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Citations sur l'est - Page 56

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• Appeler les femmes "le sexe faible" est une diffamation ; c'est l'injustice de l'homme envers la femme. Si la non-violence est la loi de l'humanité, l'avenir appartient aux femmes.

• Dans la sphère religieuse, la femme est le sexe fort.

• Le style simple est semblable à la clarté blanche. Il est complexe, mais il n'y paraît pas.

• L’amoureux est un être complexe qui cherche aussi à rendre heureux.

• L'inspiration poétique est la forme occidentale de la voyance.

• Il n'y a pas d'éternité dans le regard de l'homme, et encore moins dans celui du poète qui regarde l'homme. Car l'artiste est celui qui inspire plutôt que celui qui est inspiré.

• Quelque horreur qu'inspire une violence amoureuse à la personne qui en est l'objet, il est à remarquer qu'elle en inspire encore davantage aux femmes à qui elle n'est point faite.

• Trop longtemps, le contrat social s'est inspiré d'un Dieu sans justice ; il est temps qu'il s'inspire d'une justice sans Dieu.

• Le poète est celui qui inspire bien plus que celui qui est inspiré.

• L’intellectuel dont la richesse est toute intérieure n’a rien à craindre du percepteur qui voudrait le taxer sur ses signes extérieurs de richesse.

• Plus un caillou a roulé, plus il est poli. Les chauffeurs de taxi, c'est le contraire.

• L'amour est la seule chose au monde que le gouvernement ne peut pas taxer.

• Aux Etats-Unis, l’ambition est toujours récompensée... par des taxes importantes.

• Le monde de l'économie est frappé par le syndrome du Sumo is beautiful. On pense que pour être le plus fort, il faut être le plus gros. Mais les sumotoris les plus gros, ce sont eux aussi qui meurent le plus jeune.

• Si l’on pose d’un côté ce qu’un hold-up rapporte en argent et de l’autre ce qu’il rapporte en années de prison, on s’aperçoit que le truand est bien le salarié le plus misérable du monde.

• Une grève est un mouvement organisé par des salariés pour réclamer le paiement des jours où ils n’ont pas travaillé.

• Le meilleur moyen d’arrêter de fumer est d’emporter des allumettes humides.

• La vie industrielle est telle qu’il est impossible de fixer des seuils, des échéances.

• Idée : plus elle est fixe, plus elle trotte.

• Ce qui n'est pas fixé n'est rien. Ce qui est fixé est mort.

• Si je devais choisir un super héros, je choisirais Superman Il est tout ce que je ne suis pas…

• Un pays où on peut se moquer des politiques, des religions, des races et des sexualités est mieux armé qu’un autre contre l’extrême droite.

• Nous parlons le même langage Et le même chant nous lie Une cage est une cage En France comme au Chili.

• La même femme est presque toujours la même femme ; le même plat n'est jamais le même plat.

• Le chant des oiseaux est le même en forêt et dans les champs ; il est le même devant le wigwam et devant le château ; il est toujours le même, qu’ils s’adressent au sauvage ou au sage, au chef ou au roi.

• Un jeu de mots est comme une paire de chaussures ; quand il est usé, on le ressemelle et il fait encore bon profit.

• Le sondage est le jeu de mots des chiffres.

• La différence entre Los Angeles et le yaourt est que le yaourt est le symbole d'une vraie culture.

• A Los Angeles les distances sont si considérables que tout piéton est suspect.

• Malheur au monde à cause des scandales ! Il est fatal, certes, qu'il arrive des scandales, mais malheur à l'homme par qui le scandale arrive !

• L'amitié est certes le plus doux des baumes aux plaies des amours déçues.

• L'amour c'est généreux, calme et détendu. Quelquefois cela dure, et quelquefois cela passe, mais au fond cela n'est jamais aussi grave qu'on le pense et il est très prétentieux de vouloir enfermer un homme et une femme dans un sentiment éternel.

• Que l'homme est né pour le bonheur, certes toute la nature l'enseigne.

• Affronter un bavard est une épreuve, certes. Mais que faire de celui qui vous envahit pour vous imposer son mutisme ?

• Manger quand on a faim est quand même un plaisir, simple certes, mais toujours agréable.

• Le bonheur est certes un bien, mais un bien qui s’accommode mal du pluriel.

• L'espagnol est la langue des amants, l'italien est celle des chanteurs, le français celle des diplomates, l'allemand celle des chevaux.

• La musique [...] est la vapeur de l'art. Elle est à la poésie ce que la rêverie est à la pensée, ce que le fluide est au liquide, ce que l'océan des nuées est à l'océan des ondes.

• Quand j’étais petit je faisais ce que mon père voulait. Maintenant il faut que je fasse ce que mon fils veut. Mon problème est de savoir quand enfin je pourrais faire ce que je veux !

• Ce que la lumière est aux yeux, ce que l'air est aux poumons, ce que l'amour est au coeur, la liberté est à l'âme humaine.