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Citations sur le des - Page 175

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• La haine seule fait des choix.

• La haine des faibles n'est pas si dangereuse que leur amitié.

• La haine, c'est la colère des faibles !

• Quand la haine des hommes ne comporte aucun risque, leur bêtise est vite convaincue, les motifs viennent tout seuls.

• La haine, comme l'amour, se nourrit des plus petites choses, tout lui va.

• Il y a deux misères, celle des haillons et celle de la grandeur.

• Il y a des hommes dont il est glorieux d'être haï.

• On ne s'habitue pas vite à la mort des autres. Comme ce sera long, quand il faudra s'habituer à la nôtre !

• L'égotisme ne manque pas d'attraits, même dans la vie réelle. Lorsque les gens nous parlent des autres, ils sont habituellement ennuyeux.

• L'habitude est l'âme des États.

• Il est des maisons qui donnent des ordres. Elles sont plus impérieuses que le destin : au premier regard on est vaincu. On devra habiter là.

• Ne disons pas de mal des gens de la province. Sans eux, nous ne pourrions pas habiter Paris.

• Maints éditeurs, pareils à d’adroits couturiers, se chargent d’habiller le livre de manière à séduire des acheteurs dont l’oeil est plus accessible que l’intelligence.

• L'enseignement des lettres est à la littérature ce que la gynécologie est à l'érotisme.

• Tu n'as jamais été, dans tes jours les plus rares, Qu'un banal instrument sous mon archet vainqueur, Et, comme un air qui sonne au bois creux des guitares, J'ai fait chanter mon rêve au vide de ton cœur.

• L'enseignement des maîtres ne remplace jamais le bon instinct qui doit nous guider dans la conduite de la vie.

• Le cynisme c'est l'arme politique des gueux éduqués.

• Si les muets pouvaient parler, ils gueuleraient comme des sourds.

• Les plus cons ce sont ceux qui se foutent de la gueule des autres.

• La mort assise à la porte des vieux guette les jeunes.

• La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées.

• La guerre : providence des amants.

• et les guerres abhorrées des femmes.

• À la guerre […] il n'y a pas de gagnants, il n'y a que des perdants.

• La nécessité de la guerre nous force, en dépit de nous-mêmes, à faire mille maux, et faire non plus d'état de la vie des hommes que d'un poulet.

• Je deviens trop vieux pour user mon reste de forces à des guerres.

• La guerre ! c'est une chose trop grave pour la confier à des militaires.

• Les Français semblent* des guenons qui vont grimpant contremont** un arbre, de branche en branche, et ne cessent d'aller jusqu'à ce qu'elles sont arrivées à la plus haute branche, et y montrent le cul quand elles y sont.

• La cuisine d’un groupement humain est le reflet du ciel, de la terre, des eaux du pays où il est fixé.

• Les gens qui se plaignent de payer des impôts peuvent être divisés en deux groupes : les hommes et les femmes.

• Groupez des hommes, ils s'écouteront ; groupez des femmes, elles s'épieront.

• Des hommes grossiers ne font rien de simple ; il faut des hommes perfectionnés pour y arriver.

• L'enfant commence en nous bien avant son commencement. Il y a des grossesses qui durent des années d'espoir, des éternités de désespoir.

• […] Un cœur n'est juste que s'il bat au rythme des autres cœurs.

• Il y a des hauts et des bas dans la vie, comme disait le groom de l’ascenseur.

• L’homme a naturellement des ennuis. Il vient au monde en pleurant, et le quitte en grognant.

• Les cheveux gris sont des archives du passé.

• On n’apprend pas aux vieux singes à faire des grimaces.

• C'est bon écrire. On regarde filer sa main, qui trace de curieuses arabesques ; et la pensée précède ou accompagne la grimace de l'encre qui s'écoule et des signes qui s'inscrivent.

• Le coassement des grenouilles n'empêche pas l'éléphant de boire.