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Citations sur le des - Page 92

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• L'interminable est la spécialité des indécis.

• Le philosophe est le spécialiste des généralistes.

• La séparation des savoirs, la spécialisation en domaine isolé nuit considérablement au développement de la recherche.

• L’amour n’est pas la spécialité des humains.

• Le décathlonien est le généraliste des spécialités.

• Les fusées spatiales, ça coûte des centaines de millions et il n’y a même pas de klaxon.

• Les hommes sont empêtrés dans leurs fantasmes comme des spaghettis dans du parmesan fondu.

• La grande différence entre un Italien et un Français, c’est qu’en mangeant des spaghettis, l’Italien peut penser à autre chose.

• Pas un homme n'est en proie à la solitude pendant qu'il mange des spaghettis.

• Il est plus facile de jouer au mikado avec des spaghettis crus qu'avec des spaghettis cuits.

• Le chocolat est bien évidemment la matière dont sont faits les rêves. Des rêves riches, noirs, soyeux et doux qui troublent les sens et éveillent les passions.

• Le communisme, c'est le pouvoir des Soviets plus l'électrification du pays.

• Le grotesque, c'est l'un des procédés essentiels à la souveraineté arbitraire.

• On peut détruire le souvenir avec des mots, mais non la beauté de ce souvenir.

• Il y a un espoir souverain dans les yeux des jeunes filles.

• L'absence des médecins est un souverain remède.

• L’or est le souverain des souverains.

• Le souvenir des peines passées est agréable.

• Combien des maux passés douce est la souvenance.

• Comment se fait-il que des enseignants du secteur public aient le temps d’aller faire du soutien individualisé payant et ils n’ont pas le temps de faire du soutien individualisé gratuit dans les établissements scolaires.

• La place de l’artiste est de soutenir des idées, et pas des personnalités.

• C'est la cohorte des fourmis qui, dans les galeries souterraines des bas-fonds de la société, permet à l'économie d'avancer.

• Durant l'absence de pluie, ce sont les jeunes arbres qui jaunissent les premiers. Les vieux ont des cachettes souterraines qu'on appelle expérience.

• Il faut des crimes pour soutenir des crimes.

• Sous la soutane du prêtre qui confesse, un Dieu rieur se cache et s'amuse d'entendre déplorer des péchés qu'il n'a jamais eu l'inélégance de nous reprocher.

• A voir la manière dont on use auprès des malades dans les hôpitaux, on dirait que les hommes ont imaginé ces tristes asiles, non pour soigner les malades, mais pour les soustraire aux regards des heureux dont ces infortunés troubleraient la jouissance.

• La femme, c'est la multiplication des problèmes, la soustraction de l'argent et la division des amis.

• Quand on ne comprend pas sa femme, est-ce qu'on peut demander, comme au cinéma, des sous-titres ?

• L'humour est une langue étrangère pour certains, il leur faudrait des sous-titre

• Là où d'autres proposent des œuvres, je ne prétends pas autre chose que de montrer mon esprit.

• La grimace est le sourire des pauvres.

• L'éloquence est la source des richesses.

• Penser, c'est laisser monter des paroles jusqu'à sa bouche et, en fronçant les sourcils, en serrant les dents, en pinçant les lèvres, les retenir.

• Il nous appartient - quand tout nous fait défaut et que tout s’éloigne - de donner à notre vie la patience d’une oeuvre d’art, la souplesse des roseaux que la main du vent froisse, en hommage à l’hiver. Un peu de silence y suffit.

• Jeunesse du prince, source des belles fortunes.

• L'oeil ne s'élève jamais au dessus des sourcils.

• On donna des yeux à un aveugle et il se mit à demander des sourcils.

• Y a-t-il une oreille assez fine pour entendre le soupir des roses qui se fanent ?

• Tant qu'il y aura des yeux reflétant les yeux qui les regardent ; tant qu'une lèvre répondra en soupirant à la lèvre qui soupire ; tant que deux âmes pourront se confondre dans un baiser, il y aura de la poésie !

• Si d'un vent elle entend quelque sifflante haleine, Par le feuillage épais des chênes se ployant, Qu'il lui semble écouter les soupirs de ma peine.