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Citations sur le communisme

Il y a 19 citations sur le communisme.

• On croit souvent que les Russes ont accompli la grande révolution qui leur a permis de se débarrasser du communisme dans l’unique but de consommer des McDonald’s et des films de Tom Cruise ; c’est assez vrai, mais chez une minorité d’entre eux existait au

• Le communisme en tant que système s’est révélé un remède plus dangereux que la maladie elle-même.

• Le communisme, c’est cette forme de démocratie où, périodiquement, les citoyens ont le droit d’aller voter oui.

• J'ai bien peur que l'étape transitoire nécessaire entre le communisme et le capitalisme ne reste l'alcoolisme.

• Le communisme, c'est le pouvoir des Soviets plus l'électrification du pays.

• Entre le communisme et le socialisme, il y a la différence de l'assassinat à l'homicide par imprudence.

• Savez-vous ce qui arriverait au Sahara si on y installait le communisme ? Pendant cinquante ans rien. Au bout de cinquante ans, pénurie de sable.

• En fait de peinture, il n'y a plus guère que les communistes pour ignorer que Picasso est une des réussites les plus achevées de la bourgeoisie.

• Prolétaires de tous les pays, unissez-vous !

• Le communisme est l'opium de l'intellectuel.

• Nous avons bien le Black Power, alors pourquoi pas le Nana Power ? Le communisme et le capitalisme ont échoué. Je pense que le temps est venu d’une nouvelle société matriarcale.

• Sous le capitalisme, les gens ont davantage de voitures. Sous le communisme, ils ont davantage de parkings.

• Le communisme, c’est une des seules maladies graves qu’on a pas expérimentées d’abord sur les animaux.

• Le communisme russe est un mélange de Russie et de communisme, et ce sont deux choses qu'il ne faut pas confondre.

• Le religieux parfait prie si bien qu'il ignore qu'il prie. Le communisme est si profondément une religion - terrestre - qu'il ignore qu'il est une religion.

• Le capitalisme ne peut être pensé que par le communisme.

• Qu’on lise « Le Communisme à l’heure de la vérité » de Péju, qu’on lise Sartre, et qu’on interroge les progressistes de ses connaissances. Dépouillée de son attirail pseudo-dialectique, prosaïquement, réalistement, platement formulée, voilà leur thèse.

• Si le communisme ne devait pas conduire à la création d’un homme nouveau, il n’aurait aucun sens.

• Nous sommes entre nous, mon vieux. Et si Romain était encore là, il se moquerait de vous. Quand j’étais jeune, il n’y avait que deux choses amusantes et assez proches l’une de l’autre pour se haïr à mort et pour se comprendre à demi-mot : le fascisme et le communisme. Ils se sont compris d’ailleurs autant qu’ils se sont haïs, et il n’y a eu que les imbéciles pour pousser des cris d’orfraie à la signature du pacte germano-soviétique.