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Citations sur le des - Page 63

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• Les ballerines sont toujours sur la pointe des pieds ! Pourquoi n’en engagent-ils pas des plus grandes ?

• Ô misérables esprits des hommes ! Ô cœurs aveugles !

• Se repentir du passé, s'ennuyer du présent, craindre l'avenir : telle est la vie. Seule la mort, à qui est confié le renouvellement sacré des choses, me promet la paix.

• Le passé, l'avenir Comme des chiens jumeaux flairent autour de nous.

• Il est affreux de voir revenir avec des couleurs d'avenir tout ce qu'on détestait dans le passé.

• L'avenir est un lieu commode pour y mettre des songes.

• L'avenir n'appartient à personne. Il n'y a pas de précurseurs, il n'existe que des retardataires.

• Il existe, dans l'étendue illimitée de l'avenir, des réponses qui ne répondent à aucune question.

• L'avenir est dans les mains des esclaves.

• Vous en qui je salue une nouvelle aurore, […] Jeunes hommes des temps qui ne sont pas encore

• La politique est un rude maître qui expose à bien des avatars ; le peuple récompense si mal ceux qui se dévouent pour lui !

• Le mensonge, le silence, la dissimulation sont des avatars nécessaires de l'union conjugale ; ils assurent la durée et la stabilité de la double infranchissable solitude.

• Le prétexte ordinaire de ceux qui font le malheur des autres est qu'ils veulent leur bien.

• Le moi est haïssable mais il s'agit de celui des autres.

• Nous considérons l'artisanat comme une des formes exemplaires de l'activité humaine.

• Il nous faut devenir adultes pour comprendre que les adultes n'existent pas et que nous avons été élevés par des enfants que l'armure de nos rires rendaient faussement invulnérables.

• Pour un débiteur sans le sou, toutes les ardoises sont des tuiles.

• Le droit suppose, pour son élaboration, la connaissance des techniques sur lesquelles il s’applique.

• Je préférerais dire que l'univers est signicatif, avec des phases de mystères et de vides apparents plutôt que sans signification avec des phases de certitudes apparentes.

• Plus une composition est conçue en aplats, plus elle exige une solution nette des problèmes de la charpente.

• La patience était la plus grande des vertus des initiés antiques.

• La philosophie antique nous apprenait à accepter notre mort. La philosophie moderne, la mort des autres.

• L'homme dissipe son angoisse en inventant ou en adaptant des malheurs imaginaires.

• La règle d'or de la conduite est la tolérance mutuelle, car nous ne penserons jamais tous de la même façon, nous ne verrons qu'une partie de la vérité et sous des angles différents.

• Le crime se reflète toujours sur les esprits des témoins et des proches. Il faut les considérer comme des miroirs ; le meurtrier se cache dans un des angles morts.

• De longues lianes ne suffisent pas pour construire une case, il en faut de aussi des courtes pour parfaire les angles.

• L'analyse géopolitique est aussi un moyen de conjurer des guerres ou de trouver une solution à certains conflits.

• Les défaites t'apportent beaucoup plus que des victoires. Des dernières, on en jouit, on ne les analyse pas.

• Le diable n'est pas autre chose que l'incarnation des pulsions anales érotiques refoulées.

• L'amnistie est l'expédient des gouvernements faibles.

• La fortune envoie des amandes aux gens qui n’ont plus de dents.

• Les baisers sont comme des amandes.

• Si les compositeurs modernes écrivent des airs devant être joués à toute allure, c’est pour que les auditeurs ne découvrent pas quel compositeur classique a été pillé.

• Avec le temps, on ne vit plus que des sentiments mitigés : plus rien n’est plein, ni les bonheurs ni les malheurs ; toute chose à son ombre, qui s’allonge et où l’on pourra se reposer.

• La gloire des grands hommes est comme les ombres : elle s'allonge avec leur couchant.

• Les rêves qu'on entretient deviennent des prières... et les prières auxquelles on ajoute foi deviennent réalité !

• Pour faire le bilan de ta propre sagesse, ajoute avec précaution la bêtise des autres.

• L'amour c'est l'aile de l'âme qui nous élève au-dessus des vicissitudes de la vie.

• Il n'y a point d'homme pour l'homme : nous vivons aux aguets les uns des autres, comme fait le chat de la souris.

• Le fou et l'écrivain sont des hommes qui voient un abîme et, y tombent.