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Citations sur le des - Page 1076

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• Quant aux autres, qui se contentaient d'être complètement ronds, ils ne se rendirent même pas compte qu'il y avait un chanteur sur la piste, trop occupés qu'ils étaient à souffler dans des mirlitons, à se lancer des serpentins et des boules de papier multicolore à travers la gueule.

• Des joncs bordaient la sente. Impossible de s'écarter à cause des fondis et des ronciers. Les bestiaux ne pacageaient que dans les prés-clairières.

• La ronchopathie touche aussi bien les hommes que les femmes. Selon les statistiques, en France, 40% des personnes de plus de 50 ans ronfleraient régulièrement. Mais le phénomène est aussi visible chez des personnes plus jeunes, voire chez les enfants. Liés à des facteurs très diverses (poids, âge, sexe, malformations anatomiques, prise de médicaments, tabac, position durant le sommeil, grossesse…), les ronflements peuvent être très gênants, notamment pour les personnes qui partagent la vie des ronfleurs.

• Savez-vous qu’en suivant quelques conseils, vous pouvez remédier à la ronchopathie et retrouver des nuits calmes et sereines ? Retrouvez nos explications pour savoir comment arrêter de ronfler.

• Pour la très grande majorité des ronfleurs (environ 80 %, selon les données des ORL), la ronchopathie vient d’un mauvais positionnement de la langue. Cette dernière gêne le passage de l’air vers les voies respiratoires et va entraîner des vibrations de la luette, qui se traduisent par les ronflements sonores.

• L’acteur, scénariste, et réalisateur Jean-Pierre Bacri est décédé à l’âge de 69 ans, des suites d’un cancer. Cinq fois récompensé aux César, il était le ronchon préféré du cinéma français.

• Le Prix Coup de Pouce Gulli des Premières Lectures 2023 a été remis hier au livre « Bijou est ronchon » d’Emmanuel Bergounioux – illustré par Mayana Itoïz (Editions Casterman).

• Vous connaissiez le plus ronchon des Pépé pour ses irrésistibles pizze napolitaines de la gourmande rue Saint-Lazare. Aujourd’hui, découvrez une autre facette de ce Dio de la cuisine italienne, puisqu’il vient tout juste d’ouvrir un restaurant · bar à vin dans le 9e où toutes les régions d’Italie sont célébrées !

• Lors d’une cérémonie aux Greniers-St-Jean, Ophélie Meunier la marraine du Prix, et Jean-Marc Verchère, Maire d’Angers, entourés de 90 enfants de CP issus des clubs Coup de Pouce de la ville, ont remis mardi 13 juin le Prix Coup de Pouce Gulli des Premières Lectures 2023. Le jury d’apprentis lecteurs composé cette année de 6 392 enfants de toute la France, en classe de CP, a choisi de décerner son prix national à « Bijou est ronchon » d’Emmanuel Bergounioux illustré par Mayana Itoïz (Éd. Casterman).

• En un champ désert et ronceux, bordant la route de Grenoble aux limites du Perron des Communiers, c’étaient quelques basses masures.

• ; c’est un carillon de cabale en faveur des acteurs, d’applaudissements tant que le favori d’une faction chante, […], d’échos qui répondent dans les plus hautes loges, de vers jetés ou hurlés à la louange du chanteur, en un mot, un rompement de tête si incommode, si indécent, que le premier rang de loges en devient inhabitable.

• Les Grecs eux-mêmes se considéraient comme des romains et, encore maintenant, désigne la langue qu’il parle comme le roméique.

• La distance au lyrisme, qui est une forme de distance au romantisme, tient à la pudeur des jeunes, leur difficulté à exprimer leurs émotions.

• Chaque fois ou presque, c'est la même histoire. L'homme est beau, ténébreux, violent. Mais pour elle, il va baisser la garde. Arrivera-t-elle à le sauver de sa terrible noirceur ? Ces romans sont accusés de glamouriser la maltraitance, de romantiser des stéréotypes sexistes. Mais ce motif n'a-t-il pas toujours existé en littérature ? Les passions de Don Juan ou de Bel Ami ne sont-elles pas celles de pervers narcissiques ? À l'ère post-MeToo, on se demande si les romans d'amour ne formatent pas notre façon d'aimer.

• Il est intéressant de noter au bénéfice de nos modernes souverainistes que des romantiques comme Mazzini, Michelet, Lamartine ou Hugo ne voyaient aucune contradiction entre nationalité et européanité.

• […], ils avaient passé tous trois un délicieux après-midi à faire de la musique et à discuter des dernières productions romantiques, en particulier de celles de « Mocieu Victor Hugo », lequel était, de l’avis d’Étienne, la honte des lettres françaises et la risée de l’Europe.

• C’est le lundi 4 décembre 2023 que le roman-photo « Le roman-photo, c’est tout un métier ! » est sorti, réalisé par des étudiants, en collaboration avec le service culturel de l’UBO et Julie Chapallaz. D’origine franco-suisse, Julie Chapallaz est une artiste aux multiples casquettes. En tant que scénographe, elle travaille avec des compagnies indépendantes mais aussi des institutions telles que les opéras de Paris et de Genève. Graphiste, elle a aussi publié son premier livre « La déflagration des buissons », un roman graphique sorti en février 2022 aux éditions FLBLB.

• Le réseau des bibliothèques de la communauté de communes Ardèche Rhône Coiron proposera des ateliers roman-photo les samedis 17 février et 9 mars, à la médiathèque Robert Chapuis. Ces ateliers...

• Lancé en 2022 en Dordogne, le projet du roman-photo « La Panique » continue d’avancer. Il est inspiré de faits bien réels : l’attaque d’une colonne allemande par des résistants le 14 février 1944, aux Rivières Basses, entre Niversac et Les Versannes. Pour de nouvelles prises de vues, l’association Regards organise un casting, dimanche 17 mars de 13 h 30 à 17 heures, à la mairie de La Douze.

• Afrodites, le roman-photo de Marie-Rose Frigière et Amélie LAval, prend place dans un salon de coiffure afro. Puisque des sociotypes afrodescendants restent reconnaissables,l’artiste les endosse tous pour mieux brouiller les pistes. Un solo qui parle bien d’une femme poteau-mitant, qui ne souffle que rarement entre tous les rôles de sa vie. Sauf peut-être au salon de coiffure.

• La création d'une chaire des dialectes et patois comparés rendrait les plus grands services aux romanistes en leur fournissant le foyer central qui leur manque encore dans notre pays.

• Le maniérisme gothique des pays du Nord, la peinture provinciale française, le romanisme et le maniérisme tardif néerlandais [sont] autant de mouvements méprisés ou méconnus au temps de la constitution des collections parisiennes.

• Les publications hindoustanies en caractères latins ont été généralement faites par les missionnaires pour leurs écoles et les agrégations indo-chrétiennes. […] Des ouvrages élémentaires rédigés d’après le système romanisant ont également vu le jour. Je dois signaler d’abord en ce genre, l’Easy introduction to the study of the hindustani, par MM. Williams et Mather, qui comprend, outre la grammaire, un choix de morceaux avec un vocabulaire et des dialogues.

• Les juristes étaient maintenant partout, dans et autour de l’administration, des plus savants aux modestes notaires. Ces hommes accueillaient et soutenaient le modèle romanisant du pouvoir.

• Il est hostile aux gens qui passent, les vagabonds, qu’il appelle traîne-bâton, traîne-savate, patassot, les forains qui sont des rabouins, des « romanichels », des « camp-volant » et jusqu’à une époque récente il n’apprécie guère les vacanciers, surtout si ce sont des Parigots.

• De l’Atlantique aux rives de la Mer Noire, ils ont contribué à la diversité culturelle des sociétés européennes depuis près de mille ans. Et pourtant, malgré leur présence ancestrale, ils intriguent, fascinent toujours autant qu’ils alimentent la peur populaire. Roms, Sinti, Manouches, gitans, gens du voyage : réunies autour d’une langue commune, les populations romani sont pour la première fois mises à l’honneur au Mucem dans le cadre de l’exposition « Barvalo ».

• Malgré les vicissitudes historiques qu’il a subies, le romani est parlé par de nombreux locuteurs, plusieurs millions de personnes, même en ne retenant que le critère de l’intercompréhension, c’est-à-dire des variantes proches les unes des autres.

• Nous allons parler, ce matin, du roman-feuilleton. Le roman-feuilleton tel qu’il s’est épanoui, en France, au temps de la monarchie de Juillet pour connaître un développement d’une grande rapidité. L’essor populaire, en notre temps, des séries télévisées, ne peut qu’inciter à dresser un parallèle. Quelles que soient en effet les différences du support et des moyens de diffusion, on peut discerner sans trop de peine la similitude stimulante de certains ressorts dans le cas de l’un et l’autre de ces deux triomphes.

• Ce qui était nouveau, c’était la peinture pittoresque des bas-fonds de la capitale, cette représentation des « sauvages » de Paris qui faisait délicieusement frémir le bourgeois, mais aussi du petit peuple parisien, dans lequel celui-ci se reconnut. Le succès du roman-feuilleton fut phénoménal, malgré un accueil critique pour le moins mitigé, en particulier des conservateurs, mais aussi de certains républicains et libéraux, voire socialistes (on connaît la critique de Marx dans La Sainte Famille) ; Hugo, Sand, Dumas, le dévorent et applaudissent ; Balzac enrage et s’en inspire pour Splendeurs et misères des courtisanes.

• Le roman-feuilleton semble être entré dans une période d’évolution tranquille : il se répand sous toutes les formes, du feuilleton des quotidiens à celui des journaux-romans hebdomadaires, l’édition multiplie les formats pour le reproduire, depuis les traditionnels in 8° pour cabinet de lecture jusqu’aux livraisons illustrées à 20c ou à l’in 18° à 1 F. Le feuilleton accueille pêle-mêle toutes sortes de romans, depuis les réalistes comme Murger, Duranty ou Champfleury jusqu’aux auteurs à succès de la Monarchie de Juillet, Dumas, Sue, Féval, auxquels il nous faut ajouter un nouveau venu qui monte alors en popularité : Ponson du Terrail.

• Évenor avait des préjugés.Il en nourrissait contre Nane, sa belle-sœur, que lui avaient fournis les romans-feuilletons, ces moules-à-gaufre de la conscience populaire. La Bacchanal d’Eugène Sue et sa sœur touchante, la Mayeux, qui trime, tandis que l’autre mène une fête Louis-Philippe à dégoûter des vices les plus beaux, ont enfanté une famille nombreuse, redoutable, où le peuple croit reconnaître ses filles, et se réjouit de voir maudire leur déshonneur en mauvais français.

• Dès lors, à côté des deux autres personnes qui vivaient déjà en moi, entre l’adolescent encore fervent, régulier, pieux, et l’adolescent romanesquement imaginatif, un troisième individu naquit et grandit, un sensuel, tourmenté des désirs les plus bassement brutaux.

• La duchesse de Mortemart quitta subitement la cour, de dépit des romancines de ses sœurs.

• Alors que le romancier, riche de son don d'ubiquité, peut se dédoubler en autant de personnages que son humeur daigne susciter au fil des pages, le poète reste fixé à la finitude de son expérience, à la racine de son cri.

• Une invention de romancier, (…) qui fut lui-même un jongleur et qui (…) resta des années, vers le début du XIIIe siècle, au service d’un haut baron.

• Encore quelques tours de roue, je vais peut-être perdre une de mes illusions, et voir s’envoler l’Espagne de mes rêves, l’Espagne du romancero, des ballades de Victor Hugo, des nouvelles de Mérimée et des contes d’Alfred de Musset.

• Deux gros piliers largement jaspés avec des chapiteaux jaune d'œuf très massifs, historiés à la romane

• […] on voit surgir l’épopée espagnole dans ces fameuses romances, qui forment pour l’Espagne une gloire à part […] où sont enregistrées toutes les luttes et les beautés de son histoire […] et qui ont réfléchi […] l’élégance et la galanterie des Maures, sans jamais perdre ce sévère caractère catholique.

• Il ne peut s'empêcher de bâtir des romans, des fables, des légendes

• On ne devrait faire un roman de mœurs, c'est-à-dire des mémoires impersonnels, l'histoire contemporaine de visu, qu'à quarante ans