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Citations sur le ces - Page 99
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Deux savants physiologistes MM. Polaillon et Carville, ont pu se procurer par un voyageur émérite, M. Vincent, médecin de marine, des graines d’inée, plante remarquable et peu connue, dont le suc est employé par certaines tribus du Gabon pour empoisonner leurs flèches. Il résulte des nouvelles recherches de ces savants que l’inée (Strophantus hispidus) est un des poisons les plus énergiques.
Gaston Tissandier — Chronique du 7 juin 1873 : Le poison des Pahouins -
L’évaluation organoleptique de ces confitures a montré que l’addition de sirop de miel de baies d’aronia avait légèrement dégradé la couleur pour les framboises et les fraises.
L’Abeille de France et l’apiculteur — Numéros 877 à 899 -
Ne devrait-on pas tout simplement supprimer ces écoles élitistes faites sur mesure pour l’aristobourgeoisie (désolé pour le néologisme) française et plus spécifiquement parisienne.
« Ce qu’on retiendra de Richard Descoings — directeur de Sciences-Po » -
Parmi ces caractères il faut inclure aussi l’argyrophilie marquée de ces fibres.
Bulletin du Groupement international pour la recherche scientifique en stomatologie — volume 9 -
Fagots d’arcosses. Ces fagots étaient utilisés pour chauffer le chaudron.
Charles Gardelle — Alpages -
Si la classification du XIXe siècle le rangeait du côté des mastodontes, des créatures relativement bien connues en ce temps, des recherches plus récentes, et forcément plus poussées grâce aux avancées technologiques, ont permis de placer un nouveau nom sur le cartel présentant ces ossements millénaires : archéobélodon.
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L'ichtyosarcotoxisme de type ciguatera regroupe le syndrome polymorphe associé à la consommation de chair de poissons de récifs coralliens. Ces poissons herbivores s'intoxiquent par ingestion de micro-algues (dinoflagellés), en particulier Gambierdiscus toxicus.
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La confiance mise dans le vocatif en tous ces cas inspire le sentiment qu’il émane du nom propre et singulièrement de l’aptronyme comme l’essence ou l’anima du personnage.
Irène Mamczarz — Le théâtre européen face à l’invention -
Mais il faut avoir conscience que les réseaux sociaux notamment amplifient ces phénomènes d'hystérisation observés chez certaines adolescentes, par la circulation rapide et incontrôlée des infos ou des rumeurs.
"Ces adolescentes cherchent la reconnaissance de leur détresse" — LePoint.fr -
Tant que ces parties [l’hydre et ses bourgeons successifs] demeurent unies, elles ne constituent qu’un seul corps, qu'un même organisme que (…) nous devons considérer comme un hydrozoïde.
E. Perrier — Zool. -
Ces eaux et ces bouches à eau que nous appelons d'un mot fabriqué en Allemagne, des hydrautes, ont rendu des services mémorables en cette circonstance.
Journal de Genève — 8 novembre 1876 -
Le premier kamikaze s’est fait exploser à l’entrée de la husseiniyya, et le second a profité du chaos provoqué par le premier attentat pour faire détoner ses explosifs à l’intérieur du bâtiment, selon ces sources.
« Nouvel attentat antichiite à Bagdad : au moins 31 morts » — L’Orient-Le Jour.com -
Dans l'article de Biophysical Journal, l'équipe de Ronald Melki a déterminé, par des mesures biophysique (ultracentrifugation analytique et microscopie électronique quantitative), la masse moléculaire moyenne des assemblages de faible et haute masse moléculaire d'alpha-synucléine et de huntingtine, dans le but de comparer la toxicité spécifique de ces deux espèces. Les chercheurs ont montré, sans équivoque, que les assemblages fibrillaires de ces deux protéines sont 1 000 à 10 000 fois plus toxiques que les oligomères de plus faible masse moléculaire. Ils ont également mis en évidence que si les assemblages fibrillaires d'alpha-synucléine et de huntingtine sont toxiques pour les cellules, c'est parce que les fibres interagissent à la fois avec les lipides et avec les protéines membranaires.
Maladies neurodégénératives et assemblages protéiques toxiques — Techno-Science -
Strabon, après avoir en partie combattu ou expliqué ces notions, dit : « Les Scythes, qui se nourrissent d’hippace (fromage fait avec du lait de jument), sont gouvernés par des lois sages.
Charles Athanase Walckenaer — Histoire de la vie et des poésies d’Horace -
Deſtitués du pretendu benefice de ces paſſages, ils ſe targuent de Guidon , qui croit la lithotomie dangeruſe de connuulſion, hæmorrhagie , & fiſtule.
José Covillard — Le Chirvrgien Operatevr -
Le haustellum de ces genres s’est sclérifié en une hampe piquante.
Bulletin de la Société des sciences naturelles de l’ouest de la France — volumes 74 à 76 -
La différence qui se trouve exister entre les apothécies des gyrophores et ceux des ombilicaires, tels que nous reformons ces genres, n'est pas la seule
Jean Victor Audouin — Dictionnaire classique d'histoire naturelle -
Le rugissement des lions, le hennissement des chevaux, le braiement des ânes, le bêlement des béliers, le mugissement des taureaux, le grognement des cochons, des sangliers et des verrats, le raîment des cerfs, la voix grêle des gazelles, le murmure amoureux des rongeurs, les cris inarticulés des singes, les hautes clameurs des alouettes, le triste hurlement des hyènes, le glapissement des renards, le gromellement des blaireaux &c. ; enfin tous ces accens divers dont résonnent les forêts et les déserts sauvages ne sont dans les animaux que l’expression de leurs désirs d’amour.
Nouveau Dictionnaire d’histoire naturelle — tome XIX (Qot - Ryz) -
L’auteur de cette gigantologie espagnole attribue ces dents énormes et ces grands os [fossiles] à des géants de l’espèce humaine ; mais est-il croyable qu’il y ait jamais eu des hommes dont la tête ait eu huit à dix pieds de circonférence ?
Buffon — Not. justif. Ép. nat. Œuv. t. XIII -
Quant au terme de Kiribati, il correspond à la façon vernaculaire d’écrire l’anglais Gilberts (pluriel de Gilbert), nom du capitaine britannique Thomas Gilbert qui, de concert avec le capitaine John Marshall, a sillonné ces îles lors d’un voyage entre Sydney et la Chine en 1788. Cette appellation des îles Gilbert —ou Gilberts, comme il était de tradition d’écrire dans les anciennes cartes où les îles de l’archipel prenaient systématiquement le pluriel en français— est apparue ainsi pour la première fois sur une carte dressée et écrite en français par une expédition russe dirigée par un amiral estonien. Ce même nom de Gilberts a ensuite été utilisé par les habitants, de préférence au nom vernaculaire de Tungaru, qui l’ont prononcé [kiribès], le [g] et le [l] n’existant pas en gilbertin.Le nom des habitants et de la langue du pays a toujours été Gilbertese (en anglais) et Gilbertin/gilbertin (en français), cette dernière forme étant apparue en 1888 avec l’arrivée des missionnaires catholiques du Sacré-Cœur (tous francophones). Ainsi, les formes traduites de l’anglais Gilbertais (nom) ou gilbertais (adjectif), (Gilbertien/gilbertien, Gilbertain/gilbertain) ou encore Kiribatien/kiribatien (comme dans le dictionnaire Le Robert ou l’arrêté français du 4 novembre 1993 semblent refléter plutôt une méconnaissance des rapporteurs en la matière. On peut utiliser à la rigueur le terme peu français de I-Kiribati. Les textes juridiques du pays utilisent en général l’expression "Kiribati language" pour désigner la langue des Gilbertins, mais on trouve parfois l’expression "Gilbertese language". […] Les 94 000 habitants des Kiribati (les Gilbertins ou plus rarement Kiribatiens) sont géographiquement éparpillés dans des îles parfois très éloignées, mais il existe une très grande unité démolinguistique. […] Au contraire, les observateurs attentifs de la société gilbertine, dont Sir Arthur Grimble (1888-1956), ont surtout constaté une grande homogénéité d’ordre linguistique, probablement unique dans le Pacifique surtout si l’on tient compte del’éparpillement extrême des archipels. […] D’une part ,la très grande majoritédes habitants , soit au moins97 ,2 %, parlentlekiribati(oug i lb e rt in )unelang uemicronésienne defamilleaust ron és ien nedugroupe malayo-polynésieno r i ental .[…]On estime aussi que30 %des G i lb e rt in sparlent aus s i langlais commelangueseconde .M oinsde400locuteursontlanglaisc ommelangue maternelle.Def açongénérale,l anglaisest perçudansl esîl esG ilb ertàlaf oi s c ommelanguesecondeetunalang ue étrangère.Lebil inguisme da nscepay sestencoreloindelaco upeaux lèv res .Lesgens instrui tstendentaoréservelanglai sdanssaforme écr iteetprivilégierlegilbe rtina lor al.Legilb ertinnest parléquep arle s G i lb e r t ins.—(Jacques Leclerc,L’Aménagementlinguistiquedanslem onde:K ir ib at i ,28décembre2015)
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Le spécialiste n’est jamais à même de limiter individuellement son activité à celle d’une discipline, ni aussi de prétendre couvrir toute une discipline, sauf si elle a un développement minuscule. Par exemple, l’auteur est biologiste ; plutôt zoologiste ; ou plus précisément géodrilologue (= spécialiste des vers de terre) ; non, il est seulement compétent pour une portion minime des connaissances relatives à ces animaux.
Marcel Bouché — Pour un renouveau dans l’environnement : De l’antiscience à l’Intelligence Artificielle des systèmes complexes -
Il est donc logique de rencontrer ces fins lits de gaylussite en début d’ingression lacustre.
Gilbert Maglione — Géochimie des évaporites et silicates néoformés en milieu continental confiné: les dépressions interdunaires du Tchad -
Ils ſont ronds & peu amples, ſinon lors qu’ils ſe dilatent peu à peu aux Nephritiques, car pour lors des calculs aſſés gros paſſent par là , mais s’il s’arreſtent cauſent douleur , tumeur , inflammation, gangræne, & en fin la mort , à cauſe du ſentiment fort exact de ces parties.
Joseph Couillard — Le Chirvrgien Operatevr -
Certains témoignages attestent de l’existence de fées mâles, ou féetauds, mais ces derniers sont très minoritaires, et leurs pouvoirs, indéfiniment étendus que ceux de leurs sœurs et compagnes. En outre, les contes littéraires ne les connaissent pas.
Édouard Brasey — L’Encyclopédie du merveilleux : Des peuples de la lumière -
Des ouvriers armés d’un fourquet , espèce d’instrument de fer ou de cuivre percé dans son milieu de deux grands yeux en longueur, écartent la farine vis-à-vis de ces trous, jusqu’à ce qu'ils aient atteint l’eau, qui s’enlève en masse.
Friedrich Accum — trad. M. Riffault -
Je ne le comprends pas, Votre Seigneurie, mais j’ai lu sur le visage de ces deux idiots ce qu’il en était, et lorsque les Japonais se sont éloignés, l’âne que je suis a posé quelques questions, certes avec lourdeur et médiocrité, mais tout de même avec une certaine finoterie.
Armand Herscovici — Soufflet jaune -
FAVAGITE ou FAVONITE. Nom donné à un astroïte fossile dont les étoiles sont grandes, ou ovales, ou angulaires, à peu près semblables aux cellules d’un rayon de miel : ces cellules sont souvent remplies de cristallisations ou spatheuses.
Dictionnaire raisonné — universel d’histoire naturelle -
Sur la structure du temps : présentisme, possibilisme et éternalisme Des débats se poursuivent, en effet, sur la structure du temps-espace newtonien […] on a en quelque sorte pu bâtir trois vues métaphysiques possibles pour exprimer en résumé la structure possible du temps. Ces trois vues ont été nommées le présentisme, le possibilisme et l’éternalisme (Savitt, 2005). Le « présentisme » affirme que le passé n’existe pas. […] À l’opposé du présentisme, certains, dont Bertrand Russell (voir ci-dessus), ainsi que Quine, ont estimé qu’il n’y avait pas de différence ontologique entre passé, présent et futur sinon subjectivement. Cette ontologie du temps est dite « éternalisme » ou « théorie de l’univers-bloc » (Block Universe), ainsi que l’a nommée William James […] Très à côté, la vue médiane du « possibilisme » illustre cet intermédiaire. C’est un passage moins ontologiquement austère que le présentism. Le futur est possible plutôt qu’actuel; le passé est devenu et est pleinement actuel. […] Quant à l’éternalism il ne prend en compte ni le passage ni la dissymétrie qu’illustre le possibilism.
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Connue sous le nom d’exomphale ou d’omphalocèle, on la désigne encore sous le nom d’entéromphale, d’épiplomphale, entéro-épiplomphale quand on précise son contenu, intestin ou épiploon ou ces deux organes réunis.
Célestin Cadéac — Pathologie chirurgicale de l'appareil digestif: bouche -
Il s’en dégage une cumbia très régionale, vintage, au son cru, en apparence désorganisée, conçue avec les moyens du bord, mais remplie d’âme et de vitalité avec l’orgue farfisa qui cille sur la multipercussion et la guitare électrique tombée à la fois dans l’exotica et le psychédélisme, avec des petits coups de pédale wah wah, ces notes qui semblent se dérégler et ce quelque chose de naturellement scratcheux.
Disque - Juaneco y su Combo — The Birth of Jungle Cumbia -
Outre les céphalomèles, deux autres genres font à ce dernier fait général des exceptions qui d’ailleurs ne sont pas entièrement inexplicables. L’un de ces genres, les céphalopages, fait partie de la famille des monstres eusomphaliens, et l’autre, appartenant aux hétéraliens, est l’analogue du précédent parmi les parasitaires.
Isidore Geoffroy Saint-Hilaire — Histoire générale et particulière des anomalies de l’organisation chez l’homme et les animaux -
Enfin, il existe une troisième Europe, celle des europhoriques, ces gens qui veulent le plus d’Europe possible le plus vite possible.
« Les europhoriques — des amis à haut risque » -
Comme ces grandes journées de mobilisation, des “euro-manifestations” qui ces dernières années sont clairement dirigées contre les plans d’austérité.
« Euro-manifestations : l’union fait-elle la force ? » — Euronews.comn 14 novembre 2012 -
Disons ici en quoi consiste le çloka, et qu’on nous permette de l’exposer en termes à nous […] On sait déjà que c’est un distique dont chaque vers a 16 syllabes groupées en 2 pâdas, les mêmes quant au nombre de syllabes, divers quant au rhythme. À présent, voici comment se comporte ce rhythme. Coupons le vers en groupes quadrisyllabes. Alors le 4e est invariablement un diïambe ou (toute finale de vers étant indifférente) un péon 2e ; le 2d, au contraire, repousse invariablement ces 2 pieds, plus les 2 ioniques et ce qu’ils deviennent en changeant la dernière (c.-à-d. le spondéoïambe ou épitrite 3e et le péon 3e) : donc des 16 pieds quadrisyllabes imaginables, 10 peuvent être admis, savoir (en les échelonnant 2 à 2, de manière à ce que le 2d ne diffère du1er que par la finale) l’antispaste et l’épitrite premier ,le choriambe e tlepé on premier ,lepé on quatrième e tleprocéleusmatique ,lépitrite second e ledichorée ,ledispondée e tl’épitrite4e( encore alors est-cequ’un spondéoïambe ounpéon3ep r écède). De ces10pieds possibles ,lesplusfréquentsdebaucoup sontl’antispasteetl’épitrite1er:lépitrite4second,lchoriambeetlepéon4ene pasrares.< >« Spécimend’unetraduction française complèteduRâmâyana»< >in Bulletinmensuelde l’Académiedelphinale
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Ça me rappelle plutôt des horreurs, des horreurs du monde animal… sous les tropiques, toute la forêt hurle, c’est une enculerie, une boucherie, cent mille meurtres, dépèceries vif, une de ces tornades, de douleurs, du plus menu brin d’herbe aux creux, toute la bestiolerie au carnage, à l’amourerie, que même vos oreilles bien fermées, obturées à cire et vaseline vous vous trémoussez saccadez tordez votre châlit de terreur de fièvre vous hurlez avec la forêt même vous là passif abruti vous aboyez hurlez aux loups le bacchanal est trop fort vos sens vous sortent de vous-même.
Louis-Ferdinand Céline — Version C de “Féérie pour une autre fois” -
Lundi 31 mars 20h30. Au moment où nous écrivons ces lignes, François Hollande vient de s’exprimer pour annoncer les orientations du nouveau gouvernement dont Manuel Valls est nommé Premier ministre. Les habituels prescripteurs d’opinion, du Figaro à Libération, avaient, quant à eux, déjà pris les devants (comme l’a relevé Sébastien Fontenelle sur son blog). Et au lendemain de la « claque » électorale des municipales, l’éditocratie est unanime : il est plus que jamais urgent pour Hollande… de ne rien changer (ou presque) à la politique menée jusqu’à présent par le gouvernement.
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Les habitants payaient des redevances pour le droit d'avoir écaude ou bateau, afin de pêcher ou d'aller couper quelques joncs sur ces marais.
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Les théoriciens de la linguistique ne sont pas avares de nouvelles catégories onomastiques et n’hésitent pas à baptiser chacun de ces micro-champs d’études : la cynonymie étant l’étude des noms des chiens, l’hipponymie celle des chevaux, l’aeluronymie celle des chats… Ne manque que l’onomonymie : l’étude… des noms propres…
Pierre-Henri Billy — Dictionnaire des noms de lieux de la France (DNLF -
Oui, tout va bien, si ce n’est que depuis ce soir-là elle s’est juré que ces corbeaux elle les virerait, quitte à utiliser des effaroucheurs ou n’importe quoi, elle ne veut plus qu’ils soient là, elle se raccroche à ce projet, les virer, les virer comme si cela pouvait tout régler et tout faire rentrer dans l’ordre.
Serge Joncour — Repose-toi sur moi -
LES VARIÉTÉS DE L’HEXAMÈTREPartagé en deux hémistiches ce vers devient le priapéen ; Le buccolique, quand il l’est en deux, et une dipodie, séparées par une pause. Les deux premières dipodies forment le vers alcmanien ; Les deux dernières le phalisque ; La dernière l’adonique ; Le dernier hémistiche forme le phérécratien ; Une fraction d’un spondée et de deux dactyles forme un glyconique ; Et une fraction impaire forme le dactylique tétramètre catalectique. C’est un composé de trois pieds et demi ou une epthémimérie. Le miurus ou téliambe, mentionné dans le même tableau, n’est que le résultat d’un accident prosodique. Mais chacune de ces variétés a sa valeur mimique.
Émile-Jacques Pérès — Noologie : ou