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Citations sur l'estomac

Il y a 22 citations sur l'estomac.

• Le propre de la nouvelle cuisine est de vider le portefeuille sans remplir l’estomac.

• Le coeur et l'estomac communiquent ; on réconforte celui-là en comblant celui-ci.

• Le véritable chemin pour toucher le coeur d'un homme passe par son estomac.

• - J'ai l'estomac dans les talons. - On aimerait mieux avoir l'étalon dans l'estomac.

• Eros maladroit qui manque le coeur et n’atteint que l’estomac...

• Manger est un besoin de l’estomac ; boire est un besoin de l’âme.

• Celui qui ne s’occupe pas de son estomac, s’occupera difficilement d’autre chose.

• L'autopsie révèle que la mort leur est restée sur l'estomac.

• On ne peut être patriote en ayant l'estomac vide.

• Celui qui mange l'estomac plein, creuse sa tombe avec ses dents.

• Quand on a trop mangé, l’estomac le regrette et quand on n’a pas assez mangé l’estomac le regrette aussi.

• Oui ; mieux que la raison l'estomac nous dirige.

• Un estomac creux n’est pas un bon conseiller politique.

• L'estomac compense le coeur.

• Ne vous suicidez jamais l’estomac vide ; c’est mauvais pour la digestion.

• Une pièce d'estomac de batiste, bien blanche et bien plissée, supplée à la chemise qui lui manque

• Crochet gauche au corps, uppercut droit à l'estomac

• Ce que le grade vous donne de « l’estomac ! » Ce que la subalternisation vous déprime !…

• Et ce pauvre hère, ragaillardi lui aussi par le thé et la bonne chère, traduit alors la reconnaissance de son estomac repu par un concert qui porte la satisfaction générale à son comble.

• Les ruminants ont plusieurs estomacs : le rumen, le bonnet ou réseau, le feuillet et la caillette.

• Au milieu de cette existence enragée par la misère, Gervaise souffrait encore des faims qu'elle entendait râler autour d'elle. Ce coin de la maison était le coin des pouilleux, où trois ou quatre ménages semblaient s'être donné le mot pour ne pas avoir du pain tous les jours. Les portes avaient beau s'ouvrir, elles ne lâchaient guère souvent des odeurs de cuisine. Le long du corridor, il y avait un silence de crevaison, et les murs sonnaient creux, comme des ventres vides. Par moments, des danses s'élevaient, des larmes de femmes, des plaintes de mioches affamés, des familles qui se mangeaient pour tromper leur estomac. On était là dans une crampe au gosier générale, bâillant par toutes ces bouches tendues ; et les poitrines se creusaient, rien qu'à respirer cet air, où les moucherons eux-mêmes n'auraient pas pu vivre, faute de nourriture. Mais la grande pitié de Gervaise était surtout le père Bru, dans son trou, sous le petit escalier. Il s'y retirait comme une marmotte, s'y mettait en boule, pour avoir moins froid ; il restait des journées sans bouger, sur un tas de paille. La faim ne le faisait même plus sortir, car c'était bien inutile d'aller gagner dehors de l'appétit, lorsque personne ne l'avait invité en ville. Quand il ne reparaissait pas de trois ou quatre jours, les voisins poussaient sa porte, regardaient s'il n'était pas fini. Non, il vivait quand même, pas beaucoup, mais un peu, d'un oeil seulement ; jusqu'à la mort qui l'oubliait ! Gervaise, dès qu'elle avait du pain, lui jetait des croûtes.  

• - J'ai l'estomac dans les talons. - On aimerait mieux avoir l'étalon dans l'estomac.