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Citations sur le l'on - Page 5

Il y a 3919 citations sur le l'on.

• Quelqu'un qui, depuis sa naissance, n'aurais jamais vu la mort, à qui l'on n'en aurait jamais parlé, en aurait-il l'idée ?

• Le dimanche soir, l'un des pires moments que l'on puisse imaginer : encore en congé mais déjà au travail, toute la force du capitalisme à l'oeuvre.

• Quand on aime, ou bien l'on n'a point de peine, ou bien l'on aime jusqu'à aimer sa peine.

• Savoir où l'on veut aller, c'est très bien ; mais il faut encore montrer qu'on y va.

• Si habile qu'on soit, on ne réussit pas à se mentir sans fin ; l'on se lasse, ou les événements se chargent de nous ouvrir les yeux.

• Les alentours de la trentaine, c'est un âge critique, pour un homme, celui où l'on fait les grosses bêtises, ou plutôt l'âge où les bêtises que l'on fait commencent à être irrémédiables.

• On s'en va parce qu'on a besoin de distraction, et l'on revient parce qu'on a besoin de bonheur.

• Si l'on donnait du café aux vaches, on trairait du café au lait.

• Si j'avais du talent on m'imiterait. Si l'on m'imitait, je deviendrais à la mode. Si je devenais à la mode, je passerais bientôt de mode. Donc il vaut mieux que je n'aie pas de talent.

• L'amour est un ennemi que l'on ne peut vaincre corps-à-corps, mais seulement par la fuite.

• Tout le monde ment, mais personne ne dit : je mens ; tout le monde se réclame de la vérité, alors que dire "je mens" est la seule chose vraie que l'on puisse dire.

• Il y a des gens que l'on mène par la crainte même où ils sont d'être menés.

• On ne peut aimer que si l'on est ivre de vie.

• On est tous les jours dans le cas de se laisser enseigner des choses que l'on sait par des gens qui les ignorent.

• Il n'y a point de chapelle, si petite soit-elle, où l'on prêche au moins un fois dans l'année.

• Il faut avoir vis-à-vis de l'oeuvre que l'on écoute, que l'on interprète ou que l'on compose, un respect profond devant l'existence même. Comme si c'était une question de vie ou de mort.

• On n'aime point parce que l'on veut être aimé. On aime parce que l'on aime. Chemin faisant, l'on voudrait être payé de retour.

• On est puni par où l'on a péché.

• Si l'on veut trouver certains aspects vivants de la Grèce antique, il ne faut pas les chercher dans les monuments, ni même dans les lieux, mais dans telle façon d'être ou de vivre, dans une tradition, une fête, parfois même un conte.

• Si l'on devait vivre éternellement, tout deviendrait monotone. C'est l'idée de la mort qui nous talonne. C'est la hantise et le désir de l'homme de laisser une trace indélébile de son éphémère passage sur cette terre qui donnent naissance à l'art.

• Ce que l'on croît de la vanité, résulte souvent d'un complexe d'infériorité.

• Tout se passe plus dans la tête que dans la raquette. Ce n'est pas tennistiquement que l'on fait une différence, c'est dans la tête, dans l'envie.

• Il y a trois écoles irréductibles en économie sociale : celle où l'on considère l'homme comme une chose ; celle où on le considère comme une bête ; et celle où on le considère comme un frère.

• La libération vient le jour où l'on peut dire : "J'ai fait ce que j'avais à faire, j'ai reçu ce que j'avais à recevoir, j'ai donné ce que j'avais à donner."

• On n'enseigne pas ce que l'on sait ou ce que l'on croit savoir : on n'enseigne et on ne peut enseigner que ce que l'on est.

• Ce que l'on sait le mieux, c'est ce que l'on a deviné, puis ce que l'on a appris par l'expérience.

• Ce qui est, presque toujours, est fort peu de choses, toutes les fois que l'on ne pense pas que ce qui est produit ce qui sera.

• Le bonheur est une petite chose que l'on grignote, assis par terre, au soleil.

• On a toujours associé la campagne à l'amour et l'on a bien fait : rien n'encadre la femme que l'on aime comme le ciel bleu, les senteurs, les fleurs, les brises, la solitude resplendissante des champs ou des bois.

• On est et on demeure esclave aussi longtemps que l'on n'est pas guéri de la manie d'espérer.

• Le sexe représente une force trop immense pour que l'on en fasse bon marché ou mauvais usage.

• Travailler sans en avoir envie, ça n'est pas un travail qu'on fait, c'est une besogne. Et c'est à ces moments-là qu'on se rend compte à quel point l'on a peu de mérite à faire les choses qui vous plaisent.

• Le péché que l'on cache est demi pardonné.

• La fortune que l'on acquiert est en raison des besoins que l'on se crée.

• Chaque privation recèle des avantages cachés et aussitôt que l'on apprend à se passer de quelques commodités, l'on apprend à la chasser pour de bon de ses pensées.

• Qu'il est triste de tout aimer sans savoir ce que l'on aime !

• À force de s'aimer l'on ne se connaît plus.

• Quand on n'a pas ce que l'on aime, il faut aimer ce que l'on a.

• Dans les affaires, comme en amour, il est un moment où l'on doit s'abandonner.

• On cesse d'être jeune au moment où l'on ne choisit plus ses ennemis, où l'on se contente de ceux qu'on a sous la main.