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Il y a 21 citations sur la bondrée.
Une pause séparait chacun des cris, que sans cela l'on eût pu confondre avec les ululations des orfraies, des bondrées et des chouettes, tant l'imitation était parfaite. Théophile Gautier — Le Capitaine Fracasse
Venu d'Asie, le frelon asiatique fait des ravages chez les abeilles. Un rapace, la bondrée apivore, s'est fait remarquer cet été pour son appétence pour ce dangereux hyménoptère, mais « il n'éradiquera pas ces frelons », nous explique un spécialiste. En revanche, le dioxyde de soufre, une arme redoutable tolérée puis interdite en mai dernier, pourrait être autorisé après un avis favorable de l'Anses. Futura — Contre le frelon asiatique : le rapace… et le soufre
Les frelons asiatiques auraient-ils enfin un prédateur naturel ? En tous cas, chose très rare, une bondrée apivore a détruit un nid le 15 août SudOuest.fr — Gironde : fait rarissime, un rapace dévore un nid de frelons asiatiques
La diversité (14 espèces) et le nombre de rapaces nicheurs sont ainsi des indicateurs de la biodiversité de la RNR. On y retrouve le magnifique aigle botté, 4 couples appréciant le calme des grands arbres, le grand-duc d'Europe qui niche dans les falaises terreuses, ainsi que le milan noir, le faucon hobereau, la bondrée apivore, l'épervier d'Europe… ladepeche.fr — Lacroix-Falgarde. La réserve du Confluent propice aux rapaces - ladepeche.fr
Charente nature a relâché deux rapaces, une bondrée apivore et une buse variable, mardi matin SudOuest.fr — Charente nature a relâché deux rapaces à Torsac
Le suivi de la migration des bondrées apivores a eu lieu à Châteauroux-les-Alpes. La bondrée apivore est un rapace diurne de la taille de la buse variable, avec une silhouette un peu plus fine. La particularité de ce rapace est de s’alimenter d’insectes, en particulier les apidés comme les guêpes, frelons et abeilles. Environnement | Bondrées : les rapaces sont observés tout le week-end
Le piège photographique ayant confirmé la présence d’une Bondrée apivore se nourrissant, mais la caméra-détection ne permettant pas de prendre de belles photos ni de modifier la prise de vue, Marc Fasol a placé le lendemain une tente-affût en contrebas d’un talus herbeux. Après trois heures d’attente, il a pris de belles photos de la bondrée avec son Nikon D4s muni d’un zoom 200-400 mm. On notera notamment sur ces clichés : Ornithomedia.com — Piège photographique : filmer une Bondrée apivore attaquant un nid de guêpes | Ornithomedia.com
Il a rouvert début juin. Le parc ornithologique Terres d’oiseaux niché au bord de l’estuaire de la Gironde à Braud-et-Saint-Louis propose cet été deux soirées exceptionnelles au public amateur d’oiseaux rares, celle de passer une nuit en bivouac au port des Callonges. La nuit des 7 juillet et 11 août se passe accompagnée d’un guide local prêt à vous montrer l’envol des cigogneaux et vous révéler le chant de tous les oiseaux présents sur le site comme les foulques, les vanneaux, les guêpiers et les pies-grièches ou encore les rapaces comme la bondrée apivore. La nuit se passe en plein air, le petit-déjeuner est offert. SudOuest.fr — Tourisme : trois visites insolites en Haute Gironde
De jour, on peut aussi apercevoir la bondrée apivore et le balbuzard pêcheur qui ne font aucun mystère de leur plat préféré. Avec un peu de chance, on pourra observer le majestueux pygargue à queue blanche – et non à tête blanche, l’oiseau emblème des États-Unis – ainsi que l’autour des palombes. L’épervier est plus rare mais certains observateurs l’ont vu survoler nos autoroutes. Metz. Savez-vous pourquoi les rapaces aiment la région messine ?
Dans la liste des rapaces visibles la journée, il y a aussi la bondrée apivore et le balbuzard pêcheur qui ne font aucun mystère de leur plat préféré. Le pygargue à queue blanche – et non pas à tête blanche, l’oiseau emblème des États-Unis – ainsi que l’autour des palombes complètent le bestiaire. Quant à l’épervier, « on a de la chance si on parvient à en voir un au-dessus de nos autoroutes ! », interviennent les bénévoles de la LPO de Moselle. Metz | Environnement. Sur l’autoroute : les rapaces vous accompagnent
Distinguer la Bondrée orientale de la Bondrée apivore Ornithomedia.com — Piège photographique : filmer une Bondrée apivore attaquant un nid de guêpes | Ornithomedia.com
Le Sud Touraine est un lieu riche en rapaces : circaète Jean-le-Blanc, bondrée apivore, faucon hobereau sont présents à la belle saison. La fin août est la période idéale pour observer d’autres espèces en route vers l’Afrique comme le busard des roseaux ou la très rare cigogne noire. L’Eperon-Murat est un point culminant, site idéal pour observer les rapaces de loin et tenter de les identifier. Places limitées à 20 personnes, réservation au 02 47 51 81 84. Rendez-vous à 10h00 sur le parking de l’église de Ferrière-Larçon. Prévoir chaussures de randonnée, vêtements adaptés, boisson fraîche et casquette. Unidivers — Les rapaces de Murat Ferrière-Larçon Ferrière-Larçon mardi 23 août 2022
Linottes, cigognes et grues ouvrent le bal. Puis le flux des martinets noirs atteint 20 000 individus certaines journées. Les rapaces suivent, comme la bondrée apivore, un oiseau d’un mètre trente d’envergure, par vagues de 10 000. « Le ciel en est rempli ! C’est l’endroit de France où l’on peut en voir le plus en une seule journée », remarque Sébastien Roque, de l’association Med migration, qui assure les comptages. Le Monde.fr — Cinq sites naturels en France pour observer la migration des oiseaux
Avec une épuisette, entre autres outils d’investigation, c’est Yann Février, coordinateur du Géoca, qui a sillonné le golf. « 165 espèces végétales ont été recensées et 51 espèces d’oiseaux, dont le pic mar, qu’on ne trouve pas partout mais aussi la bondrée apivore, le martinet, le roitelet ou la tourterelle des bois ; on a 20 espèces de papillons ; autant de libellules et demoiselles ; sept espèces d’amphibiens et je suis persuadé qu’on aurait pu en trouver bien plus si on avait eu plus de temps, mais déjà c’est un très bon aperçu. » Le Telegramme — À Pléhédel, le golf de Boisgélin obtient un label biodiversité - Paimpol - Le Télégramme
La bondrée apivore est un migrateur au long court, qui arrive dans nos régions tardivement (pics migratoires à la mi-mai) et en repart rapidement, dès le mois d’août, pour retourner en Afrique où elle passe 8 mois de l’année. Son séjour estival sous nos latitudes lui permet de se reproduire. Parc national des Ecrins — Migration sous surveillance : la bondrée apivore | Parc national des Ecrins
La bondrée apivore est un migrateur au long court, qui arrive dans nos régions tardivement (pics migratoires mi-mai) et en repart rapidement, dès le mois d’août, pour retourner en Afrique où elle passe 8 mois de l’année. Son séjour estival sous nos latitudes lui permet de se reproduire. Parc national des Ecrins — Bon voyage les bondrées ! | Parc national des Ecrins
La bondrée apivore en plein vol : « On voit nettement sa tête proéminente, type “tête de pigeon”, contrairement à la "tête dans les épaules" de la buse variable, ainsi que sa longue queue, de la même largeur que l’aile », explique Bernard Marconot. Photo DR #IciOnAgit. Belfort : la bondrée apivore, l’oiseau dévoreur de couvains de guêpes
Perchée sur un poteau ou une branche, la bondrée apivore surveille les alentours de son regard d’aigle. Presque exclusivement insectivore, elle s’intéresse aux allers et venues des guêpes et autres hyménoptères. Quand ses repérages sont couronnés de succès, elle se laisse planer sur le terrain et, de ses serres aiguisées, elle extrait les nids du sol pour se régaler de tout ce qui s’y trouve afin de faire le plein de fortifiants. Lorsqu’elle est comme cela attablée, il est possible de l’observer pendant ses longs moments de dégustation car ses instincts farouches s’effilochent devant ses pratiques gourmandes. www.lamontagne.fr — Deux pépites d’or pour cet insectivore - Mérinchal (23420)
Il a d'abord fallu les nourrir, mission pas facile pour ces oiseaux dont l'alimentation principale consiste en... guêpes, bourdons et autres abeilles, d'où leur nom "apivore". Leur morphologie est adaptée avec de petites plumes écailleuses autour du bec et des narines étroites pour éviter que les insectes ne pénètrent ou ne piquent. Néanmoins, la bondrée peut aussi se nourrir de petits oiseaux, rongeurs, grenouilles, voire même de fruits en fin de saison, ce qui a permis de mettre en place un régime de substitution afin que ces jeunes rapaces puissent se développer normalement. Parc national des Ecrins — Les bondrées apivores, du Champsaur vers l'Afrique... | Parc national des Ecrins
À son arrivée, la bondrée présentait un œdème à la patte droite et des plaies ainsi qu’une absence de tonus à la patte gauche. L’examen clinique a également permis de mettre en évidence de multiples fractures de l’aile droite. ENVT — Une bondrée apivore prise en charge à l'ENVT - Actualité, Clinique faune sauvage - ENVT