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Citations sur le mot « contenter »

Il y a 22 citations sur le mot « contenter ».

• La vie est extraordinaire quand on sait se contenter de ce qu'elle nous offre.

• Quand on est petit, on peut se contenter de peu.

• Quand on travaille pour plaire aux autres on peut ne pas réussir, mais les choses qu'on a faites pour se contenter soi-même ont toujours chance d'intéresser quelqu'un.

• La science, comme la philosophie, ne peut suffire à contenter le coeur de l'homme.

• En politique, il faut déjà beaucoup de culture pour se contenter d'explications simples.

• Il est bien plus facile de mécontenter la plupart des gens que de les contenter.

• Il faut se contenter de découvrir, mais se garder d'expliquer.

• L’homme est forcé de faire ; la femme peut se contenter d’être.

• Les remords, il vaut mieux se contenter de les conjuguer au présent.

• Est bien fou du cerveau, Qui veut contenter tout le monde et son père.

• Savoir se contenter de ce que l'on a : c'est être riche.

• Celui qui ne sait pas se contenter de peu ne sera jamais content de rien.

• La femme abandonnée doit se contenter d'exister.

• On ne peut contenter tout le monde et son père.

• Celui qui sait se contenter sera toujours content.

• Parbleu ! dit le meunier, est bien fou du cerveau Qui prétend contenter tout le monde et son père.

• Les maîtres d’école prétendent que ce qu’on écrit se fourre plus avant dans la cervelle que ce qu'on apprend par cœur, et que c'est pour ça qu'ils font faire des devoirs aux enfants, au lieu de se contenter de leur faire réciter des leçons.

• Ouvrons un dictionnaire aux mots « Littérature Potentielle.» Nous n’y trouverons rien. Fâcheuse lacune. […]L’humanité doit-elle se reposer et se contenter, sur des pensers nouveaux de faire des vers antiques ? Nous ne le croyons pas. Ce que certains écrivains ont introduit dans leur manière, avec talent (voire avec génie), mais les uns occasionnellement (forgeage de mots nouveaux), d’autres avec prédilection (contrerimes), d’autres avec insistance mais dans une seule direction (lettrisme), l’Oulipo entend le faire systématiquement et scientifiquement. […]Un mot, enfin, à l’intention des personnes particulièrement graves qui condamnent sans examen et sans appel toute œuvre où se manifeste quelque propension à la plaisanterie. Lorsqu’ils sont le fait de poètes, divertissements, farces et supercheries appartiennent encore à la poésie. La littérature potentielle reste donc la chose la plus sérieuse du monde. C.Q.F.D.

• Tout le monde n'est pas forcé de se contenter de la pelure que le ciel lui a donnée: quand on est délicat et difficile, on tâche de s'améliorer au physique et au moral, suivant le procédé d'un marchand de perlimpinpin dont j'ai avalé le nom.

• Pendant trente ans il a caressé le rêve insensé de vivre aux champs, de posséder des terres où il ferait bâtir le château de ses songes. Rien ne lui a coûté pour contenter son caprice de grand seigneur ; il s’est imposé les plus dures privations : on l’a vu, pendant trente ans, se refuser une prise de tabac et une tasse de café, empilant gros sous sur gros sous. Aujourd’hui, il a assouvi sa passion. Il vit un jour sur sept dans l’intimité de la poussière et des cailloux. Il mourra content.

• Sur quel point su globe était-on ?... Les instruments manquant, on ne pouvait faire le point. La seule chose certaine, c’était qu’on était sur une terre du Pacifique ; il fallait se contenter de ce renseignement pour le moment.

• L’homme est forcé de faire ; la femme peut se contenter d’être.