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Citations sur l'embrasse

Il y a 21 citations sur l'embrasse.

• Quant à A. Dumas, tout le monde sait sa verve prodigieuse, son entrain facile, son bonheur de mise en scène, son dialogue spirituel et toujours en mouvement, ce récit léger qui court sans cesse, et qui sait enlever l’obstacle et l’espace sans jamais faillir. Il couvre d’immenses toiles sans fatiguer jamais ni son pinceau ni son lecteur. Il est amusant. Il embrasse, mais il n’étreint pas comme Balzac. Des trois derniers, Balzac est celui qui étreint et qui creuse le plus.

• Je ne sais plus bien quoi vous dire. D’ailleurs depuis cinq minutes je bafouille consciencieusement. Je vous embrasse de tout mon cœur en vous quittant comme je vous aime.

• Vous me dîtes de vous donner des détails sur mon existence, mais je travaille tout le temps, c'est peu varié. Je vous quitte pour aller faire de l'algèbre. Je vous embrasse de tout mon cœur.

• J’embrasse mon rival, mais c’est pour l’étouffer.

• Quand toujours coïncide avec exister, l’être embrasse l’éternité.

• Le mot homme est un terme générique qui embrasse les femmes.

• N'embrasse pas les morts car ils étouffent les vivants.

• Misogyne : un homme qui, lorsqu'il embrasse une femme sur les lèvres, serre les dents.

• Qui se mêle d'un différent embrasse une bien mauvaise querelle.

• Quand on veut dresser sa conscience, elle vous embrasse, en vous mordant.

• Qui trop embrasse mal étreint.

• Le théâtre est l'endroit où on embrasse le plus et où on s'aime le moins.

• Celui d'entre vous qui se croit sage, qu'il embrasse la folie pour trouver la sagesse.

• On ne se jette pas dans des bras croisés. Même assoiffé d’affection, on n’embrasse pas les oursins.

• Dès qu'on nous embrasse, il est bon de prévoir tout de suite l'instant où nous serons giflés.

• Aussi vaste que l'espace qu'embrasse notre regard est cet espace à l'intérieur de nous.

• Qui trop embrasse, mal éteint.

• Quand un voleur vous embrasse, comptez vos dents.

• Une piqûre pour une rédemption. Une seringue pour renaître à la vie normale. Une dose, deux doses, pour renouer avec la banalité des choses merveilleuses. Enfin sortir du pesant huis-clos. Enfin respirer hors les murs et les murmures. Enfin trinquer au comptoir, m’attabler au restau et m’asseoir au théâtre. Enfin embrasser une foule de gens que je n’embrasse aujourd’hui qu’à travers le masque d’un smartphone. Enfin me couler là où nage le monde et me coller à cette multitude. Vivre dans la pollution du bonheur collectif, dans le stress retrouvé de ma ville, dans le débraillement de ma vie.

• À l’occasion du Nouvel An, Serge Arnaud, membre de l’Association Amiproche, a fait des recherches sur le gui et ses traditions. Il nous parle ici du culte que cette plante a toujours suscité et la tradition de s’embrasser sous cette plante protectrice.