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Citations sur le compliment

Il y a 21 citations sur le compliment.

• Le compliment, c'est quelque chose comme le baiser à travers le voile.

• La nouvelle critique : un sujet, un verbe, un compliment.

• Un compliment est un rayon de soleil verbal.

• On préfère un compliment menteur à une critique sincère.

• Chaque fois que nous mentons à quelqu'un, nous lui faisons le compliment de reconnaître sa supériorité.

• L'ironie est une insulte déguisée en compliment.

• Un homme puissant flatte plus son interlocuteur par une confidence que par un compliment.

• Le compliment exagéré est pire qu'une injure.

• Un compliment, c'est un peu d'amour et beaucoup d'esprit.

• Les femmes... Un rien les attire, un compliment les fait fuir.

• Avoir la confiance de quelqu’un est un compliment plus important que d’être aimé.

• Avec un bon compliment, je peux vivre deux mois.

• Un compliment vaut un baiser.

• Tout compliment est une caresse.

• Le compliment diminue l'homme.

• Une petite fille... s'avança vers M. le président,... lui débita un compliment que personne n’entendit,... cueillies... dans nos campagnes.

• (Ironique) Voilà un joli compliment; un compliment très flatteur

• Tous les chrétiens de la paroisse venaient réciter leurs compliments aux parents d’en dessous. Penchés sur leurs tombes, ils ôtaient un brin d’herbe, un pied de chicorée, avec les doigts ratissaient la terre, comme pour apaiser les défunts, leur passer la main dans les cheveux.

• Les femmes « youyoutèrent » à gorge déployée, et nous échangeâmes congratulations et compliments, l'un flattant l'encolure du mulet, notre héros, l'autre exagérant les mérites du conducteur bédouin, […].

• Phédon a les yeux creux, le teint échauffé, le corps sec et le visage maigre; il dort peu, et d’un sommeil fort léger; il est  abstrait, rêveur, et il a avec de l’esprit l’air d’un stupide: il oublie de dire ce qu’il sait, ou de parler d’événements qui lui  sont connus; et s’il le fait quelquefois, il s’en tire mal, il croit peser à ceux à qui il parle, il conte brièvement, mais  froidement; il ne se fait pas écouter, il ne fait point rire. Il applaudit, il sourit à ce que les autres lui disent, il est de leur  avis; il court, il vole pour leur rendre de petits services. Il est complaisant, flatteur, empressé; il est mystérieux sur ses  affaires, quelquefois menteur; il est superstitieux, scrupuleux, timide. Il marche doucement et légèrement, il semble  craindre de fouler la terre; il marche les yeux baissés, et il n’ose les lever sur ceux qui passent. Il n’est jamais du nombre de  ceux qui forment un cercle pour discourir; il se met derrière celui qui parle, recueille furtivement ce qui se dit, et il se  retire si on le regarde. Il n’occupe point de lieu, il ne tient point de place; il va les épaules serrées, le chapeau abaissé sur  ses yeux pour n’être point vu; il se replie et se renferme dans son manteau; il n’y a point de rues ni de galeries si  embarrassées et si remplies de monde, où il ne trouve moyen de passer sans effort, et de se couler sans être aperçu. Si on  le prie de s’asseoir, il se met à peine sur le bord d’un siège; il parle bas dans la conversation, et il articule mal; libre  néanmoins sur les affaires publiques, chagrin contre le siècle, médiocrement prévenu des ministres et du ministère. Il  n’ouvre la bouche que pour répondre; il tousse, il se mouche sous son chapeau, il crache presque sur soi, et il attend qu’il  soit seul pour éternuer, ou, si cela lui arrive, c’est à l’insu de la compagnie: il n’en coûte à personne ni salut ni compliment.  Il est pauvre.

• Le compliment, c'est quelque chose comme le baiser à travers le voile.