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Citations sur le clown blanc

Il y a 27 citations sur le clown blanc.

• Un clown blanc aux allures de technicien de plateau.

• Nous ne devons pas tous être centrés sur une même position, cela pourrait créer une certaine cacophonie. Je suis un clown blanc sarcastique. Je dois exploiter les silences, les espaces et adopter certaines postures pour que l’on m’identifie bien au personnage désagréable que je dois incarner.

• A l'occasion de la journée mondiale du cirque, découvrons son emblème : le clown. Que serait le cirque sans ses clowns ? Grotesques, comiques ou tristes, l’Auguste et le clown blanc sont plus que de simples pitres. A travers leurs bouffonneries, ils exposent le cœur des hommes.

• Le clown blanc ouvrira le bal à cheval, les augustes agiteront leur grotesque charivari, Monsieur Loyal, avec son accent italo-argentin jettera ses mots dans son porte voix.

• Et c’est avec la compagnie La Manivelle et son spectacle "Béats Bas" que va s’ouvrir cette nouvelle saison des Espaces Culturels. Franzoni, Boucho et Boulma vont vous entraîner dans une aventure clownesque, un peu rocambolesque : la construction d’une œuvre d’art livrée en kit ! Le monde des clowns est ici revu par Francis Farizon, du comique bien sûr mais aussi un engagement contre la violence en particulier envers les enfants. Autour de cette sculpture, le clown blanc, poète, artiste et les deux augustes vont travailler, renoncer, s’affronter…

• Il y faut beaucoup plus. Beaucoup plus que les blasphèmes et trivialités jaillis pendant les fêtes des fous. Beaucoup plus que les Arlequin et autres Scapin surgis sur les tréteaux de la commedia dell’arte ou que le duo Auguste-clown blanc né au siècle dernier. «Être…

• L’oraison du titre est celle du clown blanc, figure emblématique du cirque, et symbole pour Marie "du chaos contemporain, accentué avec le confinement, et, particulièrement, de l’état de la culture".

• Clown blanc « un peu autoritaire, souvent de mauvaise foi, et toujours mis face à ses échecs », Airbag intervient quatre journées par semaine avec l’un ou l’autre de ses comparses. Ils retrouvent certains patients de semaines en semaines, puis ne les voient plus. Parce que la guérison… Ou parce que le décès… En cas de trop plein d’émotions, ils se tournent vers leur parrain ou marraine qui a les oreilles grand ouvertes.

• Dévoilement métaphorique et révolté, autour de l’image du clown blanc comme sauveur dérisoire du chaos contemporain. Dans la pénombre de la piste, les déséquilibres acrobatiques ou la grâce sauvage du lancer de couteaux, résonnent avec quelques notes d’orgue de barbarie, tristes et joyeuses, comme une prière de cirque.

• Qui est mort? La compagne du chef. Justine, c’est le clown blanc. Toujours digne, toujours sérieux, concerné, un brin casse-couilles, autoritaire, systématiquement bousculé par les autres. Quel autres? Des zigomards, grandes perches, tordue, édentée, dégingandé, chauve, difforme, rase-moquette, bossu, poitrinaire, c’est selon. Toutes et tous aussi pitoyables que drôlissimes, j’ai nommé les bouffons de la Compagnie Diptik, au nombre total de sept dans ce nouveau spectacle baptisé "Septik".

• Le seul en scène n’est pas pour moi. Je suis un clown blanc qui a besoin d’un partenaire pour mener une joute verbale, ce que je pratique avec Gilles Gaston-Dreyfus dans “Les radoteurs” sur Europe 1. »

• Ou plutôt, il travaille "à ce que l’instrument soit à bonne température pour l’heure du concert". Il est chauffeur de piano. Il est aussi l’Auguste face à son partenaire éternel, le piano, "clown blanc alors qu’il est noir".

• Dans la pénombre des pistes du chapiteau, la figure du clown blanc s’affichera comme sauveur dérisoire du chaos contemporain. Acrobaties, lancers de couteaux rythmés par quelques notes tantôt tristes tantôt joyeuses d’un orgue de barbarie seront donnés à voir sous le chapiteau à 20h30 lors du spectacle « Oraison », proposé par la compagnie Rasposo.

• Le clown blanc est une figure classique du cirque traditionnel. Par rapport à l’Auguste (clown au nez rouge à la personnalité loufoque et grotesque, ndlr), il tient un rôle plus autoritaire. J’ai souhaité utiliser ce symbole dans Oraison pour donner l’image d’une humanité prise dans sa bêtise. Le côté blafard et maladif du clown blanc m’intéressait aussi beaucoup par sa représentativité du pessimisme ambiant. J’ai également choisi cette image, car dans le cirque traditionnel, le clown blanc porte toujours des costumes somptueux et, comme dans tout spectacle, l’esthétique est très importante.

• Sur un plateau construit autour et avec ces objets, la compagnie, qui s’est toujours attachée à explorer les rapports entre cirque et théâtre au travers de ses créations, nous raconte l’histoire de ce clown blanc et de celui qui l’incarnait. Sébastien Le Guen, qui se définit lui-même comme un chercheur-artiste, a imaginé une écriture constituée de fragments et de matières (objets, coupures de presse, gestes de cirque…), qu’il partage en grande proximité avec le public dans un dispositif singulier d’agrès dramaturgiques.

• « Nous nous sommes inspirés des personnages du cirque classique avec, d’un côté le clown blanc, et, de l’autre, l’Auguste. Il y a celui qui prend les tartes et celui qui les donne. Ainsi, il y en a un des deux qui tente des expériences loufoques de magie. Quand elles ratent, ça retombe toujours sur l’autre. »

• D’abord en solo, puis en duo, voire plus si affinités, les participants apprennent à être maîtres de leur jeu et du temps, à éveiller leurs sens, soutenus par un classique clownesque : le droit à l’erreur. « On improvise tout le temps, même ceux qui ne sont pas de grands improvisateurs, car je suis là pour les aider. Je suis le clown blanc, dans le public, ce qui permet de renvoyer ce que je vois de la personne. » Dans ses ateliers, la Compagnie des inventeurs est à la recherche de l’humain. « On essaye de trouver la justesse, l’authenticité du moment, de l’émotion ».

• Six mois plus tard, il passe la demi-finale du talent show et voit une nouvelle perspective s’ouvrir à lui : l’écriture d’un spectacle entier autour de son personnage. « Je voyais Pierrot comme un clown blanc, mais en fait c’est un clown doré », imagine Mickaël qui veut donner un tournant burlesque à ses scènes.

• Quentin Biardeau le clown blanc, Stephane Charasse le clown noir. Chatain. Photo B. Cassat

• « Pendant près d’une dizaine d’années, j’ai été le punching-ball d’Eric et Francis (les Chevaliers du fiel, NDLR). Nous passions des heures à nous marrer en studio. J’ai adoré jouer le clown blanc et avoir les auditeurs à l’antenne », évoque avec un plaisir sincère ce fan absolu de Jean-Pierre Foucault. « Pour moi, c’est un dieu vivant ! C’est lui qui m’a transmis la recette : rester soi-même et ne pas oublier que la radio est, avant tout, une conversation avec l’auditeur ». Une approche de l’animation, fondée sur la convivialité et la bonne humeur, dont il fait son leitmotiv et qu’il s’attachera à transposer sur le petit écran.