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Citations sur le mon cœur - Page 3
Il y a 102 citations sur le mon cœur.
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13 juillet.Non, je ne me trompe pas ; je lis dans ses yeux noirs un véritable intérêt pour ma personne et pour mon sort. Je le sens, et, là-dessus, j’ose me fier à mon cœur, elle…. Oh ! pourrai-je, oserai-je exprimer en ces mots le bonheur céleste ? … Je sens que je suis aimé.Je suis aimé ! … Et combien je me deviens cher à moi-même, combien…. J’ose te le dire, tu sauras me comprendre. Combien je suis relevé à mes propres yeux depuis que j’ai son amour ! … Est-ce de la présomption ou le sentiment de ce que nous sommes réellement l’un pour l’autre ? … Je ne connais pas d’homme dont je craigne quelque chose dans le cœur de Charlotte, et pourtant, lorsqu’elle parle de son fiancé, qu’elle en parle avec tant de chaleur, tant d’amour... je suis comme le malheureux que l’on dépouille de tous ses honneurs et ses titres, et à qui l’on retire son épée.16 juillet.Ah ! quel frisson court dans toutes mes veines, quand, par mégarde, mes doigts touchent les siens, quand nos pieds se rencontrent sous la table ! Je me retire comme du feu, et une force secrète m’attire de nouveau…. Le vertige s’empare de tous mes sens. Et son innocence, son âme candide, ne sent pas combien ces petites familiarités me font souffrir. Si, dans la conversation, elle pose sa main sur la mienne, et si, dans la chaleur de l’entretien, elle s’approche de moi, en sorte que son haleine divine vienne effleurer mes lèvres... je crois mourir, comme frappé de la foudre…. Wilhelm, et ce ciel, cette confiance, si j’ose jamais... Tu m’entends…. Non, mon cœur n’est pas si corrompu. Faible ! bien faible !... Et n’est-ce pas de la corruption ?
Johann Wolfgang von Goethe — Les Souffrances du jeune Werther -
À la poste d’hier tu télégraphieras que nous sommes bien morts avec les hirondelles. Facteur triste facteur un cercueil sous ton bras va-t’en porter ma lettre aux fleurs à tire d’elle. La boussole est en os mon cœur tu t’y fieras. Quelque tibia marque le pôle et les marelles pour amputés ont un sinistre aspect d’opéras. Que pour mon épitaphe un dieu taille ses grêles ! C’est ce soir que je meurs, ma chère Tombe-Issoire, Ton regard le plus beau ne fut qu’un accessoire de la machinerie étrange du bonjour. Adieu ! Je vous aimai sans scrupule et sans ruse, ma Folie-Méricourt, ma silencieuse intruse. Boussole à flèche torse annonce le retour.
Robert Desnos — Les Gorges froides -
THÉSÉEEh bien ! vous triomphez, et mon fils est sans vie !Ah ! que j’ai lieu de craindre, et qu’un cruel soupçon,L’excusant dans mon cœur, m’alarme avec raison !Mais, madame, il est mort, prenez votre victime ;Jouissez de sa perte, injuste ou légitime :Je consens que mes yeux soient toujours abusés.Je le crois criminel, puisque vous l’accusez.Son trépas à mes pleurs offre assez de matièresSans que j’aille chercher d’odieuses lumières,Qui, ne pouvant le rendre à ma juste douleur,Peut-être ne feraient qu’accroître mon malheur.Laissez-moi, loin de vous, et loin de ce rivage,De mon fils déchiré fuir la sanglante image.Confus, persécuté d’un mortel souvenir,De l’univers entier je voudrais me bannir.Tout semble s’élever contre mon injustice ;L’éclat de mon nom même augmente mon supplice :Moins connu des mortels, je me cacherais mieux.Je hais jusques aux soins dont m’honorent les dieux ;Et je m’en vais pleurer leurs faveurs meurtrières,Sans plus les fatiguer d’inutiles prières.Quoi qu’ils fissent pour moi, leur funeste bontéNe me saurait payer de ce qu’ils m’ont ôté.PHÈDRENon, Thésée, il faut rompre un injuste silence ;Il faut à votre fils rendre son innocence :Il n’était point coupable.THÉSÉEAh ! père infortuné !Et c’est sur votre foi que je l’ai condamné !Cruelle ! pensez-vous être assez excusée…PHÈDRELes moments me sont chers ; écoutez-moi, ThéséeC’est moi qui sur ce fils, chaste et respectueux,Osai jeter un œil profane, incestueux.Le ciel mit dans mon sein une flamme funeste :La détestable Œnone a conduit tout le reste.Elle a craint qu’Hippolyte, instruit de ma fureur,Ne découvrît un feu qui lui faisait horreur :La perfide, abusant de ma faiblesse extrême,S’est hâtée à vos yeux de l’accuser lui-même.Elle s’en est punie, et fuyant mon courroux,A cherché dans les flots un supplice trop doux.Le fer aurait déjà tranché ma destinée ;Mais je laissais gémir la vertu soupçonnée :J’ai voulu, devant vous exposant mes remords,Par un chemin plus lent descendre chez les morts.J’ai pris, j’ai fait couler dans mes brûlantes veinesUn poison que Médée apporta dans Athènes.Déjà jusqu’à mon cœur le venin parvenuDans ce cœur expirant jette un froid inconnu ;Déjà je ne vois plus qu’à travers un nuageEt le ciel et l’époux que ma présence outrage ;Et la mort à mes yeux dérobant la clarté,Rend au jour qu’ils souillaient toute sa pureté.PANOPEElle expire, seigneur !THÉSÉED’une action si noireQue ne peut avec elle expirer la mémoire !Allons, de mon erreur, hélas ! trop éclaircis,Mêler nos pleurs au sang de mon malheureux fils !Allons de ce cher fils embrasser ce qui reste,Expier la fureur d’un vœu que je déteste :Rendons-lui les honneurs qu’il a trop mérités ;Et, pour mieux apaiser ses mânes irrités,Que, malgré les complots d’une injuste famille,Son amante aujourd’hui me tienne lieu de fille !
Racine — Phèdre -
Je forme une entreprise qui n’eut jamais d’exemple et dont l’exécution n’aura point d’imitateur. Je veux montrer à mes semblables un homme dans toute la vérité de la nature ; et cet homme ce sera moi.Moi seul. Je sens mon cœur et je connais les hommes. Je ne suis fait comme aucun de ceux que j’ai vus ; j’ose croire n’être fait comme aucun de ceux qui existent. Si je ne vaux pas mieux, au moins je suis autre. Si la nature a bien ou mal fait de briser le moule dans lequel elle m’a jeté, c’est ce dont on ne peut juger qu’après m’avoir lu.
Jean-Jacques Rousseau — Les Confessions -
Je n’en vois point mourir que mon cœur n’en soupire.
Pierre Corneille — Polyeucte -
ŒNONE.Quoi ! de quelques remords êtes-vous déchirée ?Quel crime a pu produire un trouble si pressant ?Vos mains n’ont point trempé dans le sang innocent ?PHÈDRE.Grâces au ciel, mes mains ne sont point criminelles.Plût aux dieux que mon cœur fût innocent comme elles !ŒNONE.Et quel affreux projet avez-vous enfantéDont votre cœur encor doive être épouvanté ?PHÈDRE.Je t’en ai dit assez : épargne-moi le reste.Je meurs, pour ne point faire un aveu si funeste.ŒNONE.Mourez donc, et gardez un silence inhumain ;Mais pour fermer vos yeux cherchez une autre main.Quoiqu’il vous reste à peine une faible lumière,Mon âme chez les morts descendra la première ;Mille chemins ouverts y conduisent toujours,Et ma juste douleur choisira les plus courts.Cruelle ! quand ma foi vous a-t-elle déçue ?Songez-vous qu’en naissant mes bras vous ont reçue ?Mon pays, mes enfants, pour vous j’ai tout quitté.Réserviez-vous ce prix à ma fidélité ?PHÈDRE.Quel fruit espères-tu de tant de violence ?Tu frémiras d’horreur si je romps le silence.ŒNONE.Et que me direz-vous qui ne cède, grands dieux !À l’horreur de vous voir expirer à mes yeux ?PHÈDRE.Quand tu sauras mon crime et le sort qui m’accable,Je n’en mourrai pas moins : j’en mourrai plus coupable.ŒNONE.Madame, au nom des pleurs que pour vous j’ai versés,Par vos faibles genoux que je tiens embrassés,Délivrez mon esprit de ce funeste doute.PHÈDRE.Tu le veux ? lève-toi.ŒNONE.Parlez : je vous écoute.PHÈDRE.Ciel ! que lui vais-je dire ? et par où commencer ?ŒNONE.Par de vaines frayeurs cessez de m’offenser.PHÈDRE.Ô haine de Vénus ! ô fatale colère !Dans quels égarements l’amour jeta ma mère !ŒNONE.Oublions-les, madame ; et qu’à tout l’avenirUn silence éternel cache ce souvenir.PHÈDRE.Ariane, ma sœur ! de quel amour blesséeVous mourûtes aux bords où vous fûtes laissée !ŒNONE.Que faites-vous, madame ? et quel mortel ennuiContre tout votre sang vous anime aujourd’hui ?PHÈDRE.Puisque Vénus le veut, de ce sang déplorableJe péris la dernière et la plus misérable.ŒNONE.Aimez-vous ?PHÈDRE.De l’amour j’ai toutes les fureurs.ŒNONE.Pour qui ?PHÈDRE.Tu vas ouïr le comble des horreurs…J’aime… À ce nom fatal, je tremble, je frissonne.J’aime…ŒNONE.Qui ?PHÈDRE.Tu connais ce fils de l’Amazone,Ce prince si longtemps par moi-même opprimé…ŒNONE.Hippolyte ? Grands dieux !PHÈDRE.C’est toi qui l’as nommé !ŒNONE.Juste ciel ! tout mon sang dans mes veines se glace !Ô désespoir ! ô crime ! ô déplorable race !Voyage infortuné ! Rivage malheureux,Fallait-il approcher de tes bords dangereux !
Racine — Phèdre -
Je demeurai plus de vingt-quatre heures la bouche attachée sur le visage et sur les mains de ma chère Manon. Mon dessein était d'y mourir; mais je fis réflexion, au commencement du second jour, que son corps serait exposé, après mon trépas, à devenir la pâture des bêtes sauvages. Je formai la résolution de l'enterrer et d'attendre la mort sur sa fosse. J'étais déjà si proche de ma fin, par l'affaiblissement que le jeûne et la douleur m'avaient causé, que j'eus besoin de quantité d'efforts pour me tenir debout. Je fus obligé de recourir aux liqueurs que j'avais apportées. Elles me rendirent autant de force qu'il en fallait pour le triste office que j'allais exécuter. Il ne m'était pas difficile d'ouvrir la terre, dans le lieu où je me trouvais. C'était une campagne couverte de sable. Je rompis mon épée, pour m'en servir à creuser, mais j'en tirai moins de secours que de mes mains. J'ouvris une large fosse. J'y plaçai l'idole de mon cœur après avoir pris soin de l'envelopper de tous mes habits, pour empêcher le sable de la toucher. Je ne la mis dans cet état qu'après l'avoir embrassée mille fois, avec toute l'ardeur du plus parfait amour. Je m'assis encore près d'elle. Je la considérai longtemps. Je ne pouvais me résoudre à fermer la fosse. Enfin, mes forces recommençant à s'affaiblir et craignant d'en manquer tout à fait avant la fin de mon entreprise, j'ensevelis pour toujours dans le sein de la terre ce qu'elle avait porté de plus parfait et de plus aimable. Je me couchai ensuite sur la fosse, le visage tourné vers le sable, et fermant les yeux avec le dessein de ne les ouvrir jamais, j'invoquai le secours du Ciel et j'attendis la mort avec impatience. Ce qui vous paraîtra difficile à croire, c'est que, pendant tout l'exercice de ce lugubre ministère, il ne sortit point une larme de mes yeux ni un soupir de ma bouche. La consternation profonde où j'étais et le dessein déterminé de mourir avaient coupé le cours à toutes les expressions du désespoir et de la douleur Aussi, ne demeurai-je pas longtemps dans la posture où j'étais sur la fosse, sans perdre le peu de connaissance et de sentiment qui me restait.
Abbé Antoine Prévost — Manon Lescaut -
Les yeux du Prince Heureux étaient emplis de larmes, et des larmes coulaient le long de ses joues d'or. Sous la lumière de la lune, son visage était si beau que le petit martinet se sentit envahi de pitié. «Qui êtes-vous ? demanda-t-il. - Je suis le Prince Heureux. - Alors pourquoi pleurez-vous ? demanda le Martinet. Vous m'avez complètement trempé. - Lorsque j'étais en vie et que je possédais un cœur d'homme, répondit la statue, j'ignorais ce que c'était que les larmes car je vivais au palais de Sans-Souci, où le chagrin n'a pas le droit de pénétrer. Pendant le jour je jouais dans le jardin avec mes compagnons, le soir je menais le bal dans le Grand Salon. Le jardin était ceint d'un mur fort imposant, mais jamais je ne me souciai de demander ce qui se trouvait derrière. Tout était si beau autour de moi ! Mes courtisans m'appelaient le Prince Heureux, et si le bonheur n'est rien d'autre que le plaisir, oui, j'étais heureux. Ainsi je vécus, ainsi je mourus. Et maintenant que je suis mort, on m'a installé ici, tellement haut que je peux voir toute la laideur et toute la misère de ma ville. Mon cœur a beau être fait de plomb, comment ne pleurerais-je ?»
Oscar Wilde — Le prince heureux, le géant égoïste et autres contes -
"Je suis un peu soulagée que ce soit terminé, car c'était tellement dense ces Jeux", a réagi au bord des larmes la championne de 28 ans. "J'étais tellement en manque de repères, en manque de sensations (...). J'y ai mis mon cœur et mes tripes, j'ai essayé de ne rien lâcher."
France 24 — Jeux paralympiques : Benjamin Daviet en argent, Marie Bochet termine sa carrière -
«Dans mon cœur, j’ai gagné» - Audrey-Louise, de Star Académie
Le Courrier du Sud — Le Courrier du Sud | «Dans mon cœur, j’ai gagné» - Audrey-Louise, de Star Académie -
Il sera accompagné par le chansonnier folk-blues Jeremie Albino, le groupe rock Loverboy et la chanteuse torontoise POESY. Cette dernière est l’interprète de l’hymne officiel des Jeux, Steel Heart / Mon cœur d’acier. Les billets sont en vente dès maintenant.
l-express.ca — Un grand concert pour le décompte des 200 jours des Jeux du Canada -
En même temps, avec ce qu’on vit en ce moment, on n’a pas trop le choix, on ne peut pas lâcher prise, surtout à ce moment critique. C’est comme ça, j’ai dessiné avec mon cœur et advienne que pourra!
Joan Dumouchel, celle qui dessine avec son cœur et advienne que pourra | Le Métropolitain -
Vendredi, Jean-Marie Guégan s’est éteint à l’âge de 84 ans. Trélévernais durant toute sa vie, il a parcouru les mers du monde entier. Amoureux des mots, ses amis, ses proches garderont en mémoire cet homme qui savait cultiver sa passion : « J’ai regardé le ciel rosé que les blancs goélands effleurent de leurs ailes effilées. Comme un poète étonné, j’ai vu les couleurs se mélanger… J’ai vu dans mon cœur tant d’amitié que l’on pourrait chercher longtemps un poète qui oserait le raconter. Je crois qu’il n’en aurait pas le temps ».
Le Telegramme — Trélévern - À Trélévern, Jean-Marie Guégan, poète baroudeur, est décédé - Le Télégramme -
Éric Grange, globe-trotteur passionné par les traditions spirituelles du monde est le directeur fondateur de l’agence Oasis, l’Éveil aux mondes, créée en 2007. Elle fait voyager 2500 personnes par an en conciliant évasion, découverte spirituelle et ouverture de conscience. Il est l’auteur de Et mon cœur se remit à battre, vendu à plus de 5000 exemplaires et qui paraîtra aux éditions Pocket le 24 février 2022.
ActuaLitté.com — Éric Grange continue d'éveiller les coeurs et les consciences -
«Je souhaite de tout mon cœur que je ne devienne jamais sous-maître de poste», déclare Sarah, 56 ans, qui a repris la succursale de l'avenue Starbeck dans le quartier de Newcastle upon Tyne à Sandyford en novembre 2005.
News 24 — Le sous-maître de poste raconte comment son monde s'est effondré dans une épreuve qui la hante depuis une décennie - News 24 -
Mais quelle huile, les amis (bruits de sauçage de plat à grands coups de pain). C’est un début de repas en fanfare. Si tout est aussi bon, pas sûre que mon cœur tienne le coup.
So Soir — Le Manolo Madrid, le paradis des tapas -
Le véritable homme que je suis est le second. Parce que, comme dit le dicton, l’enfer est pavé de bonnes intentions. Aucun homme ne peut fendre mon cœur pour voir la souffrance qui est la mienne. Ce que les hommes voient, c’est ma présence dans un gouvernement qui ne daigne même pas publier un message de compassion aux parents de ses victimes. C’est donc ma solidarité avec l’équipe à laquelle j’appartiens qui est visible et jugeable.
Guinée Matin - Les Nouvelles de la Guinée profonde — Les mots et les maux du ministre : « je suis meurtri de voir des jeunes manifestants tués…» - Guinée Matin - Les Nouvelles de la Guinée profondeGuinée Matin – Les Nouvelles de la Guinée profonde -
" Je veux laisser parler mon cœur et raconter, au fil de la plume, cette aventure assez rare, vécue par deux hommes fort dissemblables et qui cependant ont tissé entre eux un lien de confiance indissoluble."
SudOuest.fr — Quand Alain Juppé raconte "son" Chirac -
Ce samedi, on y côtoie des lamas et des chèvres, pas farouches malgré la nuée d'enfants les approchant à tâtons. Parmi les visiteurs, beaucoup de locaux. C'est le cas de Stéphanie, originaire d'Arpajon, qui observe avec inquiétude son fils Nathan, 10 ans, s'harnacher avant de faire le grand saut à l'élastique. « Mon cœur va lâcher, là », s'alarme-t-elle. Un cri de Nathan… et le rythme cardiaque de la mère redescend. « Cela faisait deux ans qu'on n'était pas venus, mais on a cédé ce samedi : les enfants adorent les parcours au-dessus du vide », confie Stéphanie.
leparisien.fr — Essonne : le parc d’aventure Floreval fête ses 15 ans et vise les 400000 visiteurs d’ici 2030 - Le Parisien -
« Mon cœur est devenu un pare-brise. À chaque peur, effroi d’une chute, angoisse d’un accident, le cœur se serre et s’étoile. Mon cœur aux mille étoilements. Le pare-brise tient le choc, le cœur fatigue. Dans ma vie, jamais je n’ai autant senti mon cœur. »
DIACRITIK — Éléments de Langage : (m)éditer contre le temps -
« Mon cœur, mon cœur, ne t’emballe pas, fais comme si tu ne savais pas que le Figolu est revenu, mon cœur arrête de répéter qu’il est plus bon qu’avant l’été, le Figolu qui est revenu, mon cœur, arrête de bringuebaler, souviens-toi qu’il t’a déchiré, le Figolu qui est revenu. »
L'Obs — Le Figolu, une saveur ambiguë -
En perdant son pari de reprise de Béziers, Christophe Dominici laisse donc la main à Louis-Pierre Angelotti et à René Bouscatel. Devant leur montée soudaine en puissance, il se dit courroucé par le promoteur biterrois : "Lors des discussions que j’ai eues plusieurs fois avec lui, il m’a dit qu’il ne reprendrait pas le club en me regardant dans les yeux. Cet homme est un menteur pour le peuple biterrois et je souhaite, de tout mon cœur qu’il ne soit pas l’actionnaire principal de la SASP Béziers rugby. Il y a des choses qui n’ont pas été faites dans les règles."
Rugbyrama — Pro D2 - Le discours amer de Dominici devant le "peuple biterrois" - Pro D2 2018-2019 - Rugby - Rugbyrama