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Citations sur le l'on - Page 21

Il y a 3919 citations sur le l'on.

• La nature, miroir de soi où l'on se retrouve tout entier.

• On ne peut s'enrichir si l'on dépend entièrement de la terre.

• On ne se peut consoler d'être trompé par ses ennemis et trahi par ses amis, et l'on est souvent satisfait de l'être par soi-même.

• L'engagement, c'est un mur conçu expressément pour que l'on fonce dedans.

• Quand on est enfant, ce que l'on dit est enfantin, ce que l'on pense est enfantin, ce dont on parle est enfantin. Mais quand on est adulte, on tue l'enfant qui est en nous.

• Dans l'extrême jeunesse, l'on est trop enclin, comme les femmes, à croire que les larmes dédommagent de tout.

• Cette émulation à inventer des routes plus légitimes vers une mort qu'on l'on a dans sa poche depuis l'âge de raison.

• L'amour est la seule chose que l'on peut emporter avec soi quand vient l'heure du départ.

• La terre, cela ne se vend pas, car rien ne peut-être vendu que l'on ne peut emporter avec soi.

• Il est plus facile de paraître digne des emplois qu'on n'a pas que de ceux que l'on exerce.

• L'âme de la femme est une chose si mystérieuse, si complexe, que l'on va d'émerveillement en émerveillement à mesure qu'elle nous est révélée.

• Le commencement et le déclin de l'amour se font sentir par l'embarras où l'on est de se trouver seuls.

• Il n'y a rien de plus embarrassant que de regarder quelqu'un faire une chose que l'on prétendait impossible à faire.

• Il est embarrassant d'expliquer des réflexions : c'est comme si l'on se rétractait.

• Le mot élucider devient dangereux si l'on croit que l'on peut faire en toutes choses toute la lumière.

• Les justes éloges ont un parfum que l'on réserve pour embaumer les morts.

• La voix du sentiment ne peut nous égarer, Et l'on n'est point coupable en suivant la nature.

• Ce que l'on apprend par l'effort reste toujours ancré plus longtemps.

• C'est dans l'effort que l'on trouve la satisfaction et non dans la réussite. Un plein effort est une pleine victoire.

• Le rôle d'un ministre de l'Intérieur : s'efforcer de tout savoir, et savoir en tout cas tout taire de ce que l'on sait.

• A tromper autrui, l'on risque de se duper soi-même.

• Malheureux, on doute de tout ; heureux, l'on ne doute de rien.

• De tous les mots, les plus douloureux sont ceux que l'on s'est infligés soi-même.

• La grande question dans la vie, c'est la douleur que l'on cause, et la métaphysique la plus ingénieuse ne justifie pas l'homme qui a déchiré le cœur qui l'aimait.

• Se donner n'a de sens que si l'on se possède.

• En toute chose, l'on ne reçoit qu'en raison de ce que l'on donne.

• A quoi sert d'aller dans la lune, à quoi bon dompter l'espace, si l'on ne sait pas dompter le temps ?

• Chacun sait que les armes de dissuasion ne sont efficaces que si l'on ne s'en sert pas.

• Ne combattez l'opinion de personne ; songez que, si l'on voulait dissuader les gens de toutes les absurdités auxquelles ils croient, on n'en aurait pas fini, quand on atteindrait l'âge de Mathusalem.

• L'habileté que l'on exerce dans l'amour ne vient pas de la ruse, elle vient de la disposition qu'on a d'aimer.

• Il faut être discret quand on parle de son bonheur, et l'avouer comme si l'on se confessait d'un vol.

• Le souvenir est une rose au parfum discret que l'on arrose avec les larmes du regret.

• Le péché c'est vouloir ne plus dépendre de Dieu, affirmer que notre destinée se réalise par nos seuls efforts, sans l'aide divine. C'est prétendre discerner seul ce qui est bien de ce qui est mal, et que l'on peut accéder au salut par soi-même.

• Les hommes sont trop occupés d'eux-mêmes pour avoir le loisir de pénétrer ou de discerner les autres : de là vient qu'avec un grand mérite et une grande modestie l'on peut être longtemps ignoré.

• Il faut emprunter les idées du peuple si l'on veut le diriger.

• Quand on ne pense pas ce que l'on dit, c'est qu'on dit ce que l'on pense.

• Solitude. C'est le prix que l'on paie à se différencier des autres.

• Comme on serait content si l'on avait un Dieu !

• Plus de Dieu l'on dispute, et moins l'on en fait croire.

• Nous avons beaucoup d'écrits au style mordant, où l'on se refuse à convenir qu'il existe un dieu. Mais nul athée, autant que je sache, n'a réfuté de façon probante l'existence du diable.