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Citations sur le fleuriste

Il y a 68 citations sur le fleuriste.

• Parmi ces derniers se placent, en première ligne, les arborétums et les arbusteries, qui n'étaient sans doute pas entièrement inconnus au siècle dernier, mais qui n'existaient alors qu'exceptionnellement et comme simple accessoire des jardins fleuristes.

• Oh ! aimable vie policée de nos jardins ! Courtoisie, aménité de potager à « fleuriste » et de bosquet à basse-cour !

• Celui d'un vase en baccarat fourni en fleurs fraîches chaque vendredi par les soins d'une fleuriste proche de la clinique.

• Elle est brunisseuse, brocheuse, plieuse de journaux, chamoiseuse, chamarreuse, blanchisseuse, gantière, passementière, teinturière, tapissière, mercière, bimbelotière, culottière, giletière, lingère, fleuriste ; elle confectionne des casquettes... la pauvre grisette use péniblement sa jeunesse à gagner trente sous par jour...

• Avec un peu de chance, le fleuriste aurait du terreau et me donnerait quelques conseils de diététique cognassière.

• J’ai encore aujourd’hui du mal à considérer que les fleuristes et les coiffeurs ne sont pas des parasites, qui vivant de l’exploitation d’une nature qui appartient à tous, qui accomplissant avec force simagrées et produits odorants une tâche que j’effectue seule dans ma salle de bains avec une paire de ciseaux bien coupants.

• Des fenêtres qui donnent sur la rue Rousselet, la vue plonge dans les jardins de l'Hospice de Saint Jean-de-Dieu. Entre le potager et le jardin fleuriste, un religieux va lentement d'un bout à l'autre d'une longue allée, le visage penché sur son bréviaire.

• Les unes aiment les fleurs, les autres le fleuriste ; les unes assument, les autres bluffent et pleurnichent.

• «De-ci, de-là…», «Poussez, poussez l'escarpolette…» Comme beaucoup, Fanny Ardant ne connaissait pratiquement que ces deux charmants couplets de Véronique, opérette d'André Messager, créée en 1898 aux Bouffes Parisiens et tombée dans un certain oubli. Seuls les connaisseurs, en particulier Benoît Duteurtre, qui a adapté le livret de cette production, n'ignoraient rien des versions gravées sur disque où excellent le baryton Camille Maurane et les sopranos Geori Boué ou Mady Mesplé. Le grand public ne vibrait plus depuis longtemps aux aventures du vil séducteur Florestan et d'Hélène de ­Solanges, qui en est éprise et se déguisera en grisette sous le nom de Véronique pour mieux le séduire. Les deux rôles seront chantés par Dietrich Henschel et la jeune Amel Brahim-Djelloul alors qu'Ingrid Perruche, autre valeur sûre du chant, interprétera Agathe Coquenard, la fleuriste confidente du héros.

• A Niévroz, dans l'Ain, une fleuriste a eu l'idée de vendre ses bouquets à bord d'une estafette des années 70. Du style, des couleurs et des rencontres : portrait d'une passionée de poésie ambulante. 

• Thierry est un Cambrésien de pure souche, fils d’un charcutier renommé pour son andouille. Après ses études à l’école de charcuterie de Bruxelles et une formation de traiteur, il occupe divers emplois dont un long moment à la base 103 de Cambrai comme cuisinier. Mais l’envie de devenir son propre patron le conduit à reprendre le 1er avril 1988, cette charcuterie tenue précédemment par M. Glavier. Il entraîne dans l’affaire son épouse, Corinne, fleuriste dans un magasin cambrésien.

• Au pied de l’église Saint-Germain, à Rennes, une petite boutique fleurit le trottoir. Anne, gaie comme un bouquet de jonquilles, regarde la vie passer derrière sa vitrine de fleuriste.

• L’accrochage de l’exposition comprend également des ex-voto provençaux et des oeuvres contemporaines – « vous reconnaissez là l’esprit de la maison » souligne Bice Curiger – de la sculptrice et potière Natsuko Uchino, de la vidéaste Rose Lowder, du plasticien Cyprien Gaillard, de la fleuriste Marie Varenne, créatrice de bouquets champêtres, « fidèles à ce que la nature nous propose, » dit-elle.

• La fleuriste anglo-finlandaise, installée à Locarn, dans les Côtes d’Armor, a pour sa part retrouvé le marché carhaisien le 16 mai, après plusieurs semaines d’arrêt forcé. Un soulagement pour Hilkka, dont c’est l’unique marché. « Le confinement, c’était très dur. D’autant que je ne pouvais pas bénéficier des aides de l’État. Heureusement, j’ai été soutenue par mes amis et mes voisins ».

• Après plusieurs années passées dans les Halles de Pont-l’Abbé, Amandine Cariou vient d’investir un tout nouvel espace au 7, rue Jean-Jacques Rousseau. La fleuriste commercialise des bouquets, fleurs coupées, plantes vertes et fleuries, plantes d’intérieur et d’extérieur ou encore des fleurs intemporelles. Elle aussi propose des idées cadeaux. Amandine Cariou réalise également des compositions florales pour les événements (mariage, anniversaire, etc). L’arrosoir de Lola est ouvert en semaine à partir du mardi, ainsi que les dimanches matin jusqu’à 12 h 30. Service de livraison. Contact : tél. 02 98 56 40 03.

• Bruno est Fleuriste à Rougemont le Château et, dans les environs, tout le monde connait sa boutique ! Difficile de la rater car la façade, les toits et tout le jardin sont recouverts d’arrosoirs, l’objet de sa passion.

• Alors que l’année s’est interrompue brusquement, les associations travaillent à leur rentrée. L’activité art floral de l’Amicale laïque de Coataudon, à Guipavas, est aussi dans cette démarche. Une nouvelle animatrice viendra assurer les cours dès la rentrée. Il s’agit de Julie Kermarec. « Je suis fleuriste à Daoulas depuis 17 ans et j’interviens aussi auprès des associations. J’ai un CAP, un BEP et également un brevet de maîtrise, ce qui me permet d’enseigner à la Maison familiale rurale de Plabennec », renseigne-t-elle.

• Raphaëlle Duchemin reçoit Caroline Cnocquaert, PDG de la maison Lachaume. L'entreprise est maître Fleuriste depuis 1845, elle accueillait à l'époque Marcel Proust qui venait en personne chaque jour fleurir sa boutonnière d'un cattleya. Au 103 de la rue du Faubourg-Saint-Honoré à Paris, Caroline et sa sœur Stéphanie règnent sur le fleuriste le plus chic de Paris.

• Petit par la taille, grand par l’émotion. C’est toute la force de cet art floral originaire du Japon que propose Barbara Bouillon, dernière d’une longue lignée de fleuriste (un grand-père était champignonniste), installée depuis cet hiver au 19 de la rue Taisson. Kokedama, soit des fleurs en miniatures, se nourrissant d’un substrat de terreau, argile et débris préparé avec soins, recouvert, ensuite, d’une délicate mousse. Une création végétale sans pot, d’une fragilité apparente, pouvant vivre plusieurs années, de laquelle émane un parfum de mystère et de philosophie taoïste.

• Petite boutique des horreurs est l’histoire de Seymour, un fleuriste doux qui travaille chez les fleuristes bien nommés Skid Row, où il est sous la coupe du propriétaire, M. Mushnik, mais où il est aussi secrètement amoureux d’Audrey, qui travaille également à la lutte magasin. Seymour devient une célébrité lorsqu’il découvre une plante ressemblant à un piège à mouches de Vénus qu’il surnomme Audrey II, mais sa vie devient désastreusement compliquée lorsque la plante demande à être nourrie de sang humain, puis finalement les gens eux-mêmes.