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Citations sur le des - Page 626

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• L’un des principaux composants du petrichor est un composé organique appelé géosmine. Les scientifiques savent depuis un certain temps qu’un genre commun de bactéries, connu sous le nom de Streptomyces, produit de la géosmine. Pratiquement toutes les espèces de Streptomyces libèrent de la géosmine lorsqu’elles meurent, mais jusqu’à présent, on ne sait pas exactement pourquoi la bactérie génère cet arôme distinctif.

• La capacité humaine à détecter la geosmin est remarquable, surpassant de loin celle des requins à percevoir une goutte de sang dans un océan d’eau. Cette sensibilité exceptionnelle souligne l’incroyable acuité de nos sens et notre connexion profonde avec la nature qui nous entoure. Mais le petrichor n’est pas le seul acteur de cette histoire olfactive. L’ozone, un gaz au parfum distinct et légèrement sucré, joue également un rôle crucial.

• Concurrence des centres commerciaux, rideaux baissés, immeubles délabrés ? Le centre-ville de Marseille n'est pas le seul à souffrir de ces maux. Cet été, Marsactu documente ce phénomène national dans les villes de la métropole. Pour ce troisième épisode, direction Aubagne où la municipalité essaie d'appliquer un baume de provençalité au cœur de ville.

• Alors que le modèle de traduction d'Ancien Régime était, comme nous l'avons vu, un modèle d'acculturation progressive au français et au latin, au XIXe siècle, on voit apparaître des îlots de provençalité, linguistico-religieuse, c'est-à-dire des textes qui ne peuvent être que provençaux, qui sont la marque, à l'intérieur même des lieux de culte, de la provençalité.

• Sur le modèle de belgitude, il naît sur plusieurs sites des termes patriotards comme : ardennitude (à consulter à ce sujet l’article de Philippe Destatte sur www.wallonie-en-ligne), bruxellitude, wallonitude et flandritude (pour les trois derniers, à consulter www.ecolo.be) et même frititude, terme retrouvable sur les sites qui font de la promotion pour les frites belges et qui apparaît sans aucune connotation péjorative.

• Nina Passicot vend les cochons en carcasse ou demi-carcasse ou en colis par le bouche à oreille. Elle livre ses commandes entre Poitiers et Lathus Saint Rémy. Elle vend aussi sa viande de porc bio à Bordeaux, Rochefort et même à une brasserie du 15ème arrondissement de Paris. Elle fournit également le self du lycée agricole de Montmorillon qui assure la découpe des carcasses.

• « Les morceaux avants, moins onéreux, sont délaissés pour cuisiner. Ils sont pourtant formidables braisés, sautés ou bouillis », rappelle Philippe Lalande face à la demi-carcasse d’un bœuf. D’un jumeau, morceau de l’épaule, il fait un rôti à braiser. Le boucher évoque le paleron, « pour des alouettes sans tête, ou à griller », plutôt qu’en pot-au-feu. Il salue l’influence britannique sur la consommation « des ribs » et relève l’intérêt de la viande hachée, « pour des farces ou des boulettes ».

• Le plus beau des quatre bains publics porte le nom d’Eski-Kaplidja, l’ancien therme.

• Alors que la saison 6 des (violentes) aventures de la famille Shelby arrive enfin sur Netflix le 10 juin, la célèbre marque de whiskey Bushmills s’invite dans l’univers enfumé et arrosé des Peaky Blinders avec une bouteille collector sous-titrée “Prohibition Recipe”. Loin d’être un tord-boyau distillé en secret à l’arrière d’une usine du milieu du siècle dernier, la précieuse bouteille renfermerait un whiskey aux notes de marmelade d’orange, de seigle, d’amandes et de cannelle, sans doute un peu plus bossé que celui servi au mythique Garrison Pub de la série.

• Aucun doute, Batz-sur-Mer en Loire-Atlantique est bien en Bretagne ! Depuis 100 ans le pardon de Saint-Guénolé a lieu tous les 1er août et cette année encore cet évènement religieux et populaire a été l’occasion d’afficher la bretonnitude de Batz-sur-Mer, réputée dernière commune bretonnante de Loire-Atlantique* (avant le renouveau des années 70).

• La reconnaître simplement. La sittelle torchepot est unique en son genre ! C'est le seul passereau capable de descendre le long d'un tronc la tête la première... Imaginez un moineau à profil de Concorde, les yeux maquillés comme une déesse égyptienne. Ajoutons un dos ardoisé et des flancs roux au tableau, l'oiseau est coloré ! En mars-avril, la sittelle, même si elle se cache dans les plus hautes branches des arbres, signale haut et fort sa présence : son chant en sifflet puissant et mélodieux s'entend de loin.

• Reconnaissable à son bandeau noir de pirate, son dos gris bleuté et son ventre roussâtre, la Sittelle torchepot fait son nid dans les cavités des arbres, après en avoir colmaté l’entrée à l’aide de boue afin de la réduire à un diamètre adapté à sa taille et bloquer les prédateurs éventuels. Cette aptitude à la maçonnerie lui a valu son nom.

• En Picardie, non seulement le sentiment de picardité peut très bien se fonder sur des critères non-linguistiques (Parisot, 1995, 1998 ; Parisot, Moro et Eloy, 1998), ce sentiment de picardité revêt une importance non négligeable […].

• L’ONG espère que cette plantation contribuera également à d’autres espèces de plus en plus rares, notamment la bécassine, le courlis et la succise des prés (une jolie fleur elle aussi violette).

• Pour sauver le damier de la succise, papillon qui, comme son nom l’indique, ne se reproduit que sur la succise des prés, des actions sont menées par Guingamp Paimpol agglomération pour préserver la plante qui ne pousse que dans des lieux particuliers, comme à Maël-Pestivien.

• Fin mai a eu lieu une présentation du Damier de la succise et une recherche de ce papillon sur la commune de Clussais-la-Pommeraie dans le sud des Deux-Sèvres. Accompagnés d’une bénévole, des représentants de Deux-Sèvres nature Environnement se sont rendus sur une des parcelles abritant une des plus fortes populations des Deux-Sèvres, appartenant au Conservatoire d’Espaces Naturels de Nouvelle-Aquitaine.

• tous nos voisins creusent des abris au fond de leurs jardins, entre les verges d’or et les rhubarbes.

• La comédie de ça! pourquoi tu t’agites kanga boy? Tu fais ce que tu veux et tu fous la paix aux gens. Tu t’énerves toi-même et tu te mets à te promener dans les esprits des gens pour voir qu’ils sont énervés de te voir manger le macabo à la sauce de mbongo-tchobi? C’est la sorcellerie ou quoi ? Vraiment si on t’explique les Camerou-niais et tu dis que tu as compris…

• Sandrine Minla qui tient son étagère juste à côté depuis deux ans, mentionne qu’« à partir du mois de Juillet, le tas de macabo passera à 1000 FCFA et le filet sera livré à 14 000 FCFA ». La commerçante ajoute, « c’est en principe une période de vache maigre où le macabo et la clientèle se font rares ». Elle déplore enfin que, « le ravitaillement également est difficile car il faut faire des kilomètres en brousse pour avoir quelques sacs ».

• La scène choquante est filmée dans une vidéo devenue virale depuis le 20 aout. Un homme frappe violemment, avec des tiges de macabo – une plante vivrière – un vieillard de 80 ans. Les violences durent plusieurs minutes. Il casse de nombreuses tiges sur la tête et les bras de l’infortuné octogénaire qui pleure en demandant à son bourreau d’avoir pitié.

• Je pose une dernière question, celle qu'on pose toujours aux anciens criminels à la télévision. En riant, j'imite les journalistes de la télé: «Que diriez-vous à un jeune qui veut devenir camorriste?» Prestieri rit lui aussi, mais jaune: «Je n'ai rien à enseigner à personne. Il y a tellement de raisons pour lesquelles on devient camorriste et, parmi elles, la misère n'est souvent qu'un alibi. J'ai ma vie, ma tragédie, mes désastres, ma famille à défendre, mes fautes à expier. Je suis juste heureux d'une chose, que mes enfants fassent des études, loin de ce monde. Des gens bien. La seule chose propre de ma vie.»

• Avant de se retrouver menotté sur son canapé chesterfield, Nicola Inquieto était le maître en sa demeure, un château-fort kitch de trois étages, dignes de ceux des caïds de Casal di Principe, fief camorriste des environs de Naples. « A Pitesti, c’était le promoteur numéro un, assure Sorin Apostoliceanu, maire adjoint. Les gens ont été surpris par son arrestation, mais je me doutais que cela arriverait un jour… Des rumeurs circulaient sur son passé, et je l’avais surpris à construire sur un terrain sans autorisation. »

• Autodidacte, la spécificité d’Afred Savino est de fabriquer des basses : « J’aime travailler avec des bois différents ; hêtre, bois fruitiers, chêne, palissandre et bois exotiques. Mais je fais aussi d’autres instruments à cordes comme dernièrement un guqin qui est un instrument chinois ou encore une kora africaine. »

• Le président Xi Jinping a eu une réunion informelle avec le président français Emmanuel Macron, trois jours avant cette visite. C’est également le même vendredi que M. Macron a clôturé son séjour de trois jours en Chine par Guangzhou, chef-lieu de Guangdong.  A Canton, les deux chefs d’État se sont promenés dans le Jardin des pins. Ils ont pris le thé au bord de l’eau, profitant de la vue et ressassant le passé et le présent de leur relation, sous une belle mélodie du guqin « Haute montagne et eau vive ».

• Une autre chose qu’elle aime à propos du studio, c’est qu’elle ne jouait qu’une poignée de pièces anciennes et classiques dans des spectacles conventionnels, mais maintenant, en tant que groupe, les musiciens tous en costumes magnifiques « interprètent les dernières nouveautés sur guqin » qui mettent en valeur la mode d’une époque d’autrefois.

• Depuis le temps que l’on pince des cordes, combien d’instruments sont nés de l’imagination des luthiers ? Parfois éphémères, toujours fascinants, délirants, visionnaires ou inspirés. La guitare-harpe est le fruit d’un de ces rêves. Celui d’unir, comme pour son lointain cousin le théorbe, « en une seule forme deux instruments qui s’enrichiraient en repoussant leurs limites ».

• Si le ruissellement est très chargé en sédiments, on aura par exemple autant de transferts de diflufénicanil que d’isoproturon (en % des quantités appliquées) alors qu'ils ont deux GUS extrêmement éloignés.

• arrête-flammes utilisés pour des mélanges explosifs de vapeurs et de gaz qui ont tendance à s'autodécomposer (par exemple l'acétylène) ou qui sont chimiquement instables;

• Le desmédiphame peut causer un retard de croissance temporaire et/ou la chlorose ou la brûlure de la pointe des feuilles de la betterave à sucre lorsqu'on l'applique sur des plants soumis à un stress. La croissance normale reprend 10 jours après le traitement.

• Cette spécialité de Dow AgroSciences (200 g/l de cyhalofop-butyl) s’utilise à la dose de 1,5 l/ha (ou 1 l/ha avec un mouillant) sur des panisses du stade 1 à 4 feuilles et s’applique sur des rizières en « assec » sur un sol humide « gatille » (1 à 2 cm d’eau). La remise en eau doit être effectuée 24 à 48 heures après le traitement.

• En ce sens, l’évolution de la photonique apparaît semblable à celle que connaît l’électronique avec le développement des nanotransistors et des mémoires à point quantique.

• Il a été récemment démontré que le séthoxydime ainsi que ses analogues (le cycloxydime et le cléthodime), inhibent la synthèse des acides gras dans des chloroplastes isolés de graminées par exemple de blé d'avoine et de maïs (Kobek et al., 1988)

• Quelques indications sur les efficacités pour quelques crucifères réputées plus difficiles :* la barbarée : les meilleurs programmes associent le métazachlore ou le dimétachlore à forte dose avec de la clomazone. Il y a un petit bénéfice avec des programmes incluant de la napropamide ;* le passerage des champs n'est pas toujours facile à contrôler. Les meilleurs programmes associent le métazachlore ou le dimétachlore à forte dose avec de la clomazone.

• Les essais ont mis en évidence des résistances aux “fop” (Agil) dans tous les essais mais à des degrés différents et au Stratos Ultra dans les essais vulpin. Cependant, dans ces situations, la cléthodime commence à décrocher (75 % d’efficacité en moyenne).

• Il a été récemment démontré que le séthoxydime ainsi que ses analogues (le cycloxydime et le cléthodime), inhibent la synthèse des acides gras dans des chloroplastes isolés de graminées, par exemple de blé, d'avoine et de maïs (Kobek et al., 1988).

• Le préfet de l’Aisne a annoncé, lors d’une conférence de presse le 14 septembre, que des restrictions d’eau pourraient être mises en place dans certaines communes à partir d’octobre, suite à la présence de métabolites de la chloridazone supérieure à la limite autorisée, évaluée à 3 µg/L (microgramme par litre). 

• « Sur la chloridazone desphényl et la chloridazone méthyl desphényl, nous sommes dans le vert partout, car nous sommes largement en dessous des seuils limites », tranche Olivier Switala. La règlementation impose de ne pas dépasser les 0,1 microgramme (µg) par litre (seuil de qualité). « Certains de nos captages sont à zéro″, dit le directeur du cycle de l’eau.

• Le Syndicat des eaux du bassin d’Essay, au nord-est d’Alençon (Orne) a récemment publié des résultats d’analyse préoccupants. Des métabolites de pesticides, notamment de chloridazone et de chlorothalonil ont été détectés dans l’eau potable. On fait le point.

• La concentration en chloridazone de l’eau consommée par des habitants de l’ouest de l’Eurométropole jusqu’à Ernolsheim-sur-Bruche dépasse le seuil réglementaire. Faute de solution, un arrêté préfectoral du 7 août accorde aux collectivités de dépasser cette norme fixée par l’Agence nationale de sécurité sanitaire.

• Dans l'Eurométropole de Strasbourg, la qualité des puits de captage n'est pas la même partout, et des traces de métabolite de chloridazone ont été retrouvés dans celui d'Oberhausbergen. Selon l'Agence Régionale de Santé, l'eau reste potable, mais les collectivités se sont saisies du problème.