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Citations sur l'école ménagère

Il y a 43 citations sur l'école ménagère.

• Julia est décédée le 2 mars. Elle est née à Charquemont en 1923, enfant unique d’un second mariage de Louis Sandoz avec Thérèse Racine. Après avoir obtenu son certificat d’études et effectué une formation à l’école ménagère des Fontenelles, elle est embauchée le jour de ses 14 ans comme horlogère.

• Lydie Brosse est née Fourny le 4 avril 1926 à Souternon, avant dernière d’une famille nombreuse, elle poursuit sa scolarité par l’école ménagère.

• Les avez-vous reconnues ? Ces jeunes filles ont fréquenté l’école ménagère de l’Isère. C’est précisément la session du...

• Peu de femmes ont des emplois salariés, le public de l'école ménagère est principalement composé de jeunes filles de milieu modeste qui complètent ainsi leur scolarité primaire pour se préparer à la vie, aux travaux domestiques, aux jardins potagers, aux petits élevages, aux travaux de la ferme.

• «Étudiantes du cours de cuisine, 1ère décade, École ménagère provinciale», vers 1910. Cette école n’a pas fait partie intégrante de l’Université de Montréal, mais Estelle LeBlanc, qui en fut la directrice de 1946 à 1952, tenta – en vain – de la rattacher à l’UdeM en 1951 pour y créer un programme en sciences domestiques équivalent à celui offert à l’Université McGill pour la communauté anglophone. Dirigée par des ecclésiastiques, l’UdeM était plutôt traditionaliste à l’époque…

• Le projet d’école ménagère à Moutier est combattu. La récolte de signatures en vue du dépôt d’un référendum a été lancée mercredi, selon un communiqué signé par un citoyen prévôtois. La démarche se veut « non-agressive et totalement indépendante de la Question jurassienne », indique Benoît Marchand au nom d'un comité référendaire. Si le peuple doit être appelé aux urnes, c’est que le projet accepté par le Conseil de ville de Moutier lors de sa séance du 28 juin est trop cher, et surtout validé dans des conditions discutables selon lui.

• En salles le 22 juin, "La Bonne Épouse", nouvelle réalisation de Martin Provost, situe son action à l'aube de mai 68, dans une école ménagère tenue par une héroïne en requestionnement (Juliette Binoche). Joel Lebeaume, spécialiste sur cette thématique peu traitée au cinéma, répond aux interrogations du Journal des Femmes.

• Les bénévoles ont travaillé d’arrache-pied ces derniers jours pour organiser cet événement exceptionnel, en répartissant notamment par catégories les divers objets à vendre dans les six salles de l’Ermitage, qui était autrefois « l’école ménagère de Guémené-Penfao ».

• Coup de tonnerre à Moutier. L’épineux dossier de l’école ménagère ne verra pas le jour au passage de l’Ours. Propriétaire du bâtiment qui aurait pu être mis en location pour une durée de 20 à 30 ans, Laurent Schaffter laisse tomber le projet, pourtant validé par le Conseil de Ville fin juin. Le vote du législatif prévôtois a été combattu par un référendum, déposé à la chancellerie municipale au début du mois. Mais Laurent Schaffter n’a plus envie de se battre. L’entrepreneur estime les pertes entre 150 et 200'000 francs pour lui et explique sa décision:

• J'ai fréquenté cette école. C'est là que j'ai eu mon certificat d'études. Je me souviens qu'il y avait l'école ménagère à côté.

• Au décès de ce dernier, hélas trop jeune, elle se trouve très démunie et doit aller travailler comme cuisinière à la Providence à Mimizan (école ménagère privée pour jeunes filles), faire des ménages chez les particuliers, les vendanges et parfois les saisons d’été pour les touristes.

• « C’est une dame que j’ai rencontrée par hasard, il y a quelques années, qui m’a raconté sa vie et qui m’a parlé d’une école ménagère qu’elle avait décidé de fréquenter quand elle était jeune pour ne pas être séparée de ses amies qui étaient des filles d’agriculteurs », relate le cinéaste lors d’un entretien téléphonique accordé au Journal.

• Diminuée au fil du temps par la maladie, mais toujours portée par sa foi profonde, Monique Gavirey s’en est allée ce mercredi 24 novembre au terme d’une existence marquée du sceau de la volonté et d’un caractère bien trempé. Née le 4 mai 1935 à Vaire-le-Petit et benjamine d’une fratrie de dix enfants, elle travaille à la ferme avec ses parents Louis et Marie-Louise Maillot, après son certificat d’études et ses deux années à l’école ménagère de la Providence.

• Paulette était née le 7 mars 1934 au Chambon à Grammond. Enfant elle va à l’école libre, en pension, à Saint-Denis-sur-Coise, puis fait deux années d’école ménagère à Saint-Galmier.

• Elle a fréquenté l’école ménagère, et a été à 17 ans chargée d’élever un de ses neveux, orphelin de sa maman. Travaillant dans le commerce à Saint-Clément, elle a rencontré Norbert Tondeur, qu’elle a épousé en 1956 et a eu la douleur de perdre en 1989. De leur union sont nés Martine, Sylvie, les jumeaux Patrice et Dominique, Eric, puis cinq petits-enfants et trois arrière-petits-enfants.

• Chaque jour, retrouvez le programme des films et séries à voir à la télé. Ce soir : Juliette Binoche dans une école ménagère des années 60, un drame familial signé Xavier Dolan et un péplum biblique.

• A l'automne 1967, Paulette Van Der Beck (Juliette Binoche), directrice d'une fameuse école ménagère en Alsace, accueille les adolescentes à qui on va inculquer les sept piliers de la sagesse domestique, soit tenir son foyer et se plier au devoir conjugal sans moufter. A la suite du décès subit de son mari macho et joueur (François Berléand), Paulette se retrouve seule à la tête de l'institution, criblée de dettes. Ce sera le début de son émancipation.

• Juliette Binoche, irrésistible directrice d'une école ménagère dans "La Bonne Épouse"

• Dans un temps pas si lointain, les femmes n'étaient pas considérées comme les égales des hommes. Elles apprenaient leur métier de bonne épouse dans une école ménagère. Martin Provost en a fait un film, qui sortira mercredi 11 mars en salles. 

• Ces trois documents, totalisant plus de 80 pages, permettent d’en savoir davantage sur le patrimoine bâti (École ménagère, Institut La Mennais ainsi que les écoles de rang et du village), l’auteure s’attardant particulièrement sur les familles Chabot et Giguère ainsi que sur le curé Lauzé, qui a exercé son ministère pendant 32 ans à Lac-Etchemin, dans la troisième brochure.