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Citations sur le des - Page 143

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• M. de Montrond dit qu'il faut se garder des premiers mouvements parce qu'ils sont presque toujours honnêtes.

• Dans la logique des signes comme dans celles des symboles, les objets ne sont plus du tout liés à une fonction ou à un besoin défini. Ils répondent soit à la logique sociale, soit à celle du désir auquel ils servent de champ mouvant.

• Nous aurons beau faire, nous ne connaîtrons jamais le repos, la douce immobilité des choses. Nous marcherons jusqu’au bout sur du sable mouvant.

• Il est plus utile de tuer des moustiques que de faire l’amour.

• La Joconde sourit parce que tous ceux qui lui ont dessiné des moustaches sont morts.

• Mourir glorieusement est un bienfait des dieux.

• La devise des mousquetaires était : Un pour tous, tous pour un.... Celle des politiques est : Un pour tous et tous pour moi..., ce qui n'est pas tout à fait la même chose.

• La prison est une blessure pour les corps, pour les esprits ; aucun texte ne lui fait injonction d'être le mouroir des espoirs.

• On meurt chaque soir. Mais nous sommes des morts qui se souviennent.

• 80% des Français se tuent en mourant.

• Le monde est un moulin qui moud bien des farines.

• L’humour avale des hommes comme des moules.

• Un chat avec des moufles n'attrape pas de souris.

• Dans le lait des rêves il tombe toujours une mouche.

• Pour les âmes perdues qui titubent dans les années 90, la moto est l’un des rares moyens de maîtriser la vie quelques instants.

• Il faut se motiver pour s’armer contre la terreur du défaitisme, contre l’hégémonie des cyniques. C’est un combat à mener.

• S'appuyer sur l'expérience du passé devrait suffire à démontrer que la plupart des révolutions technologiques sont issues de recherches dont la seule motivation était le progrès de la connaissance.

• Des mots, des mots, des mots.

• Des mots qui pleurent et des larmes qui parlent.

• C'est mauvais signe lorsque les mots se refusent aux hommes que les dieux ont désignés pour être gardiens des mots !

• Les mots nous trompent comme des filles.

• Nos émotions sont dans nos mots comme des oiseaux empaillés.

• Il est curieux comme le même mot peut avoir des sens complètement opposés. En art, académie, c'est la nudité. En littérature, Académie, cela veut dire : jamais trop habillé.

• Mais il vient des mots étouffants ; On laissera les chers enfants Livrés à de vagues désastres.

• On ne se méfie jamais assez des mots.

• […] des mots bien usés, des mots utiles qui sentaient l'assiette, le pain, l'huile, le linge et le feu de bois.

• Un dictionnaire commencerait à partir du moment où il ne donnerait plus le sens mais les besognes des mots.

• En mai, si tu te maries, Par le soleil ou la pluie, Ami, crois-moi si tu veux T’auras des enfants morveux.

• Peu importe où j'irai après la mort, car, des deux côtés, j'ai des amis qui m'attendent.

• Ce doit être un des désastres de la mort, cette découverte des pensées secrètes de ceux qu'on a aimés.

• Une couche de ronces vaut bien des tapis pour un mort.

• Car l'amour est fort comme la Mort la jalousie inflexible comme le Shéol*. Ses traits sont des traits de feu, une flamme de Yahvé.

• La pâle mort frappe d'un pied indifférent les masures des pauvres et les palais des rois.

• L'ennui est un des visages de la mort.

• Pourquoi crains-tu ton dernier jour ? Il ne confère* non plus à ta mort que chacun des autres.

• Le Messager de mort, noir recruteur des ombres […].

• Non, je ne veux rien voir en vous de ce que la mort y efface ; vous aurez dans cette image des traits immortels ; je vous y verrai tel que vous étiez à ce dernier jour sous la main de Dieu, lorsque sa gloire sembla commencer à vous apparaître.

• Le calcul des probabilités, appliqué à la mortalité humaine a donné naissance à une science nouvelle : celle des assurances.

• Je ne veux pas que la mort me vienne des hommes, ils mentent trop ! ils ne me donneraient pas l'Infini !

• Il y a une morsure douloureuse : le chagrin de ne pas partager avec un être aimé la beauté des moments vécus.