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Citations sur l'écouvillon

Il y a 51 citations sur l'écouvillon.

• Un chercheur de Québec a mis au point un test beaucoup moins intrusif que l’écouvillon afin de dépister la COVID-19 qui sera utilisé dans la région de Chaudière-Appalaches. Le Dr Jeannot Dumaresq, microbiologiste-infectiologue de l’Hôtel-Dieu de Lévis, a mis au point un test sous forme de gargarisme.

• Seul producteur français de bâtonnets ouatés (il produit 33 milliards de cotons-tiges par an), leader européen et numéro 2 mondial de son marché, Lemoine, créé en 1978, a pu, en moins d’un mois, fournir ses premiers écouvillons... tricolores et ainsi assurer l’indépendance de la France. Au total, 4 millions ont été livrés.

• Le Président américain s’est rendu vendredi 5 juin dans le Maine pour visiter une usine qui fabrique des écouvillons pour les tests de coronavirus. Cependant, sans expliquer la cause, l’entreprise a annoncé qu’elle détruirait la production réalisée en sa présence.

• Après avoir lancé la production du seul écouvillon entièrement fabriqué en France en pleine pandémie du coronavirus, le groupe normand Lemoine aimerait produire des masques et des surblouses hospitalières.Ces dernières ne sont plus produites en Europe.

• Car jusque là, le mode de dépistage du Covid-19 se faisait essentiellement de deux façons: par prélèvement nasal (le fameux écouvillon au fond du nez) ou par prélèvement sanguin.

• Les résultats du dépistage massif mené à Fives il y a une quinzaine de jours sont aujourd’hui connus : 212 tests PCR (écouvillon nasal) réalisés dont 1 positif et 208 sérologies dont 7 avec anticorps.

• Affluence, ce samedi matin au Boulingrin de Reims, pour le lancement de la campagne de dépistage du Covid-19, sans rendez-vous et sans ordonnance. De nombreuses personnes ont fait la queue dès 9 heures, devant une tente et un bus dans lesquels était effectué le test nasal à l’aide d’un écouvillon. Mais, devant l’affluence et un petit problème informatique, tous ceux qui le souhaitaient n’ont pu être testés. La campagne de dépistage se poursuit ce samedi, à partir de 14 heures, place d’Erlon.

• Quatre personnes en blouse blanche et gants bleus les attendaient pour procéder au test virologique, celui qui consiste à faire un prélèvement à l'aide d'un écouvillon dans chacune des deux narines. Une sorte de grand coton-tige qui s'insère jusqu'à 15 cm dans le nez.

• On espère que les tests de salive seront plus efficaces et plus simples que les tests de la gorge et des écouvillons nasaux actuellement utilisés, qui sont difficiles à prendre et qui, selon les estimations, donneraient des résultats non fiables dans jusqu’à 30% des cas.

• Le test PCR se pratique à l'aide d'un écouvillon qui prélève des cellules nasales. Cet acte n'est pas très agréable car qu'il faut introduire l'écouvillon assez profondément dans le nez. Néanmoins, ce prélévement est rapide.

• L’étude sur l’industrie mondiale des écouvillons et des moyens de transport viraux aide chaque entreprise à fournir des opportunités significatives aux entreprises spécifiques ainsi que l’avenir de l’industrie mondiale des écouvillons et des moyens de transport viraux. L’objectif principal du rapport sur le marché des écouvillons et des moyens de transport viraux est d’inclure une information de profil récemment mise à jour pour tenir un registre du marché des écouvillons et des moyens de transport viraux à travers le monde aux côtés des décisions commerciales.

• Enquête | Selon la cellule investigation de Radio France, les livraisons d’écouvillons destinés aux robots chinois achetés par la France ont été temporairement suspendues. Des expertises doivent dire s'ils peuvent bien être utilisés dans le dépistage du Covid-19.

• "Avec un seul écouvillon ou échantillon, des tests combinés peuvent être utilisés pour obtenir des réponses aux Américains plus rapidement. Cette efficacité peut grandement contribuer à fournir des informations en temps opportun aux personnes atteintes d'une maladie respiratoire inconnue", a-t-il indiqué.

• « Les limites des tests PCR et le fait que, quel que soit le résultat du test, la prise en charge du patient sera identique, avec tout le protocole sanitaire lié au virus, ne nous a pas incités à rendre ce test PCR obligatoire. » Toutefois, la liberté a été laissée aux praticiens d’imposer ce test ou non à leur patientèle. La plupart des médecins hospitaliers décident désormais d’envoyer leurs patients non seulement chez l’anesthésiste, mais aussi au laboratoire pour subir l’épreuve de l’écouvillon dans les narines.

• Spécialiste de la fabrication de produits de soins et d'hygiène, le groupe Lemoine, basé dans l'Orne, produit désormais plus d'un million d'écouvillons par semaine.

• Cependant, l’annonce a rapidement suscité la controverse, car elle a révélé que le décompte comprend des kits d’écouvillons envoyés à des maisons privées et des sites de test par satellite non encore livrés à un laboratoire pour un résultat.

• Tous les cas avaient présenté de la fièvre et des saignements avant leur décès. Sur les 4 patients décédés, 2 se sont rendus à l'Hôpital général de référence (HGR) de Wangata. Un échantillon (écouvillon) a été prélevé sur l'un d'entre eux le 30 mai. 

• Alors que la stratégie de déconfinement prévoit une augmentation du nombre de tests de dépistages de Covid-19, les laboratoires lorrains doivent s'organiser pour avoir suffisamment d'écouvillons de prélèvement. Tout sauf évident.

• C’est le dépistage naso-pharyngé, dit PCR, qui consiste à faire un prélèvement dans le pharynx avec un écouvillon très fin, grâce à un geste technique. Ce test permet de savoir si le coronavirus est présent dans le nez à l’instant T. Les prélèvements sont effectués par des biologistes de mon laboratoire (Barrand) mais ensuite ils seront analysés par le CHU de Strasbourg. Mon laboratoire n’est pas encore équipé pour faire les analyses, bien que la machine ait été commandée il y a un mois et demi.

• Alors que le coronavirus circule désormais très faiblement dans le pays, les pédiatres vaudois ont décidé de ne plus dépister systématiquement les enfants faisant état de symptômes isolés. Ce changement de pratique pourrait faire école, l’OFSP réfléchissant à adapter ses directives en ce sens, révèle la RTS. Le frottis nasopharyngé, qui consiste à prélever des cellules du nez et de la bouche avec un écouvillon, est particulièrement désagréable pour les jeunes patients.