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Citations sur le des - Page 159

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• L'histoire est le seul laboratoire dont disposent les hommes pour comprendre le fonctionnement des sociétés.

• Le jour est le père du labeur et la nuit est la mère des pensées.

• Les hommes devraient être comme des kleenex : doux, forts et jetables.

• La plupart des automobiles du monde marchent à l'essence. Les autos françaises marchent au klaxon. Surtout quand elles sont arrêtées.

• Mêmes les rencontres de hasard sont dues à des liens noués dans des vies antérieures... tout est déterminé par le karma. Même pour des choses insignifiantes, le hasard n'existe pas.

• On vit dans un monde de karaoké où les gens répètent les mots des autres.

• J’aimerais vraiment comprendre pourquoi les kamikazes portent des casques de protection.

• L’humanité a un destin étoilé qu’il serait bien dommage de perdre sous le fardeau de la folie juvénile et des superstitions infondées.

• En ce monde, la moitié des théories n’ont pas d’autre raison que celle de justifier nos actes.

• Les télévisions publiques trouvent dans un période de désorientation, d'effacement des valeurs et des références collectives, une justification croissante.

• Heureux les persécutés pour la justice, car le Royaume des Cieux est à eux.

• Les chevaux galopent-ils sur les rochers, laboure-t-on la mer avec des bœufs, que vous changiez le droit en poison et le fruit de la justice en absinthe ?

• Il y a des semences de bonté et de justice dans le cœur de l'homme, si l'intérêt propre y domine.

• Les âmes communes n'apprennent le sentiment de la justice que lorsqu'elles ont eu des déboires.

• La Justice n'a rien à voir avec la Loi qui n'en est que la déformation, la charge et la parodie. Ce sont là deux demi-sœurs qui, sorties de deux pères, se crachent à la figure en se traitant de bâtardes et vivent à couteaux tirés, tandis que les honnêtes gens, menacés des gendarmes, se tournent les pouces et les sangs en attendant qu'elles se mettent d'accord.

• Etre actrice, c'est être une interprète. Véhiculer des émotions, celles d'un personnage et celles d'un metteur en scène, tout en apportant du naturel et de la justesse.

• C'est justement ça, vivre, c'est avoir des problèmes et les résoudre...

• Il y a des guerres justes, il n'y a pas d'armées justes.

• Il faut être juste avant d'être généreux, comme on a des chemises avant d'avoir des dentelles.

• Assurément les sentiments aussi vieillissent ; il est des modes jusque dans la façon de souffrir ou d'aimer.

• La plus grande des sagesses est toujours De rester enfant jusque dans ses vieux jours.

• Le droit est la plus puissante des écoles de l'imagination. Jamais poète n'a interprété la nature aussi librement qu'un juriste la réalité.

• Il existe des juges probes, mais il n'y a aucune manière juridique de rendre la justice.

• La politique, hélas ! est une jungle, trop souvent une brousse fétide, l'enchevêtrement des intérêts brouille la perspective.

• Les chevaux ne sont pas des femmes, même une jument est une espèce d’homme.

• L'immortalité de la rose consiste dans le fait qu'elle est la soeur jumelle des roses futures.

• Bien que la Vérité et le Mensonge soient jumeaux, la Vérité la plus âgée des deux.

• Il ne faut pas juguler la nature des autres.

• On peut juger du caractère des hommes par leurs entreprises.

• Sotte et fâcheuse humeur de la plupart des hommes Qui, suivant ce qu'ils sont, jugent ce que nous sommes.

• Il ne faut point juger des gens sur l'apparence.

• Garde-toi, tant que tu vivras De juger des gens sur la mine.

• Les inhibitions viennent de la peur du jugement des autres.

• Etymologie : le casier judiciaire des mots.

• Les obsessions sont des fontaines de jouvence. Elles épouvantent la mort.

• L'évident est journellement l'étendard des imbéciles. Le doute est la foi gênée de celui qui sait.

• Comment des années si courtes se fabriquent-elles avec des journées si longues ?

• Le journaliste doit avoir le talent de ne parler que de celui des autres.

• Je regarde comme un des bonheurs de ma vie de ne pas écrire dans les journaux. Il en coûte à ma bourse - mais ma conscience s'en trouve bien.

• Je leur donne des nuits qui consolent des jours.