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Citations sur le des - Page 128

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• Il n'y a pas de phénomènes moraux, rien qu'une interprétation morale des phénomènes.

• Ce n’est pas parce que le cabri fait des crottes comme des pilules qu’il est pharmacien.

• Souvenez-vous que l'intérêt des compagnies pharmaceutiques est la maladie.

• Les phares de l'humanité sont des hommes que l'humanité éclaire en feignant d'en être éblouie.

• Il en est des défauts, comme des phares d'automobiles. Seuls ceux des autres nous aveuglent.

• Il en est des défauts comme des phares des automobiles: seuls ceux des autres nous aveuglent.

• Donne à qui fut longtemps broyé Des jours paisibles et sans peines ; Ce peuple a largement payé Pour les temps passés ou qui viennent.

• En politique, on ne s'entendra jamais. Mais c'est peut-être ce que demandent les partis. C'est peut-être le jeu des partis.

• Le peuple doit s'amuser, c'est là sa grande compensation. Un peuple gai est le meilleur des peuples. Ce qu'un peuple donne à la gaieté, il le prend toujours sur la méchanceté.

• La peur, la mauvaise conscience ont un fumet délectable pour les narines des Dieux.

• La vraie peur, c'est quelque chose comme une réminiscence des terreurs fantastiques d'autrefois.

• C'est des hommes et d'eux seulement qu'il faut avoir peur, toujours.

• Je n'ai pas peur des mots, ce sont les mots qui ont peur de moi.

• La peur est une récréation de la volonté, la dilection des faibles.

• Les amours et les haines des peuples sont fondées, non sur des jugements, mais sur des souvenirs, des craintes et des fantômes.

• La clémence des princes n'est souvent qu'une politique pour gagner l'affection des peuples.

• L'homme ne peut aboutir qu'à des à peu près.

• En France, on n’a pas de pétrole, mais on a des idées ! Alors, j’ai troqué ma deux chevaux contre une deux boeufs !

• Le bercement des nourrices, les câlineries maternelles, les chatteries des soeurs, transforment pour ainsi dire, en la pétrissant, la pâte masculine.

• Il y a d'étranges pères, et dont toute la vie ne semble occupée qu'à préparer à leurs enfants des raisons de se consoler de leur mort.

• Fils et petit-fils de peintre, j’ai été encouragé à dessiner et j’ai toujours eu envie de publier des dessinateurs.

• Ceux qui sont incapables de sentir en eux-mêmes la petitesse des grandes choses sont mal préparés à discerner la grandeur des petites choses chez les autres.

• Dans la langue de la bourgeoisie, la grandeur des mots est en raison directe de la petitesse des sentiments.

• L'inférieur n'est-il pas bien flatté d'une familiarité dont on ne l'honore qu'en se montrant satisfait des sentiments qu'il a de sa petitesse ?

• Un des plus grands mystères de l'existence est de comprendre comment le garçon qui n'était pas digne d'épouser votre fille a pu devenir le père de la plus belle petite-fille du monde.

• Je reconnais le pet comme mode d'expression. Il contient des vertus comiques certaines.

• Un pet sorti des fesses ne se rattrape jamais.

• Il faut savoir résister au pessimisme des autres.

• Le bonheur est une force comme le sont l’électricité, la pesanteur, le son... et toute force est dirigée par des lois.

• C'est l'amour des richesses qui cause la folie des hommes et leur perversité.

• La perversité est le don d’additionner des valeurs imaginaires et des sensations en un idéal.

• Le mariage semble inventé pour récompenser les pervers ; plus un homme est astucieux et séducteur, plus il lui est facile d'arriver par le mariage à l'opulence et à l'estime publique ; il en est de même des femmes.

• La perversion de la cité commence par la fraude des mots.

• La perversion d'une idée juste est l'hommage des pervers à la vertu.

• Nous sommes tous des pervers sexuels persécutés.

• L’amour des possessions est une faiblesse à surmonter. Il s’attache à la part matérielle de l’existence et, si on le laisse prendre de l’importance, il risque de perturber l’équilibre spirituel.

• La plus belle des ruses du diable est de vous persuader qu'il n'existe pas.

• Je crois avoir identifié les raisons de l'extraordinaire engouement de mes contemporains pour des sports qu'ils n'exercent pas personnellement. C'est un folklore que la caution de quelques intellos finit par transformer en patrimoine.

• Il est des modesties ou des sincérités d'apparat qui flattent l'orgueil personnel plus que les louanges.

• Il y a des pouvoirs collectifs qui sont aussi dangereux que le pouvoir personnel.