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Citations sur le des - Page 701

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• Il y a un tour de Fiction, au moyen duquel la penſée ne doit pas être entendue littéralement comme elle eſt énoncée, mais qui laiſſe apercevoir le véritable point de vûe en le rendant ſeulement plus ſenſible & plus intéreſsant par la Fiction même. De là naissent l’Hyperbole, la Litote, l’Interrogation, la Dubitation, la Prétérition, la Réticence, l’Interruption, le Dialogiſme, l’Épanorthoſe, l’Épitrope & l’Ironie ; celle-ci ſe ſoudiviſe à raison des points de vûe ou des tons en ſix eſpèces : savoir la Mimèſe , le Chleuaşme ou Perşifflage , l’Aştéişme , le Charientiŝme , le Diaŝirme & le Sarcaşme.

• C’est au rythme des querelles et des menaces de morts que l’univers du bikutsi version féminine a livré son actualité de la semaine, sur la toile. Entre injures publiques, menaces de mort et persifflage de carrière, les têtes de proue de la nouvelle génération du Bikutsi, ont une fois de plus humilié l’univers.

• La scène s’est enjolivée avec un ensemble de musiciens et d’instruments. Violon, guitare électrique, batterie, tambour, bendir, clavier et gasba (flûte oblique) ont permis à « Al Naghar » de se présenter sous une forme unique et frissonnée. La gasba était l’instrument maître de la cérémonie de ce projet avec des solos représentatifs de la musique du Nord-Ouest de la Tunisie.

• Du côté du Village-Noir, des sons assourdis de benadir et de gasba retentissaient...

• Margarita a 49 ans. Cette Hondurienne travaille à la manufacture Gildan, une maquiladora appartenant à des intérêts canadiens. Elle a cinq enfants et trois petits-enfants et habite près de Choloma. Native de San Pedro Sula, elle a passé toute sa vie dans cette région du Honduras. Margarita travaille dans les maquilas depuis 15 ans, et sa santé s’en ressent.

• Selon des chiffres préliminaires, 30,3 % de la valeur ajoutée de l’industrie maquiladora en 2022 correspondait à la production de matériel de transport.

• Parmi les points d’interdépendance, on trouve la maquiladora, conçue comme un vecteur de production et depuis le début, comme une stratégie de réduction des coûts de l’appareil productif américain par le déplacement de ses processus de production, à la recherche de main d’œuvre et/ou [sic] nuisibles à la santé humaine et environnementale.

• La nécrolyse épidermique est la plus sévère des allergies médicamenteuses. Elle se caractérise par un décollement muqueux et cutané. Si elle reste rare (6,5 cas /million/ an), elle est particulièrement grave puisque la mortalité est de 15 à 30 % en phase aiguë. Dans 85% des cas, il s'agit d'une réaction retardée à un médicament inducteur dont l'arrêt précoce est associé à un meilleur pronostic.

• "Il s’agit des syndromes de Stevens-Johnson, de Lyell (ou nécrolyse épidermique toxique) et du DRESS (syndrome d’hypersensibilité médicamenteuse avec éosinophilie et symptômes systémiques)" explique l'ANSM dans une lettre d'information destinée aux médecins. Dans de très rares cas, cela peut aboutir au décès du patient.

• En cas de suspicion de nécrolyse épidermique toxique, le traitement doit être immédiatement interrompu, et le patient doit être adressé en urgence à un dermatologue. Dans un communiqué publié en novembre 2023, la Haute autorité de santé (HAS) a préconisé de contacter directement le SAMU "devant des signes de gravité hémodynamiques ou respiratoires, et/ou de contacter directement l’un des sites (coordonnateur, constitutif ou decompétence) du centre national de référence 'Dermatoses Bulleuses Toxiques et toxidermies graves TOXIBU'".

• La création de la véloroute entre la zone portuaire de Gauville, à Saint-Wandrille-Rançon, et l'entrée de Caudebec-en-Caux, sur la Départementale 982, est prévue pour le dernier trimestre 2024. La future voie verte, d'une longueur de 1,8km, est l'un des maillons...

• Sur ce secteur, les canaux seront ainsi progressivement vidés. L’usage de la véloroute sera dès lors perturbé avec des fermetures ponctuelles. Pour des raisons de sécurité, nous incitons les usagers à la plus grande vigilance et à respecter la signalisation qui sera mise en place.

• Une véloroute emprunte plusieurs types de voies : des petites routes à faible circulation et, autant que possible, des pistes cyclables et des voies vertes.

• Par amour des livres, et pour laisser par écrit mes histoires à mes amis et mes enfants, je me suis lancé dans l’aventure de l’autopublication.

• ... : c'est de là que le mouedden entonne sa proclamation en faisant le tour de cette galerie, et s'arrêtant vis-à-vis chacun des points cardinaux du monde, c'est-à-dire vis-à-vis du levant, du midi, du couchant et du nord.

• Aux heures où la voix lente et plaintive des moueddhen appelle les croyants, les deux amies se lèvent et se prosternent sur une natte insouillée, avec un grand cliquetis de bijoux.

• Elles portent des mlahfa rouge sombre, dont la laine épaisse forme des plis lourds autour de leur corps de momies.

• N’en déplaisent aux partisans du solutionnisme technique, les émissions causées par l’utilisation d’engrais azotés ont augmenté de 5 % entre 2010 et 2018 malgré une plus grande efficience dans l’usage d’azote (N). En effet, le système agro-alimentaire européen dépend fortement des apports d’engrais azotés synthétiques, ce qui entraîne contre-intuitivement des pertes d’azote dans l’environnement.

• Avec l'approche de l'hiver, les astuces pour épargner de l'argent se concentrent sur le poste le plus énergivore de la vie des ménages: le chauffage. C'est en ce sens que plusieurs médias ont déniché une combine surprenante: oui, il est possible d'économiser en se chauffant non pas au gaz... mais avec la climatisation! Un conseil qui paraît contrintuitif mais qui est pourtant véridique. Explications.

• La maladie grise chercha quelque chose à se mettre sous l’incisive pour demeurer dans l’enveloppe de la mano. Elle chafouina dans tous les recoins du corps de siffleuse de la mano, alla jusqu’aux doigts pour y trouver — faute de mieux - quelque chose à infecter-gangréner. — (Véronique Ovaldé, Le sommeil des poissons, 2000, Seuil, page 90)

• Par définition, l'ambianceur, c'est celui qui met l'ambiance, surtout en Afrique. Alors osons la transposition : Nicole Bergès est une « ambianceuse » du Limousin. Toute petite, elle est tombée dans la marmite de l'accordéon. « À 8 ans, je faisais partie d'un groupe folklorique à Saint-Yrieix-la-Perche », explique-t-elle. « La musique était jouée par Clody Musette, très connu en région. J'adorais le voir jouer. J'ai pris des cours avec lui. Très vite, j'ai fait des passages sur scène dans son orchestre. »

• Pour adoucir la pente, un léger coyautage est parfois pris en compte, que l’on obtient à la base des rampants en usant d’égouts retroussés.

• Le chant XI de l’Odyssée est appelé la Nekuia, c’est-à-dire l’invocation des morts.

• Son cadet, couché sur le ventre, posa son menton sur ses bras croisés. Il clignait par mépris et gonflait sa bouche, qu’il avait ronde et renflée comme les petits Éoles des vieilles cartes marines…

• À l’occasion des Nocturnales by Luc Petit et son spectacle ‘Le Tour du Monde en 80 jours’ qui se jouera au château de Belœil du 25 juillet au 18 août, le Domaine du Chant d’Éole ouvre un restaurant éphémère dans le parc du château : Neptune by Éole ! Il y sera possible de déguster, avant la représentation, un menu trois services accompagné des vins du domaine dans le cadre féérique des jardins des princes de Ligne.

• Et le plus simple, ce sont les guides pratiques dont on peut repiquer 60 % des adresses et que l’on peut remaquetter, sans que ça ne se voit trop.

• Ils aspirent à l’universalité : leurs sujets, appartenant à des groupes autrefois ennemis, relèvent désormais d’une même entité multiethnique et multiculturelle qui cherche à s’unifier en renforçant l’unicité des lois, de l’administration, de la langue, et à étendre son influence au-delà même de ses territoires.

• Le pâté de campagne au poulet et piment zoiseau médaillé d’or est une savante association de foie de poulet, d’épices, de gélatines végétales et de piment oiseau. Un bon compromis entre les charcuteries réunionnaises et les habitudes de consommation des métropolitains plébiscitant le pâté au poulet. 

• Dans la ville, on peut apercevoir des files ininterrompues de voitures qui cherchent une place de stationnement ou encore des rues bondées. Pour ses habitants, c'est trop, même beaucoup trop. "Les touristes ne sont pas forcément respectueux du site et tout ça nous dérange un petit peu", précise une habitante. "C'est infernal. On est envahis. C'est catastrophique, il y a trop de monde. Les Étretatais n'en peuvent plus", ajoute une autre.

• Mr Bas est un admirateur des quais majestueux qui emprisonnent le Rhône à Lyon et de ceux tendrement attendris, mélancolisés, où vient se caresser la molle Saône.

• « Avec le bar, il y a les boissons traditionnelles en plus du café. C’est un lieu de convivialité que les Étivalois seront heureux de redécouvrir. Du côté épicerie, il y a des produits frais et des produits de première nécessité. Les légumes proviendront de Quentin, maraîcher de Louplande. Je ferai dépôt de pain le lundi, jour de fermeture de la boulangerie sur la commune. Et à partir de janvier il y aura le relais postal. »

• Les membres du bureau des Joyeux Seniors Étivalois avec le maire Emmanuel Franco. © Le Maine Libre

• Que ce soit une vraie marmitonne ou non, lui faire des compliments sur les plats qu’elle vous sert est toujours bienvenu.

• Certains s'avancent à dire qu'il aurait fallu consulter les Étellois avant de prendre une décision. Ce à quoi le maire, Guy Hercend, répond qu'il n'imaginait pas une telle réaction : « C'est une décision de bon sens, qui préserve la santé publique des riverains qui subissaient la sirène. »

• Après seize jours, neuf heures et 56 minutes, Jay Thompson a bouclé les derniers 2 700 miles de la mini-transat Eurochef. Le skeeper Étellois a accosté à Saint-François, en Guadeloupe, lundi 15 novembre, à 0 h 56, se classant treizième des protos. Il a été épaulé par Natasha, son épouse, et ses quatre enfants. Au cours de cette mini-transat sur son 6,50 Speedy Gonzalez - Utopiae, il a rencontré de nombreux soucis, y compris une orque qui a occasionné des dégâts au safran.

• Le 8 juin 2019, à l’appel d’un groupe mené notamment par Béatrice Harnois et Alain Jehanno, 130 Étellois natifs ou d’adoption, nés dans les années 60, s’étaient retrouvés pour une journée festive restée dans les mémoires. Quatre ans après, l’idée de réunir à nouveau les Étellois des années 60 a fait son chemin et une deuxième édition est en route.

• L’idée de réunir les Étellois natifs des années 60 remonte à 2018 dans l’optique de retrouvailles de classes élargies à toute la décennie afin de célébrer ensemble leur demi-siècle. Lancé par un petit groupe autour de Béatrice Harnois et Alain Jehanno, l’appel a abouti à la Journée mémorable du 8 juin 2019, avec 130 participants revenus, pour certains, de Dubaï, La Réunion ou Saint-Martin, pour les plus éloignés, et de toute la France. Dès le début, l’appel visait les Étellois de cœur, natifs, originaires, scolarisés ou ayant connu une activité à Etel durant leur jeunesse.

• « En mars 2014, nous serons appelés aux urnes pour élire un nouveau Conseil municipal. Il nous semble judicieux, voire nécessaire, de constituer une liste dans cette perspective afin de doter notre commune d’une nouvelle équipe chargée de sa gestion. Nous voulons apporter une dynamique nouvelle et différente à notre village, en tenant compte des aspirations de tous les Étaulais qui souhaitent ce changement car l’équipe en place n’a pas semble-t-il su convaincre et agir selon les attentes durant ces trois dernières mandatures.

• Malgré la fermeture des gymnases, une pratique a perduré au COSEC André Gautier d’Étampes : la gymnastique adaptée aux enfants handicapés, mentaux ou moteurs. L’Entente Gymnique Étampoise a su maintenir ces séances, sous dérogation, en raison des bienfaits de la gymnastique sur la santé et le bien-être de ce public prioritaire.

• « La Place des services est unique, car elle est collée aux réalités et aux besoins des citoyens », déclarait Florence Pavageau, déléguée régionale du groupe La Poste, le jour de l’inauguration des lieux. Une enquête publique a en effet été partagée il y a quelques mois pour connaître les attentes et les besoins des Épônoises et des Épônois en terme de services. « Nous avons la chance d’avoir à disposition un concept moderne et connecté qui redonne sens et vie à notre centre-ville », se satisfait Ivika Jovic. Pari gagné ? Réponse dans quelques mois, quand on saura si les habitants se sont bel et bien appropriés ce ­nouvel espace.