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Citations sur le maraîchage

Il y a 65 citations sur le maraîchage.

• «Nous sommes tous les deux coopérateurs de Climax Perma-coop. La permaculture et l’agroécologie inspirent notre philosophie et nos méthodes de travail. Nous visons l’agradation des sols, c’est-à-dire enrichir les terres de culture en culture, de saison en saison grâce à une vie du sol diversifiée car respectée Le maraîchage et l’arboriculture fruitière sont nos activités principales. Nous exploitons sur une dizaine d’hectares plus de 200 variétés d’arbres fruitiers différents. Des noix, noisettes, poires, pommes, mirabelles et bien d’autres variétés actuelles et anciennes.» souligne Luc Koedinger.

• Une réédition, actualisée et augmentée, du manuel de maraîchage d’Eliot Coleman, pionnier étasunien de l’agriculture biologique sur petites surfaces.

• A l’opposé de la politique du bétonnage et de la construction de toujours plus de route, le PAT consiste à privilégier la création de ceintures vertes agrobiologiques autour de chaque agglomération, d’en faire des lieux de production de proximité pour l’ alimentation des urbains : maraîchage biologique, petits élevages, etc.  Il faut restaurer la biodiversité́ sauvage et la biodiversité́ " cultivée ", créer des poumons verts pour les habitant.es...

• Quoi qu’il en soit, autoguider les outils peut représenter un investissement lourd - 20 000 à 25 000 € tout compris - qui se justifie pour des cultures à haute valeur ajoutée comme dans les exploitations de maraîchage industriel ou en agriculture biologique.

• Reconnue par l'Etat, Bio Cultura, l'association roannaise spécialisée dans le maraîchage biologique, est passé de seize salariés en équivalent temps plein à ses débuts, à 26 aujourd'hui.

• Un chantier d’insertion en maraîchage biologique et des agriculteurs font équipe pour produire et transformer des légumes pour approvisionner les cantines de l’ouest de la Haute-Loire. Leur but est simple : que les enfants du territoire mangent à la cantine des légumes qui ont poussé près de leur école, que les cuisiniers auront préparés en connaissant leur origine et même l’agriculteur qui les a cultivés. Ils ont lancé une cagnotte à retrouver ici.

• «J'ai un goût prononcé pour le terroir comme dit mon mari», résume Isabelle Gauffeny, 45 ans, que rien arrête. Véritable force de la nature en quête de sens, Isabelle Gauffeny a quitté son poste de biochimiste au CNRS pour retourner sur les bancs de l'école. «J'avais besoin de faire quelque chose d'utile et de concret», explique-t-elle. Son mari, Philippe Coesnon, est boucher ce qui l'inspire et lui donne envie de se tourner vers l'agriculture mais pas n'importe laquelle. Soucieuse de la terre et de son environnement, elle opte pour l'agriculture biologique. Elle passe un brevet professionnel en maraîchage à Rheu (35). En 2010, elle achète avec son mari, un vieux corps de ferme bourguignon, qui n’était plus habité depuis la Seconde Guerre mondiale. Isabelle s'y installe et créé Le Jardin des Gallines.

• Les trois hommes ne sont pas des rêveurs et savent bien que tout projet, aussi louable soit-il, a un coût. Ils envisagent donc de créer des activités économiques articulées autour de l’hôtellerie, de l’agriculture, du maraîchage biologique et de la vente de ses produits.

• Une nouvelle activité a vu le jour à mi-janvier 2020 sur l’espace acquis initialement pour le maraîchage bio : un atelier de travail du cuir, réparation et fabrication, couture main, baptisé l’Atelier B. Anne- Sophie précise : « B. c’est pour Boursier (mon patronyme), mais aussi pour Bourrelier ». Anne-Sophie a été formée en bourrellerie au Haras d’Hennebont. Artisan bourrelier, elle répare des articles d’équipement des chevaux (selles, harnais,.) et de maroquinerie.

• Au printemps prochain, autour du 15 mai, les salariés d’Isa Groupe réaliseront les premiers semis de chou-navet blanc à collet vert d’Aubigny-sur-Nère, dans une serre de 200 mètres carrés, sur son site de maraîchage bio. Les premiers semis d’un légume oublié que le groupe associatif engagé dans l’économie sociale et solidaire tente de faire revivre, en collaboration avec l’association Foire Saint-Michel, le syndicat mixte du pays Sancerre Sologne et l’Union pour les ressources génétiques du Centre-Val de Loire (URGC).

• Selon les données connues du projet, nous sommes assurés que les cultures se feront sur un substrat naturel et issu du compostage fait sur place. Rien de nouveau par rapport au maraîchage traditionnel. Point de pesticide, dans une atmosphère contrôlée ; c’est sans doute préférable ! mais rien de nouveau par rapport à un maraîchage bio. La récupération des eaux de pluie ? Les maraîchers n’ont pas attendu les effets de mode pour s’en préoccuper. En clair, pas grand-chose de nouveau sous le soleil.

• À Saint-André-Capcèze, l’idée d’une ferme de reconquête chemine également. "Un troupeau d’élevage permettrait de prévenir les incendies en débroussaillant les terrains de la commune", assure son maire, Jean de Lescure. En complément, une activité de maraîchage pourrait être envisagée. "Ce sont des propositions que nous avons faites il y a des années, mais je pense que les gens n’étaient pas prêts. Aujourd’hui, les mentalités changent", glisse-t-il.

• Chaque dispositif est composé de six sondes : trois près de la surface, et trois en profondeur. Les pêchers sont équipés de six Watermark, et chaque tunnel en maraîchage est pourvu d'une sonde avec cadran. Le pilotage est complété par un dendromètre Pepista, système développé par l'Inra d'Avignon, qui suit le diamètre d'une branche. Celle-ci va déstocker de l'eau le matin, pour approvisionner le feuillage, et en restocker en fin de journée, permettant de connaître l'état hydrique de la plante.

• « Parmi la soixantaine de dossiers réalisés au premier semestre 2019, un échantillon de quarante études de dimensionnement a été sélectionné pour analyse, » explique Laurent Somer. « Les projets ont été classés dans cinq grandes orientations (lait, porc, volaille, maraîchage et méthanisation). » Autre précision : « L’échantillon comprend 10 exploitations laitières, une exploitation maraîchère, une méthanisation, 23 exploitations porcines et 5 exploitations avicoles. » Un échantillon de 40 dimensionnements qui correspond à « une puissance cumulée de 1,9 MW, et une puissance moyenne par projet de 46,7 kW. »

• BASF investit dans son site de production de solutions de biocontrôle pour l’horticulture et le maraîchage à Littlehampton au Royaume-Uni. La firme augmente ainsi sa production de nématodes entomopathogènes et d’inoculants et poursuit ses investissements pour les méthodes alternatives de protection des cultures.

• Le maraîchage industriel et l'extraction de sable font plutôt bon ménage au sud de la Loire-Atlantique. Mais à Saint-Colomban, l'association "La tête dans le sable" s'inquiète des dérives et des conséquences sur l'environnement. Le sable, objet de toutes les convoitises.

• En respectant les mesures de sécurité sanitaires, vous trouverez de nombreux produits locaux : vin, fromage de vache et de chèvre, fouace, confitures, farçous, miel et dérivés, aligot, conserves à base de canard, plats cuisinés de bœuf d’Aubrac en verrine, tisanes, sirops, safran et produits au safran, maraîchage bio et bien d’autres. Organisés par la municipalité et l’Office de Tourisme, tous les producteurs locaux sont engagés au respect d’une charte de bonnes pratiques, garantissant ainsi au consommateur la qualité des pratiques de production et transformation ainsi qu’une transparence sur les pratiques agricoles.

• Seulement 400 héliciculteurs en France C’est en juin 2018 que Christophe décide de se lancer. La taille modeste de son terrain, en zone agricole à Roquevaire, ne lui permet pas de faire du maraîchage ou de l’élevage de gros animaux. « Sur 7 000 m², en milieu périurbain avec un voisinage à respecter, l’élevage d’escargots était l’activité la plus appropriée » explique-t-il. Christophe achète ses premiers « naissains » (lots de pontes) de gros-gris et petits-gris et les installe dans le parc dédié à leur élevage. « Il faut s’assurer que les nuits ne descendent pas en dessous de 8 degrés. Chez nous, à partir de mai, on peut commencer ».

• Gilles se trouvait à l’une des extrémités de la chaîne. Tout simplement insupportable. Alors, que ce projet de maraîchage qui n’avance pas le préoccupe, c’est une chose, mais le choix de vie qui l’a amené là, lui, est définitif.

• Elle est aujourd’hui porteuse d’un projet d’installation en maraîchage au domaine de Millegrand où elle souhaite développer une production locale de fruits et légumes bio distribués en circuit court sur les communes de Rustiques et Badens. Dans ce cadre elle a réalisé une étude de marché dans les deux communes pour évaluer la viabilité de son projet. Elle a eu de nombreux retours favorables qui l’encouragent. Son souhait est de créer une mini-ferme sur deux hectares et demi avec maraîchage, arboriculture et des animaux, poules pondeuses, chèvres, ânes, etc.