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Citations sur le mon fils

Il y a 13 citations sur le mon fils.

• Ah ! mon fils ! que la tendresse d’un père est aisément rappelée, et que les offenses d’un fils s’évanouissent vite au moindre mot de repentir !

• Catholique par mère, musulman par mon père, un peu juif par mon fils... et athée grâce à Dieu.

• J'ai eu trois vies : une pour Robert, une pour mon fils et mon petit-fils, une, plus courte, pour moi-même.

• Si tu peux voir détruire l'ouvrage de ta vie et, sans dire un seul mot, te remettre à le rebâtir, tu seras un homme, mon fils.

• Je dis que mon fils est un voyou, mais je n'aime pas que les autres le disent.

• Quand j’étais petit je faisais ce que mon père voulait. Maintenant il faut que je fasse ce que mon fils veut. Mon problème est de savoir quand enfin je pourrais faire ce que je veux !

• Vis entre une épouse, une mère tendre qui te chériront à qui mieux mieux. Sois indulgent pour elles, heureux pour toi, mon fils ; gai, libre et bon pour tout le monde ; il ne manquera rien à ta mère.

• Charb était le meilleur de sa génération. Je l'appelais mon neveu mais en fait je le considérais un peu comme mon fils spirituel.

• A la cour, mon fils, l’art le plus nécessaire N’est pas de bien parler, mais de savoir se taire.

• Écoutez, mon fils, les instructions de votre père, et n'abandonnez point la loi de votre mère.

• Le premier pas, mon fils, que l’on fait dans le monde Est celui dont dépend le reste de nos jours.

• C'est la seule école de style, mon fils. Ce qu'ils font avec leur corps nous devons le faire avec notre esprit.

• Il m’a dit : "Si votre fils est la morgue, ce n’est pas pour rien." J’ai répondu que mon fils était un militaire. Il m’a dit : "Ça n’empêche rien." J’ai expliqué que je n’avais pas fermé les yeux de la nuit. J’ai demandé : "Laissez-moi aller voir mon fils." On m’a dit : "C’est bien le vôtre à la morgue. Attendez demain matin." Quand je suis sortie du commissariat, mes pieds avaient multiplié de volume (Les larmes inondent les joues de Mme Ziaten). J’ai dit à mes enfants qu’il fallait qu’on reste solides.