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Citations sur le des - Page 1937
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La Coordination rurale de l’Indre a revendiqué, jeudi 25 janvier 2024, avoir mené une action de bâchage des radars automatiques dans le département, dans la nuit de mercredi à jeudi, « sans aucune dégradation », et ce, « pour exprimer symboliquement le ras-le-bol des agriculteurs face à la hausse des taxes, à la complexité administrative de normes engendrée par la nouvelle Pac et à la concurrence déloyale européenne et internationale », indique le syndicat dans un communiqué de presse.
lanouvellerepublique.fr — Colère des agriculteurs : la Coordination rurale de l’Indre revendique le bâchage des radars du département -
Deux candélabres, formés par une bacchante debout, portant un thyrse qui se divise en trois branches torses portant des binets, reliées par des feuilles de lierre.
Exposition universelle de 1867 à Paris — Catalogue général publié par la Commission Impériale : Histoire du travail et monuments historiques -
Une fois la tradition et l’iconographie maîtrisées, les artistes s’en éloignèrent, avec l’élaboration de créations plus libres et personnelles, voire fantasques. Dans un premier temps, la bacchanale apparaît encore avec des créatures du cortège, en particulier dans des étreintes. En 1834, Satyre et Bacchante, un spectaculaire groupe en marbre de James Pradier, va faire scandale au Salon en ouvrant la voie à une vision plus libre du potentiel érotique du monde de Bacchus. Cette œuvre grandeur nature (prêt du Louvre) a choqué autant qu’elle a plu pour son réalisme dans le traitement sensuel de la chair comme de l’attitude d’extase.
Le Monde.fr — Les bacchantes, femmes des années 1800 -
Noël a perdu son sens chrétien pour la plupart des gens, c’est une grande bacchanale où le tiroir-caisse règne en roi !
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La bacchanale est une fête antique en l’honneur du dieu Bacchus. Elle est le lieu où les bacchantes, les satyres, les centaures et autres créatures, dansent et chantent au rythme des percussions. Gagnés par la mania, la transe dionysiaque instillée par le dieu, les membres de ce cortège bachique s’adonnent de manière effrénée aux débordements du corps. Si le rite que décrit Euripide dans Les Bacchantes est accompli par les femmes uniquement et dans une parfaite chasteté, le terme «bacchanale» renvoie néanmoins dès l’Antiquité à une débauche de corps, dans l’ivresse et la démesure.
AquitaineOnLine — Bacchanales modernes : exposition événement à Bordeaux -
Une tension est bâtie progressivement tout au long de la pièce. Certains tableaux semblent néanmoins parfois inutilement étirés, et l’accumulation des figures oniriques interdit quelque peu l’émotion d’émerger. Cependant, lorsqu’on arrive au point culminant et que tout implose, le sentiment n’en est que plus libérateur. Ce moment où le sacré et l’érotisme se côtoient dans une bacchanale au rythme techno est tout bonnement brillant. L’image finale, pourtant magnifique, clôt de manière trop abrupte la pièce. Une plongée en profondeur dans ce dernier tableau aurait-elle pu nous emporter plus loin, jusque dans l’émotion ?
Le Devoir — La phénoménale bacchanale de la Batsheva | Le Devoir -
Philippe Jean Hesse pose la question du pourquoi et de la localisation des révoltes paysannes du début de 1789 au regard de la géographie des coutumes, alors que Maurice Dommanget évoque les grèves de moissonneurs - ou bacchanals.
Histoire & sociétés rurales — volume 7 -
Ils viendront solliciter en pleurnichant des dégrèvements d'impôts, me dit un fonctionnaire […], et ils risquent au baccara, au chemin de fer, des fortunes tous les soirs.
Ludovic Naudeau — La France se regarde : le Problème de la natalité -
Gondolphe, qui n’est pas un vieux monsieur, m’a mené au cercle de la Girafe : « Tout ce qu’il y a de mieux, ici », assure-t-il. Valets à moustaches, en livrée d’un rouge douteux, et qui restent assis quand on entre, — tapisseries du second Empire « genre Gobelins », un peu moisies (mais cela leur vaut mieux), et des crachoirs dans tous les coins, comme aux salles d’attente de la Compagnie de l’Ouest, — et une cagnotte vraiment par trop béante, à la table de bac : celui-ci, d’ailleurs, paraît étiolé ; et puis on n’entend pas, dans ce pays de billets, le joli son de l’or, discret « leitmotiv » de Pallas, sous les doigts du changeur. — (Paul-Jean Toulet, Mon Amie Nane, 1922)
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Vous avez des enfants ? Pas nous, mais c'est pour bientôt… Si nous avons des enfants en même temps, nous pourrons partager les frais de baby-sitter, parce que le baby-sitting, ça coûte les yeux de la tête.
Stephanie Rowe — Je te retrouverai -
Une formation baby-sitting proposée par le service Enfance Jeunesse en lien avec le multi-accueil, l’accueil de loisirs et le centre d’enseignement des soins d’urgence du Morbihan (Cesu 56) sera ouverte à une dizaine de jeunes âgés de 16 à 25 ans du 4 au 6 mars à Arradon.
Le Télégramme — Formation baby-sitting à Arradon : on s’inscrit jusqu’au 19 février | Le Télégramme -
Il rentrait tard et ne cherchait même pas à coucher avec la baby-sitter, ce que la plupart des hommes essayaient de faire pourtant.
Michel Houellebecq — La carte et le territoire -
Une autre étude publiée en janvier 2011 indiquait que la planification de la retraite constituait la première priorité financière des baby-boomers au cours d’une année.
« Des baby-boomers étranglés par leur hypothèque » — l’Hebdo Journal -
Le jour où vous serez décidés à descendre foutre le feu dans les beaux quartiers, à aller pendre par la peau du cul tous les babtous qui nous prennent pour des sous-hommes, ceux qui nous font crever dans la merde, vous me trouverez.
Gérard Mordillat — Xenia -
Bien que tous les babouins puissent parfois se tenir debout, leur mode normal de progression est à quatre pattes, ce qui est d’ailleurs beaucoup plus naturel pour des créatures ayant abandonné la vie en forêt pour la vie en plaine [2].
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Soudain, une babouchka minuscule et ronde s’échappe du groupe des villageois et trotte derrière les soldats, les mains jointes et suppliantes.
Antoine Rault — La danse des vivants -
À dix-huit heures, les bâbordais ont quartier libre ; je les regarde courir sous les réverbères par petits groupes vers la ville, astiqués comme des sous neufs.
Pierre Schoendoerffer — Le Crabe-tambour -
Gousses tinctoriales, 4 fr. les 100 kilogrammes : on comprend sous cette dénomination, particulièrement le bablah des Indes et le libidibi ou dividivi d’Amérique.
Journal officiel — 3 juillet 1872). -
La religion bahaïe vient du « babisme », dont le fondateur est Seyed Ali Mohammed ; il déclare être le « Bab », la « Porte » qui prépare le retour de l’imam caché. Il est né à Chiraz en Perse en 1819. Homme érudit, il parcourt l’Iran diffusant son enseignement et ses prédications. Suspect aux yeux du clergé chiite, la dynastie Qajar se méfie de celui qui véhicule aussi des revendications sociales et politiques.
La Croix — Religions d’Iran : les bahaïs sont considérés comme apostats -
Fatigué, on pouvait s’asseoir à la terrasse d’un des dix mille cafés, y écrire des lettres sur du papier à lettres fourni gratuitement, tout en se faisant présenter par les vendeurs ambulants toute leur panoplie de babioles et de colifichets.
Stefan Zweig — trad. Dominique Tassel -
Parfois, certains gémissaient, en proie à des rêves inquiétants, et les chevaux ronflaient ou soufflaient en retroussant leurs babines.
Bernadette Boissié-Dubus — Un mur de trop -
Ce sont ordinairement des amitiés des jeunes gens qui se tiennent aux moustaches, aux cheveux, aux oeillades, aux habits, à la morgue, à la babillerie.
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Rien ne lui échappait : le susurrement sucré de la jeune vedette héroïne, le parler guttural du caïd sans scrupules, les nasillements du faux-frère, les jacassements de la commère, le jargon du bellâtre amoureux, les caracoulements du jeune premier, les gémissements de l’orpheline, les piaulements des villageois, les babillements des ouvrières, les graillements de la douairière, les braillements du nouveau riche en train de se pavaner, les sifflements du beau-parleur, les craillements des hommes avides, les croassements des maîtres-chanteurs... Christine Longepierre
Alinéa -
Il s’agit en effet des problèmes posés par le mariage d’un impuissant, un babilan pour parler comme Stendhal.
Paul Desalmand — Cher Stendhal: un pari sur la gloire -
Armé d’une connaissance approfondie du persan, M. Browne a puisé ses renseignements à deux sources, la source orale et la source écrite : il est allé consulter à Cypre et à Saint-Jean-d’Acre les deux héritiers rivaux du Bab, Ezel et Bahâ, et il a publié et traduit une chronique babie de la révolution et des massacres de 1852.
James Darmesteter — Rapport annuel sur les travaux du Conseil de la Société asiatique pendant les années 1892-1893 -
À l’arrivée dans les grandes agglomérations, loin des centres de production, le babeurre se prête mal à la stérilisation par la chaleur. Industriellement, néanmoins, on prépare des babeurres concentrés et même des poudres de babeurre.
M. H. Martel — Sur la valeur alimentaire du lait écrémé et du babeurre -
Ce nombre important conduit sur le plan des communications internationales à une situation difficile qu’on désigne sous le nom de « babélisme ».
Unilingua ; langue universelle auxiliaire — Noubar Agopoff -
L’espéranto, l’interlingua, le volapük … Ces noms chantants désignent des langues artisanales qui ont renoué avec le rêve babélien d’une langue universelle. Créées dans le courant des XIXe et XXe siècles, elles survivent encore aujourd’hui, malgré la suprématie de l’anglais et du mandarin. Appelées «langues auxiliaires internationales», ces langues «étaient toutes conçues comme des outils destinés à faciliter la communication entre des populations de langues différentes», écrit la linguiste Henriette Walter dans son dernier livre, Deux mille mots pour dire le monde. Les connaissez-vous?
Le Figaro — L’espéranto, le rêve d’une langue universelle -
La place est plutôt chèros pour regarder des triquards jouer à la baballe et se prendre une tannée, En plus à ce niveau, il ne faut pas s'attendre à voir un début de jeu, […].
Jo Van Niekerk — Saga Anny -
C'était probablement vrai ce que disaient les prompteurs, que nous étions des abrutis, autrement dit, des bébêtes ou des babaches, toujours disposés à gober n'importe quoi. J’ai zieuté Totor et Rouletabille pour voir si ça se voyait qu'ils étaient des babaches et je n'ai rien remarqué.
José Herbert — Les chiens de Pavlov: Une vision déjantée de la société -
Cent-cinquante nouveaux mots et des dizaines de personnalités, telles qu'Emmanuel Macron, font leur entrée au Petit Larousse, 200 nouveautés pour Le Robert illustré. France 24 vous propose un petit panel pour éviter de passer pour un babache cet été.
France 24 — Infobésité, hipster, babache : les nouveaux mots du Larousse et du Petit Robert -
AU titre des langues semi-bantou : le bati, le bagba, le bali, le bamoun, le bagam, le baba, le bandeng, le nsoungli, le bangwa, le bafreng-bamenda, le mbekongwang, le tikar (ndab), le bamesing, le bapinyi, le bamendza, le ngwala, […]
Eugène Guernier — L’Encyclopédie coloniale et maritime -
Dès que Yahweh, le dieu des Hébreux, se révèle à Moïse, il interdit d'adorer les divinités masculines (les baals) et les divinités féminines (les astartés), qu'il désigne du terme négatif d'« idoles ».
Laure Mistral — Et Dieu créa les femmes -
Spécialistes de l’observation, du sondage de la richesse de l’univers, et de la recherche du savoir, les Égyptiens ont dégagé de cet univers 9 éléments constitutifs de la personne humaine à savoir : Le Kat, le Sahu, le Ab, le Ka, le Ba, le Khaibit, le Khu, le Sekhem, le Ren. Voyons à présent point par point la signification et l’importance de chaque élément.[…]Le Ba : c’est l’âme immortelle, c’est la partie subtile de la personne qui est liée au Ka, c’est elle qui partage la vie des biens heureux et prend part aux offrandes adressées au Ka.[…]Le Khu : c’est l’esprit ou l’intelligence, c’est la partie translucide, et impérissable de la personne humaine, elle est associée au Ba dans l’au-delà.Le Sekhem : c’est l’image, la forme...
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Quand il eut plus tard une maison chaude, il songea souvent avec des larmes que la pauvre Anne aurait pu vivre là près de lui ; au lieu qu’il se la représentait malade, ou mourante, ou désolée, dans la noirceur centrale d’un b… de Londres et elle avait emporté tout l’amour pitoyable de son cœur.
Marcel Schwob — Le Livre de Monelle -
L’algemina ou l’azziminia n’était donc qu’une des branches de la damasquinerie, un des procédés de cet art ; [...].
Henri Lavoix — Les azziministes -
(chez le cheval). Grande veine azygos. C'est une longue veine impaire, qui commence au niveau des premières vertèbres lombaires et s'étend d'arrière en avant, à droite de l'aorte thoracique, sous le corps des vertèbres dorsales, jusqu'à la 6e environ, à partir de laquelle on voit cette veine s'infléchir en bas, pour former une espèce de crosse qui se termine dans la veine cave antérieure, très près de l'embouchure de ce vaisseau, ou qui parfois s'ouvre directement dans l'oreillette droite.
Chauveau Auguste — Arloing Saturnin -
"Une pluie glacée tombait dans les rues miroitantes. Je marchais le long des boutiques, m’appuyant au rebord des devantures pour ne point m’écrouler sur le trottoir.
Octave Mirbeau — Lettres de ma chaumière : La Tête coupée" -
Le pays que nous traversions avait un aspect d’une sauvagerie étrange : c’étaient de grandes plaines arides, sans un seul arbre qui en rompît l’uniformité, terminées par des montagnes et des collines d’un jaune d’ocre que l’éloignement pouvait à peine azurer.
Théophile Gautier — Voyage en Espagne -
L’autre motivation, c’est mon amour des décors encore sauvages du littoral azuréen, dont je suis natif.
journal 20 minutes — édition Paris