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Citations sur l'est - Page 166

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• La contradiction est la sauvegarde de l'éternité

• La joie de satisfaire un instinct resté sauvage est incomparablement plus intense que celle d'assouvir un instinct dompté.

• Le solitaire est un diminutif du sauvage, accepté par la civilisation.

• La beauté est un jardin sauvage...

• L'ennui est la maladie de la vie. On se fait des barrières pour les sauter.

• Qui est âne et veut être cerf se connaît au saut du fossé.

• Le rire est le saut du possible dans l'impossible.

• On ne saurait être sage quand on aime, ni aimer quand on est sage.

• Mes chers amis, quand je mourrai Plantez un saule au cimetière ; J'aime son feuillage éploré, La pâleur m'en est douce et chère, Et son ombre sera légère À la terre où je dormirai.

• La mort est le meilleur sauf-conduit vers l'oubli.

• Lorsque le saucisson est trop long, on y remédie facilement.

• Un intellectuel est quelqu’un qui regarde une saucisse et pense à Picasso.

• Le chat est comme la sauce bolognaise, il retombe toujours sur ses pâtes.

• L'amour est un plat vite écoeurant, quand le mariage lui sert de sauce.

• Un cannibale est un homme qui aime son prochain avec de la sauce.

• Il est difficile de vaincre ses passions, et impossible de les satisfaire.

• Il est moins doux d'assouvir son amour que de satisfaire à sa vengeance.

• Pour une satisfaction passagère, l'homme est capable d'oublier son âme.

• Il y a deux tragédies dans la vie : l’une est de ne pas satisfaire son désir et l’autre de le satisfaire.

• Le rêve est la satisfaction d’un désir.

• L'emportement de la satire est inutile : il suffit de montrer les choses telles qu'elles sont. Elles sont assez ridicules par elles-mêmes.

• La chanson est dans le quotidien de chacun ; c'est sa fonction, sa force. Sociale, satirique, révolutionnaire, anarchiste, gaie, nostalgique... Elle ramène chacun de nous à son histoire.

• A l'heure où les satellites traversent toutes les frontières, les langues, les idéologies, il est impossible de créer une société hermétique.

• La faim est toujours suivie de ses satellites : la rage et le désespoir.

• Le rire est satanique, il est donc profondément humain.

• La vie est comme une boîte de sardines ; nous cherchons tous la clé.

• Le chemin est rapide du sarcasme à la rébellion.

• L'enfance c'est de croire qu'avec le sapin de Noël et trois flocons de neige toute la terre est changée.

• Lorsqu'un chêne sent le sapin, il sait que sa dernière heure est arrivée.

• Constatation : le sapin est un arbre horizontal !

• Sapiens sapiens, cet homme développé que nous sommes, est une forme extrême du processus d'individuation.

• Aller à l’opéra, comme se saouler, est un péché qui comprend sa propre punition.

• Un homme intelligent est parfois obligé d’être saoul pour passer du temps avec les imbéciles.

• La gaieté est la moitié de la santé.

• Où l'on est bien, là est la patrie.

• Il est doux, il est beau de mourir pour sa patrie.

• Partout où l'on est bien, là est la patrie.

• Lorsque l'esprit est plein de joie, cela sert beaucoup à faire que le corps se porte mieux et que les objets présents paraissent plus agréables.

• L'espoir est un bon petit déjeuner, mais c'est un méchant souper.

• Le doute est un hommage rendu à l'espoir.