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Citations sur le l'on - Page 63
Il y a 3919 citations sur le l'on.
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Après plusieurs semaines de drache nationale, une petite accalmie semble toucher la météo belge. Ce qui ne nous empêche pas de zieuter chez nos voisins pour découvrir où l'on profite le plus du soleil, surtout en hiver. Bonne nouvelle, la plupart des destinations les plus ensoleillées d'Europe se trouvent à quelques heures en voiture de chez nous. Peut-être l'occasion de s'octroyer un week-end bien au chaud pour nous aider à tenir jusqu'au printemps ? Et revenir un peu moins pâlot que quand on est parti par la même occasion ?
So Soir — Quelle est la ville la plus ensoleillée d'Europe ? -
Les vrais problèmes ne sont sans doute pas là où l'on croit... On met tout l'accent sur les problèmes de sexualité et de reproduction, mais on est beaucoup plus discret sur l'hygiène... On dirait que l'hygiène est plus tabou que le sexe... Vous n'avez pas idée à quel point, pour les femmes notamment, la simple propreté, la propreté élémentaire, est une chose récente...
Philippe Sollers — Femmes -
[...] vous avez 1107 pages pour un volume qui va être vendu 30 euros. Soyons stricts sur le marketing : vous disposez-là de dix livres (ou 12), en un, ce qui fait donc livres à trois euros. Par conséquent, le rapport qualité-prix est imbattable. Je m'avance déraisonnablement sur le marché avec cette proposition d'acheter dix livres à trois euros chacun. C'est la meilleure définition que l'on puisse donner de la formulation comme passion dominante, c'est-à-dire qu'il s'agit immédiatement de l'évaluer en argent, tant il est vrai qu'il n'y a qu'une seule passion dominante de nos jours, c'est celle-là -et il n'y en a pas d'autre. -Transfuge n°61-
Philippe Sollers -
La maladie de l'adolescence est de ne pas savoir ce que l'on veut et de le vouloir cependant à tout prix.
Philippe Sollers -
L'enjeu, c'était vraiment de saisir cette évolution du monde qui en cinquante ans a basculé de façon extraordinaire pour les hommes et les femmes de ma génération. Le mode de vie du début des années 1950 ressemble beaucoup à celui de mes parents, et même de mes grands-parents. On vivait encore d'une certaine façon dans l'avant-guerre. Si l'on compare les villes, l'intérieur des maisons, la différence est certainement plus grande entre 1950 et 2000 qu'entre 1850 et 1950. Le changement n'est pas dans les choses seulement, il est dans la manière de penser, dans le langage. La vision de l'avenir elle-même s'est modifiée.
Annie Ernaux — Le vrai lieu -
C'est l'absence de sens de ce que l'on vit au moment où on le vit qui multiplie les possibilités d'écriture. (P151)
Annie Ernaux — Mémoire de fille -
Après, il ne nous a plus vus que de loin en loin. On habitait une ville touristique des Alpes, où mon mari avait un poste administratif. On tendait les murs de toile de jute, on offrait du whisky à l'apéritif, on écoutait le panorama de musique ancienne à la radio. Trois mots de politesse à la concierge. J'ai glissé dans cette moitié du monde pour laquelle l'autre n'est qu'un décor. Ma mère écrivait, vous pourriez venir vous reposer à la maison, n'osant pas dire de venir les voir pour eux-mêmes. J'y allais seule, taisant les vraies raisons de l'indifférence de leur gendre, raisons indicibles, entre lui et moi, et que j'ai admises comme allant de soi. Comment un homme né dans une bourgeoisie à diplômes, constamment " ironique ", aurait-il pu se plaire en compagnie de " braves gens ", dont la gentillesse, reconnue de lui, ne compensait jamais à ses yeux ce manque essentiel : une conversation spirituelle. Dans sa famille, par exemple, si l'on cassait un verre, quelqu'un s'écriait aussitôt, « n'y touchez pas, il est brisé ! » (vers de Sully Prud'homme).
Annie Ernaux — La place -
Après, il ne nous a plus vus que de loin en loin. On habitait une ville touristique des Alpes, où mon mari avait un poste administratif. On tendait les murs de toile de jute, on offrait du whisky à l'apéritif, on écoutait le panorama de musique ancienne à la radio. Trois mots de politesse à la concierge. J'ai glissé dans cette moitié du monde pour laquelle l'autre n'est qu'un décor. Ma mère écrivait, vous pourriez venir vous reposer à la maison, n'osant pas dire de venir les voir pour eux-mêmes. J'y allais seule, taisant les vraies raisons de l'indifférence de leur gendre, raisons indicibles, entre lui et moi, et que j'ai admises comme allant de soi. Comment un homme né dans une bourgeoisie à diplômes, constamment " ironique ", aurait-il pu se plaire en compagnie de " braves gens ", dont la gentillesse, reconnue de lui, ne compensait jamais à ses yeux ce manque essentiel : une conversation spirituelle. Dans sa famille, par exemple, si l'on cassait un verre, quelqu'un s'écriait aussitôt, « n'y touchez pas, il est brisé ! » (vers de Sully Prud'homme).
Annie Ernaux — La place -
jeudi 7 février (...) Le temps de l'attente à la caisse, celui où nous sommes le plus proche les uns des autres. Observés et observant, écoutés, écoutant. (...) Exposant comme nulle part autant, notre façon de vivre et notre compte en banque. Nos habitudes alimentaires, nos intérêts les plus intimes. Même notre structure familiale. Les marchandises qu'on pose sur le tapis disent si l'on vit seul, en couple, avec bébé, jeunes enfants, animaux... (p.47)
Annie Ernaux — Regarde les lumières, mon amour -
Nous habitions un pavillon dans un lotissement neuf, au milieu d'une plaine. Les commerces et les écoles étaient à deux kilomètres. On ne voyait les habitants que le soir. Pendant le week-end, ils lavaient la voiture et montaient des étagères dans le garage. C'était un endroit vague et sans regard où l'on se sentait flotter, privé de sentiments et de pensée. Elle ne s'habituait pas à vivre là. L'après-midi, elle se promenait rue des Roses et des Jonquilles, des Bleuets, vides.
Annie Ernaux — Une Femme -
Sauver quelque chose du temps où l'on ne sera plus jamais.
Annie Ernaux — Les années -
Quatre années. La période juste avant. Avant le chariot du supermarché, le qu'est-ce qu'on va manger ce soir, les économies pour s'acheter un canapé, une chaîne hi-fi, un appart. Avant les couches, le petit seau et la pelle sur la plage, les hommes que je ne vois plus, les revues de consommateurs pour ne pas se faire entuber, le gigot qu'il aime par-dessus tout et le calcul réciproque des libertés perdues. Une période où l'on peut dîner d'un yaourt, faire sa valise en une demi-heure pour un week-end impromptu, parler toute une nuit. Lire un dimanche entier sous les couvertures. S'amollir dans un café, regarder les gens entrer et sortir, se sentir flotter entre ces existences anonymes. Faire la tête sans scrupule quand on a le cafard. Une période où les conversations des adultes installés paraissent venir d'un univers futile, presque ridicule, on se fiche des embouteillages, des morts de la Pentecôte, du prix du bifteck et de la météo. Personne ne vous colle aux semelles encore. Toutes les filles l'ont connue, cette période, plus ou moins longue, plus ou moins intense, mais défendu de s'en souvenir avec nostalgie. Quelle honte ! Oser regretter ce temps égoïste, où l'on n'était responsable que de soi, douteux, infantile. La vie de jeune fille, ça ne s'enterre pas, ni chanson ni folklore là-dessus, ça n'existe pas. Une période inutile. Pages 109-110, Folio, 2018.
Annie Ernaux — La femme gelée -
La femme gelée Elle a trente ans, elle est professeur, mariée à un « cadre », mère de deux enfants. Elle habite un appartement agréable. Pourtant, c'est une femme gelée. C'est-à-dire que, comme des milliers d'autres femmes, elle a senti l'élan, la curiosité, toute une force heureuse présente en elle se figer au fil des jours entre les courses, le dîner à préparer, le bain des enfants, son travail d'enseignante. Tout ce que l'on dit être la condition « normale » d'une femme. Quatrième de couverture, Folio, 2018.
Annie Ernaux — La femme gelée -
La femme gelée Elle a trente ans, elle est professeur, mariée à un « cadre », mère de deux enfants. Elle habite un appartement agréable. Pourtant, c'est une femme gelée. C'est-à-dire que, comme des milliers d'autres femmes, elle a senti l'élan, la curiosité, toute une force heureuse présente en elle se figer au fil des jours entre les courses, le dîner à préparer, le bain des enfants, son travail d'enseignante. Tout ce que l'on dit être la condition « normale » d'une femme. Quatrième de couverture, Folio, 2018.
Annie Ernaux — La femme gelée -
Les Trois Mousquetaires sont l'oeuvre la plus fameuse des deux cent cinquante livres forgés par la plume de cet écrivain prolifique et de ses soixante-treize assistants. Dumas a travaillé avec le professeur d'histoire Auguste Maquet à qui l'on prête les prémices, voire le premier brouillon des Trois Mousquetaires. (...) La qualité durable des textes de Dumas réside dans la vitalité de ses personnages et dans sa maîtrise du roman-feuilleton, plein d'accroches et de suspense. Les Trois Mousquetaires sont le roman d'aventures par excellence.
Jean d'Ormesson — Les 1001 livres qu'il faut avoir lus dans sa vie -
Si l'on imaginait la souffrance avec assez de vivacité, on n'aurait plus le courage de faire du mal à personne ...
Jean d'Ormesson -
Ce que l'on pense, on le devient. Ce que l'on ressent, on l'attire. Ce que l'on imagine, on le crée.
Bouddha -
[...] la fille de son hôtesse, une jeune personne sans élégance, affligée d'un de ces visages britanniques caractéristiques que l'on oublie pour toujours une fois qu'on les a vus ; et son mari [...] qui, comme tant d'individus [...], croyait qu'une jovialité excessive peut racheter un total manque d'idées.
Oscar Wilde — Le portrait de Dorian Gray -
On connait que les choses que l'on apprivoise, dit le renard. Les hommes n'ont plus le temps de rien connaître. Ils achètent des choses toutes faites chez les marchands. Mais comme il n'existe point de marchands d'amis, les hommes n'ont plus d'amis. Si tu veux un ami, apprivoise-moi ! (page 69)
Antoine de Saint-Exupéry — Le Petit Prince -
Le renard se tut et regarda longtemps le petit prince : "S'il te plait…apprivoise-moi ! dit-il. - Je veux bien, répondit le petit prince, mais je n'ai pas beaucoup de temps. J'ai des amis à découvrir et beaucoup de choses à connaître. - On ne connaît que les choses que l'on apprivoise, dit le renard. Les hommes n'ont plus le temps de rien connaître. Ils achètent des choses toutes faites chez les marchands. Mais comme il n'existe point de marchands d'amis, les hommes n'ont plus d'amis. Si tu veux un ami, apprivoise-moi ! - Que faut-il faire ? dit le petit prince. - Il faut être très patient, répond le renard. Tu t'assoiras d'abord un peu loin de moi, comme ça, dans l'herbe. Je te regarderai du coin de l'oeil et tu ne diras rien. Le langage est source de malentendus. Mais, chaque jour, tu pourras t'asseoir un peu plus près…" Le lendemain revient le petit prince. " Il eût valu revenir à la même heure, dit le renard. Si tu viens, par exemple, à quatre heures de l'après-midi, dès trois heures je commencerai d'être heureux. Plus l'heure avancera, plus je me sentirai heureux. A quatre heures, déjà, je m'agiterai et m'inquiéterai : je découvrirai le prix du bonheur ! Mais si tu viens n'importe quand, je ne saurai jamais à quelle heure m'habiller le coeur…il faut des rites.
Antoine de Saint-Exupéry — Le Petit Prince -
On risque de pleurer un peu si l'on s'est laissé apprivoiser...
Antoine de Saint-Exupéry — Le Petit Prince -
Bonjour, dit le petit prince. - Bonjour"dit le marchand. C'était un marchand de pilules perfectionnées qui apaisent la soif. On en avale une par semaine et l'on n'éprouve plus le besoin de boire. "Pourquoi vends-tu ça ? dit le petit prince ? - C'est une grosse économie de temps, dit le marchand. Les experts ont fait des calculs. On épargne cinquante-trois minutes par semaine. Et que fait-on de cinquante-trois minute ? - On en fait ce que l'on veut..." "Moi, dit le petit prince,si j'avais cinquante-trois minutes à dépenser, je marcherais doucement vers une fontaine...
Antoine de Saint-Exupéry — Le Petit Prince -
On risque de pleurer un peu si l'on s'est laissé apprivoiser.
Antoine de Saint-Exupéry — Le Petit Prince -
Bien sûr qu'elles ont des qualités ! Je viens d'une école critique iconoclaste, qui considère que l'on peut trouver du cinéma partout, même dans les lieux les plus impurs. Donc évidemment il y a des séries ou des films Netflix qui m'ont intéressé, dans lesquels j'ai trouvé des fulgurances de mise en scène, des écritures hyper inventives, des audaces. Je pense à Uncut Gems des frères Safdie, à quelques épisodes de Stranger Things, ou à Mindhunter de David Fincher. Mais on ne peut pas penser un système par ses exceptions, on ne peut pas penser un studio de masse, qui produit chaque année des milliers d'heures de «contenus», par ses quelques réussites. Il faut regarder toute la production, et la plus majoritaire.
LEFIGARO — Pourquoi Netflix est-il un outil d'aliénation ? -
VIDEO. En France, les problèmes s'accumulent et l'on pourrait naïvement penser que le gouvernement aurait bien des sujets de préoccupation. Ce n'est manifestement pas le cas, puisqu'après la décision de la Cour Suprême américaine de défédéraliser le droit à l'avortement, des voix se sont élevées en Macronie et au-delà pour demander l'inscription du droit à l'IVG dans notre Constitution. Ce qui n'est pas pour plaire à Régis de Castelnau.
Droit à l'IVG dans la Constitution : « Le but, c'est de priver le peuple de sa souveraineté » -
Pour les différencier, outre leur nom qui peut paraître évident à comprendre, il existe quelques détails à considérer. Souvent présentés comme des bijoux de technologie, les textiles non repassables sont en réalité plus anciens que l'on pourrait le penser. C'est dans les années 1950 que la référence américaine de la chemise, Brooks Brothers, collabore avec le groupe industriel DuPont. Ensemble, ils mettent au point les premières chemises en coton et polyester n'exigeant pas de repassage.
LEFIGARO — Mode homme : comment choisir une chemise qui ne se froisse pas ? -
Peut on parler de couple et de relation quand les personnes sont des ivrognes... je ne comprends pas que l'on puisse prendre du plaisir à boire jusqu'à ne plus savoir ce que l'on fait, à sortir en boite juste pour se souler... tristes amusements.
lindependant.fr — Carcassonne - Violences conjugales : "Je peux être assez strict quand je suis en couple" - lindependant.fr -
Si les métadonnées sont un aspect important pour tous les types de fichiers, c'est dans les métadonnées vidéo que l'on peut vraiment observer leurs bénéfices. La raison en est qu'une vidéo est un type de contenu complexe où l'audio et les images forment une seule ressource.
Le pouvoir des metadata : un enjeu crucial pour la vidéo -
Poutine persiste et signe preuve que ce type est bien le malade mental que l'on a pu apercevoir à maintes reprises dans ses propres propagandes pour sa personne, dans un avion de chasse, torse nu à cheval mimant le guerrier mâle viril conquérant, à la chasse à l'ours, etc... les russes devraient vite l'inviter à se reposer en HP.
midilibre.fr — Guerre en Ukraine : une explosion à 300 mètres d'une centrale nucléaire relance la crainte d'une catastrophe - midilibre.fr -
Le procureur général considère que ce dossier doit être jugé hors de Martinique. Ce qui est quand même étonnant parce que c'est lui-même qui a ouvert la procédure après la plainte de Respect DOM, il y a de cela près de 18 mois. Donc pourquoi aujourd'hui ? Les raisons invoquées sont des problèmes de neutralité et de sérénité. Il aurait pu y penser il y a 18 mois. Nous sommes assez choqués que l'on envisage de donner à ce que l'on appelle la communauté békée un traitement particulier.
RCI — Des "békés" se sentent discriminés et attaquent en justice -
C'est le cas par exemple du Siganus, un petit poisson originaire de la mer Rouge, que l'on appelle aussi le poisson-lapin. Pas aussi sympa que son nom pourrait le laisser supposer. Au large des côtes turques, à Antalya, les amateurs de plongée ont suivi l'installation du poisson-lapin. Et ses ravages. "Tous les rochers sont dénudés parce qu'ils sont en train de manger toutes les algues qui poussent, se désole Murat Draman, responsable d'un club de plongée. C'est un peu comme la surface de la Lune, tout est blanc dans les premiers 15-20 mètres. Ils sont en train de transformer ces zones en désert."
Franceinfo — Comment le réchauffement climatique a permis au poisson-lapin de passer des mers tropicales à la Méditerranée -
Si l'on ne peut se chatouiller soi-même, c'est parce qu'il existe dans le cerveau un mécanisme qui réprime les sensations de chatouilles si elles viennent de soi.
Sciences et Avenir — Pourquoi ne peut-on pas se chatouiller soi-même ? - Sciences et Avenir -
Les coupe-cuticules et tous ces autres instruments, qui permettent de s'en débarrasser, seraient donc à bannir, si l'on souhaite éviter de se priver de cette protection naturellement formée par le corps humain.
mediacongo.net - Actualités - Voici pourquoi il ne faut surtout pas couper ses cuticules, selon des médecins -
En confiture avec un fruit rouge, en quiche avec du boudin noir.....La rhubarbe est une plante potagère et plus précisément, un légume-tige que l'on cuisine comme un fruit, en tartes ou en confitures. C'est une plante vivace qui s'ancre en terre par une très grosse racine pivotante et charnue
ici, par France Bleu et France 3 — Que faire avec de la rhubarbe ? -
Option intelligente pour permettre la mobilité multimodale, concurrence déloyale pour les taxis traditionnels... Que l'on soit pour ou contre le modèle économique de l'entreprise, pour beaucoup de gens, les « Uber » (outre les services de livraison de repas) sont aujourd'hui incontournables. Mais l’entreprise entend rapidement se verdir…
VROOM.be — Uber : une transition plus rapide vers l'électrique - VROOM.be -
Sur l'album, leurs titres que l'on connaît bien ont gagné en valeur ajoutée. Ils ont acquis clarté et finesse en touches discrètes; la partition a pris de la couleur, la gamme est pétillante, le rythme frappant, le ton enjoué. C'est la griffe d'un orfèvre, leur complice: Patrick Arpaillange, le détourneur de son. L'enregistrement et le mixage, c'est lui.
ladepeche.fr — Verdun-sur-Garonne. C'est leur complice: Arpa, le détourneur de son - ladepeche.fr -
Déjà, tous les journalistes de la 2 sont hostiles à TOUS les candidats de l'opposition, quelle qu'elle soit. Je pense que l'on verra un grand concours de suce-boules quand Macron viendra. Mais cette connasse, c'était tellement fragrant qu'elle déteste MLP qu'elle en a fait des tonnes contre elle en dépit de l'objectivité journalistique. Même l'intervieweuse en "chef", Léa Salamé, a du la freiner, c'est dire ... Elle est où l'objectivité de ces Connards payés, je le rappelle, par NOS sous ?!
Jean-Marc Morandini — Echange tendu entre Anne-Sophie Lapix et Marine Le Pen hier soir sur le plateau de "Elysée 2022" sur France 2: "Votre hostilité vous aveugle" - VIDEO | Jean-Marc Morandini -
Pour appuyer son propos, cet internaute relaie une capture d’écran d’une page Google où apparaissent des photos de marlin bleu ainsi que le titre d’un article du site d’information américain cnbc.com, où l'on retrouve le chiffre de 2,6 millions de dollars (2, 18 millions d'euros).
Factuel — Non, ce poisson pêché dans un village au Nigeria ne vaut pas des millions de dollars | Factuel -
Le wasabi est une plante originaire du Japon et utilisée comme condiment dans la cuisine nippone notamment pour agrémenter les sushi. Si l'on reconnaît facilement son aspect de pâte verte et son arôme piquant qui monte au nez, à l'image de la moutarde jaune en Occident, peu de personnes ont en réalité déjà goûté à du vrai wasabi, frais et naturel, cultivé que dans quelques régions au Japon.
Kanpai — Wasabi - Le véritable raifort japonais -
L'odontologie est l'une des plus vieilles disciplines de la médecine puisque l'on retrouve ses traces jusqu'à 7 000 ans avec J.-C. Depuis, l'odontologie a très largement progressé grâce aux innovations technologiques. Les chirurgiens-dentistes et les stomatologues sont des principaux praticiens de l'odontologie. Ils peuvent se spécialiser dans l'orthodontie, la parodontologie ou les prothèses dentaires.
Odontologie : qu'est-ce qu'un odontologue ?