée, située sur le derrière du bâtiment. Là gisait le cadavre de la vieille dame, avec la gorge si parfaitement coupée, que, quand on essaya de le relever, la tête se détacha du tronc. Le corps, aussi bien que la tête, était terriblement mutilé, et celui-ci à ce point qu’il gardait à peine une apparence humaine.Toute cette affaire resta un horrible mystère, et jusqu’à présent on n’a pas encore découvert, que nous sachions, le moindre fil conducteur.
Edgar Allan Poe — Double assassinat dans la rue Morgue -
Ce qui explique en partie leur attitude à l’égard de la nouvelle grille des salaires et de l’avancement au mérite. Comme dit l’un d’eux: « À trente et un ans, je suis T4. En fait, je suis déjà au taquet jusqu’à la fin de ma carrière. »
Le Monde — 28-29 déc. 1986 -
Sur ces paroles, qui empruntaient à la bouche d’où elles étaient émanées une autorité sibylline, les matelots se regardèrent furtivement (…).Encouragé par les signes de ses camarades, Pompon-Filasse se décida cependant à faire une nouvelle tentative pour rompre le silence inquiétant de Bertrand.— Maître ? dit-il timidement.— Qu’est-ce qu’il y a, mon garçon ?— C’est y vrai que vous avez servi dans le temps sur le plancher des vaches et que vous vous êtes croché avec les terriens anglais.
Edmond Rousseau — La Monongaléha -
Chère Isabelle, chère Ghislaine, mille mercis de m'avoir fait une nouvelle fois confiance dans l'écriture de ce livre... Chère Marie, mille mercis pour votre vigilance, vos précieux conseils et votre sympathie...
Élise Delprat — Range ta vie ! -
Voilà une bonne besogne, tu n’as pas perdu ta journée, et pourtant lorsque ta nouvelle maîtresse te quittera ce soir, que lui diras-tu au moment des aurevoirs ?
Maurice Donnay — Chères madames -
Je trouve les caprices de la mode, chez les Français, étonnants. Ils ont oublié comment ils étaient habillés cet été ; ils ignorent encore plus comment ils le seront cet hiver : mais surtout on ne saurait croire combien il en coûte à un mari, pour mettre sa femme à la mode.Que me servirait de te faire une description exacte de leur habillement et de leurs parures ? Une mode nouvelle viendrait détruire tout mon ouvrage, comme celui de leurs ouvriers ; et, avant que tu eusses reçu ma lettre, tout serait changé.
Montesquieu — Les Lettres persanes -
Une nouvelle dans tous les sens du mot peut-être parce que ces situations imprévues nous forcent à entrer plus profondément en contact avec nous-même, ces dilemmes douloureux que l'amour nous pose à tout instant, nous instruisent, nous découvrent successivement la matière dont nous sommes fait.
Marcel Proust — À la recherche du temps perdu -
Autant dire qu'une nouvelle théologie est née qui ne perd plus de temps en discussions stériles sur le sexe des anges.
Stéphane Zagdanski — Les Intérêts du temps -
Je trouve les caprices de la mode, chez les Français, étonnants. Ils ont oublié comment ils étaient habillés cet été ; ils ignorent encore plus comment ils le seront cet hiver. Mais, surtout, on ne saurait croire combien il en coûte à un mari pour mettre sa femme à la mode.Que me servirait de te faire une description exacte de leur habillement et de leurs parures? Une mode nouvelle viendrait détruire tout mon ouvrage, comme celui de leurs ouvriers, et, avant que tu n’eusses reçu ma lettre, tout serait changé.Une femme qui quitte Paris pour aller passer six mois à la campagne en revient aussi antique que si elle s’y était oubliée trente ans. Le fils méconnaît le portrait de sa mère, tant l’habit avec lequel elle est peinte lui paraît étranger; il s’imagine que c’est quelque Américaine qui y est représentée, ou que le peintre a voulu exprimer quelqu’une de ses fantaisies.Quelquefois, les coiffures montent insensiblement, et une révolution les fait descendre tout à coup. Il a été un temps que leur hauteur immense mettait le visage d’une femme au milieu d’elle-même. Dans un autre, c’étaient les pieds qui occupaient cette place : les talons faisaient un piédestal, qui les tenait en l’air. Qui pourrait le croire ? Les architectes ont été souvent obligés de hausser, de baisser et d’élargir les portes, selon que les parures des femmes exigeaient d’eux ce changement, et les règles de leur art ont été asservies à ces caprices. On voit quelquefois sur le visage une quantité prodigieuse de mouches1, et elles disparaissent toutes le lendemain. Autrefois, les femmes avaient de la taille et des dents ; aujourd’hui, il n’en est pas question. Dans cette changeante nation, quoi qu’en disent les mauvais plaisants, les filles se trouvent autrement faites que leurs mères.Il en est des manières et de la façon de vivre comme des modes : les Français changent de mœurs selon l’âge de leur roi. Le Monarque pourrait même parvenir à rendre la Nation grave, s’il l’avait entrepris. Le prince imprime le caractère de son esprit à la Cour; la Cour, à la Ville, la Ville, aux provinces. L’âme du souverain est un moule qui donne la forme à toutes les autres.De Paris, le 8 de la lune de Saphar, 1717
Montesquieu — Lettres persanes -
CAMILLE, lisant.Perdican me demande de lui dire adieu, avant de partir, près de la petite fontaine où je l’ai fait venir hier. Que peut-il avoir à me dire ? Voilà justement la fontaine, et je suis toute portée. Dois-je accorder ce second rendez-vous ? Ah ! (Elle se cache derrière un arbre.) Voilà Perdican qui approche avec Rosette, ma sœur de lait. Je suppose qu’il va la quitter ; je suis bien aise de ne pas avoir l’air d’arriver la première.(Entrent Perdican et Rosette, qui s’assoient.)CAMILLE, cachée, à part.Que veut dire cela ? Il la fait asseoir près de lui ? Me demande-t-il un rendez-vous pour y venir causer avec une autre ? Je suis curieuse de savoir ce qu’il lui dit.PERDICAN, à haute voix, de manière que Camille l’entende.Je t’aime, Rosette ! toi seule au monde tu n’as rien oublié de nos beaux jours passés ; toi seule tu te souviens de la vie qui n’est plus ; prends ta part de ma vie nouvelle ; donne-moi ton cœur, chère enfant ; voilà le gage de notre amour.(Il lui pose sa chaîne sur le cou.)ROSETTEVous me donnez votre chaîne d’or ?PERDICANRegarde à présent cette bague. Lève-toi et approchons-nous de cette fontaine. Nous vois-tu tous les deux, dans la source, appuyés l’un sur l’autre ? Vois-tu tes beaux yeux près des miens, ta main dans la mienne ? Regarde tout cela s’effacer. (Il jette sa bague dans l’eau.) Regarde comme notre image a disparu ; la voilà qui revient peu à peu ; l’eau qui s’était troublée reprend son équilibre ; elle tremble encore ; de grands cercles noirs courent à sa surface ; patience, nous reparaissons ; déjà je distingue de nouveau tes bras enlacés dans les miens ; encore une minute, et il n’y aura plus une ride sur ton joli visage : regarde ! c’était une bague que m’avait donnée Camille.
Alfred de Musset — On ne badine pas avec l’amour -
Me remettre en question et faire le point sur ma vie me permet de mieux me protéger d’abord. Me protéger face aux gens narquois, mesquins et manipulateurs qui ont su par le passé profité de ma gentillesse — ce qui m’a d’ailleurs longtemps fait souffrir. Ensuite, faire le point pour me reconstruire. Reconstruire une nouvelle vie sera certainement indispensable. À moi de faire de mon mieux. Enfin, faire le point pour vivre mieux.
Nathéo Dillenseger — Tout près du vide -
Chaque génération nouvelle, chaque homme nouveau doit redécouvrir laborieusement l'activité de pensée. Longtemps, pour ce faire, on put recourir à la tradition. Or nous vivons, à l'âge moderne, l'usure de la tradition, la crise de la culture.
Hannah Arendt — La crise de la culture -
Étant à la maison, assise à table dans son attitude rigide nouvelle tandis que le mari, le dos tourné, la chemise sortant du pantalon, les mains enfouies dans les poches, muet, se contentait de toussoter de temps en temps et que son plus jeune fils sur le divan, dans un coin, lisait un album de Mickey, les doigts dans le nez, là, elle cognait méchamment du doigt sur la table souvent et soudain mettait les mains sur ses joues.
Peter Handke — Le Malheur indifférent -
Après les années zouglou et le succès retentissant du coupé-décalé, le rap s’impose comme un nouveau genre musical de premier plan en Côte d’Ivoire et espère percer au-delà des frontières du pays. Au Palais de la culture, l’une des plus grandes salles de spectacle d’Abidjan, une longue file de plusieurs centaines de personnes s’étire, des heures avant le début d’un concert très attendu.
Le Monde.fr — Au pays du zouglou et du coupé-décalé, le rap ivoirien trace son sillon -
L'histoire que nous remonte David Grann c'est celle d'une partie de la communauté indienne osage au début du XIXe siècle. Le gouvernement américain leur attribua de nouvelles terres qui s'avérèrent très vite être des réserves de pétrole. Propriétaires de ces terres, Mollie et ses sœurs osages sont devenues richissimes du jour au lendemain, dès lors que ces parcelles furent exploitées. Nombreuses mariées à des Blancs. Mais l'ironie de l'histoire se retourne rapidement contre ces riches Indiennes qui deviennent l'objet de meurtres sanglants et irrésolus à répétition.
Libération — «La note américaine» : osages, ô désespoir, le drame des Indiens de l’Oklahoma – Libération -
Présenté par Paolo Banchero, le premier choix de la dernière Draft et nouveau visage de la franchise d’Orlando, le nouveau maillot « Statement » du Magic fait dans la sobriété : du bleu, la couleur primaire du club, et les habituelles « pinstripes », ces rayures verticales noires.
Basket USA — Un nouveau maillot « Statement » qui mêle les époques pour le Magic | NBA -
La société de courtage CLSA basée à Hong Kong publie un indice Feng Shui ironique avant le Nouvel An lunaire qui utilise le zodiaque chinois pour prédire la performance des actions et reste populaire parmi les investisseurs.
Crumpe — Le régulateur chinois réprime l'utilisation du feng shui pour prédire la tendance du marché boursier - Crumpe -
Puebla, située au cœur du plateau mésoaméricain, près de 100 kilomètres au sud de Mexico, constituait un objectif important de l'expédition française envoyée à partir de 1861 dans le Nouveau Monde par Napoléon III. Contre toute attente, le contingent impérial est cependant mis en déroute par les forces républicaines du Mexique. Les vestiges mis au jour à Puebla par les équipes de l'Institut national d'anthropologie et d'histoire du Mexique (INAH) rappellent que la victoire mexicaine fut cependant chèrement payée. Une des victimes a ainsi été découverte avec une hanche perforée par une balle découverte à ses côtés. Le projectile avait auparavant percé l'abdomen de l'individu et dévasté des organes vitaux, a précisé dans un communiqué de l'INAH l'anthropologue mexicaine Lizbeth Chicas Martínez. Des boulets de canon complétaient l'assortiment funéraire.
LEFIGARO — Des victimes de l'intervention de Napoléon III au Mexique découvertes près du site de la bataille de Puebla -
Si le soleil en Lion se donne en spectacle, la nouvelle lune dans le même signe tire les rideaux pour l’entracte. Ce 8 juillet, on fait une pause pour se resservir du pop corn.
Que retenir de la nouvelle lune en lion du 8 juillet ? - Elle -
Myrto Tripathi a cofondé Les Voix du nucléaire en 2018. Elle incarne la nouvelle génération écomoderniste, qui a osé multiplier les manifestations à la Commission européenne ou face aux «antinuc» de Greenpeace. La prochaine action est annoncée ce samedi, devant l’usine de Landivisiau, en Bretagne, approvisionnée au gaz russe.
LEFIGARO — Myrto Tripathi: «La crise ukrainienne prouve qu’on a un besoin urgent du nucléaire» -
La confirmation d'un nouveau cas d'Ebola à Béni en RDC provoque une nouvelle fois des craintes dans la région. Dans un entretien avec Wendy Bashi de la DW Afrique ce lundi, le ministre de la Santé Jean-Jacques Mbungani se veut cependant rassurant...
DW.COM — Le ministre de la Santé de RDC s’exprime après un cas d’Ebola | Médiathèque | DW | 11.10.2021 -
Rasé en octobre 2020, le mythique cinéma Art déco de la rue du Général-de-Gaulle appartient aujourd’hui à la Société nouvelle des cinémas de Rambouillet (SNCR), une structure créée en février 2016 pour porter un projet d’agrandissement, avec cinq salles au lieu de deux. Cinq ans plus tard, il reste un terrain vague : le projet, chiffré à environ 8 millions d’euros avant la crise du Covid, a été abandonné.
leparisien.fr — Après la disparition du Vox, Rambouillet promet un nouveau cinéma pour 2025-2026 - Le Parisien -
Qu’est-ce qui rend une personne plus susceptible de croire à des fausses nouvelles ? Selon une nouvelle recherche, ce serait le fait que cette personne se retrouve dans au moins une de ces trois catégories : « individu enclin aux illusions », dogmatiste ou fondamentaliste religieux. Si cette liste semble relever de l’évidence, c’est l’association entre ces groupes et le concept de fausse nouvelle qui ouvre des perspectives inédites pour les psychologues.
L’importance de mieux comprendre pourquoi on croit à des choses fausses | Agence Science-Presse -
« La semaine dernière, une aide à domicile est venue louer un vélo pour aller travailler, c'est ce qui nous a donné l'idée », raconte Myriam Goujane, coresponsable de l'association La Cour Cyclette. Fermé jusqu'à nouvel ordre depuis une semaine, l'atelier éco-responsable le Garage Héritage à Alfortville propose de mettre à disposition gratuitement des vélos aux personnels médicaux confrontés à l'épidémie de Covid-19.
leparisien.fr — Alfortville : une association met ses vélos gratuitement à disposition des soignants - Le Parisien