Accueil > Citations > Citations sur le XVIIIe
Citations sur le XVIIIe - Page 5
Il y a 362 citations sur le XVIIIe.
-
Le diptyque de Wilton tire son nom de la demeure où il a été conservé à partir du XVIIIe siècle, jusqu’à son entrée en 1929 à la National Gallery de Londres.
Marie-Claire Rouyer — Figures du souverain -
Concentrons-nous ici sur un seul épicier, Thomas Dickenson de Worcester – un chef-lieu et un centre diocésain qui comptait environ 10 000 habitants, y compris de nombreux membres du clergé et professions libérales, au milieu du XVIIIe siècle, et un arrière-pays vaste et prospère.
Stobart Jon — « Sucre et épices. Achat de produits exotiques au XVIIIe siècle en Angleterre » -
Pendant de longs siècles, la maison resta bien fragile. […]. En Champagne et sur le plateau agricole de Porcien,c’est en chaume qu’elle était couverte à la fin du XVIIIe siècle.Les incendies fréquents , calamités de l’ancienne France,dévoraient des villages en un clin d’œil : […].
Octave Guelliot — Villages et maison des Ardennes -
L’exil des morts amorcé au XVIIIe siècle, c’est-à-dire la désocialisation des cadavres, débouche sur le goût contemporain des cimetières virtuels. Quête des aïeux, où l’individu anonyme citadin se pique soudain de se découvrir quelque lignée qui remonterait, bien entendu, au Moyen Âge: …
Joseph Morsel et Christine Ducourtieux; « L’Histoire (du Moyen Âge) est un sport de combat… » — 2007 -
Contrairement au XVIIIe siècle, le mal n’est plus décrit comme un ensemble dispersé de faiblesses, mais comme une désadaptation progressive à la vie […]
Georges Vigarello — Le cors redressé -
Les ruines du demi-bastion des Astilleros, qui protégeaient l’édifice de Drassanes, ont, quant à elles, été retrouvées à cinq mètres de profondeur. Il avait été édifié au XVIIIe siècle puis détruit en 1854. Cette année-là, la Rambla n’avait plus d’issue.
Equinox — Les trésors cachés sous la Rambla de Barcelone -
Le cymbalum est signalé en Roumanie à la fin du XVIIIe siècle : il fait alors partie de l’ensemble de « musique de chambre » de la cour du prince valaque Alexandru Ipsilanti.
RCIP — Accords francophones : chordophones -
En ville, les cimétères, eux aussi translatés en dehors des bourgs et des villes aux XVIIIe et XIXe siècles, ont souvent été rattrapés par la conurbation des faubourgs et des banlieues.
François Michaud Nérard — « Le cimetière français doit se réinventer pour ne pas mourir » -
La course à l’aigu avait déjà été gagnée au XVIIIe siècle où le soprano tente de rivaliser avec le castrat : Faustine Boroni émet le premier contre ut[sic] féminin en 1720, la Gabrielli atteint le contre-fa vers 1750, et l’on mentionne même un contre contre-ut.
Vincent Vivès — Vox humana : poésie -
Avec l’exposition “Mode en bleu et brun”, les membres du Conservatoire du costume comtadin ont eu à cœur de faire plaisir et de faire découvrir au public une trentaine de mannequins portant des tenues allant du XVIIIe au XXe siècle. Ces vêtements représentent tous les milieux sociaux de...
Pernes-les-Fontaines. Jusqu’au 16 juin, une exposition met à l’honneur le costume comtadin -
Tout est à voir à Pernes, notamment les magnifiques hôtels particuliers (14 au total) des XVIIe et XVIIIe siècles, légués par des familles de noblesse comtadine.
Petit Futé Vaucluse — 2009 -
Jean Borie, en accord avec Sartre aussi bien qu'avec Foucault, souligne qu'un retournement s'était, à ce propos, opéré depuis le XVIIIe siècle; le désir et la jouissance, que l'on cesse d'exalter en les associant à la génération, se trouvent relégués au nouveau statut d'instinct génésique; dès lors, le coït conjugal se trouve plus étroitement associé à la notion de devoir.
Alain Corbin — Les filles de noce -
C’est à partir des premières années du XVIIIe siècle que le clavicorde semble avoir cessé de jouer un rôle dans la vie musicale française.
Édith Weber — Jacques Chailley -
Jusqu’à la fin du xviiie siècle, on ne connaissait que très peu de parasites de la vigne, tels que certains insectes comme la cochylis, le gribouri ou le cigarier, qui provoquaient des dégâts limités pour les vignobles.
Patrick Berche — Une histoire de microbe -
Savoir adapter sa tenue aux circonstances et aux lieux : l'impératif est notoire, pour éviter le faux pas social notamment, dans le cas d'un entretien d'embauche particulièrement. Après, pour l'humain en goguette, la tolérance est censément maximale. Sauf l'humain qui va en goguette à Versailles. Paloma Bernot en a fait l'expérience, le 26 décembre : recalée à l'entrée du château car jugée «déguisée». Car voilà, cette jeune femme de 25 ans sise à Loches (Indre-et-Loire) est passionnée par la mode des XVIIIe et XIXe siècles, elle en a même fait profession, couturière qui crée des tenues d'époque et, donc, en porte au quotidien.
Libération — L'avis de château – Libération -
Si une briqueterie s’installe à Québec dès le début de la colonie, cette industrie se développe peu au cours de la première moitié du XVIIIe siècle.
Jacques Lacoursière — Histoire populaire du Québec -
Au clair de la lune,Pierrot répondit :— Je n’ai pas de plume,Je suis dans mon lit.Va chez la voisine,Je crois qu’elle y estCar dans sa cuisine,On bat le briquet. — (Au clair de la lune, XVIIIe siècle)
-
Sumner Maine fait observer que les rapports des gouvernements et des citoyens ont été bouleversés de fond en comble depuis la fin du XVIIIe siècle ; […].
Georges Sorel — Réflexions sur la violence -
Hélas! un cardinal du XVIIIe siècle a aussi passé par là, pour tout baroquiser.
Camille Mauclair — La majesté de Rome -
En remontant plus en arrière, Jane Birkin descendait aussi « de Charles II d’Angleterre et de Charles Ier, d’Henriette de France, fille d’Henri IV et de Marie de Médicis. Par son père, elle avait une ascendance prestigieuse de la haute noblesse britannique : Ducs de Bedford, de Gordon, baron Middleton (sans lien avec l’épouse du prince William) et baron MacDonald, aux portraits peints par les plus grands peintres anglais du XVIIIe siècle… comme Jane fut immortalisée par les plus grands photographes de son temps. »
Le Télégramme — Jane Birkin, « Lady » à l’ascendance aussi prestigieuse que scandaleuse selon Hyacinthe de Keranrouë | Le Télégramme -
Aux XVIIIe et XIXe siècles, les premiers et seconds violons ne sont pas regroupés à la gauche de la scène mais plutôt placés l’un en face de l’autre, à gauche et à droite, avec les cordes basses au milieu. Cette disposition permet de créer une antiphonie musicale entre les deux groupes de violons, technique surtout exploitée par Joseph Haydn au début du XVIIIe siècle.
France Musique — « Stokowski shift », une révolution dans l'histoire de l'orchestre -
[…] ; la confiance que les hommes du XVIIIe siècle avaient dans les capacités industrielles de l'État, paraît puérile à toutes les personnes qui ont étudié la production ailleurs que dans les insipides bouquins des sociologues; ceux-ci conservent encore fort soigneusement le culte des âneries du temps passé; […].
Georges Sorel — Réflexions sur la violence -
Une chaume, sans doute, reste avant tout le pâturage. Par là, cependant, du XVIe au XVIIIe siècle, les documents peuvent encore désigner les districts forestiers voisins, compris dans la même amodiation.
Pierre Boyé — Les Hautes-Chaumes des Vosges -
L’agrarianisme fut donc la philosophie économique qui prévalut aux États-Unis à partir de la fin du XVIIIe siècle.
Michel Cieutat — Les grands thèmes du cinéma américain -
Cette bourgeoisie savante, bâtisseuse et endogame (une trentaine de familles au XVIIe siècle, une quarantaine au XVIIIe siècle), au caractère acérain, investit les instances politiques et juridiques de Chinon pour les tenir jusqu’à l’avènement de l’homo-jacobinus.
Luc Boisnard — Commentaire sur ces Messieurs de Chinon -
L’acciaccatura, largement employée dans la musique espagnole du XVIIIe siècle et en particulier par Domenico Scarlatti (1685-1757), consiste à renforcer l’attaque d’un accord par l’adjonction de notes étrangères que l’on lâche immédiatement après les avoir jouées.
Claude Abromont — Eugène de Montalembert -
Ensuite, ce gardien de square du XVIIIe arrondissement de Paris, interpellé lors d'une ronde de police parce qu'il ne donnait pas la chasse aux vendeurs à la sauvette.
Le Canard enchaîné — 1er juin 2016 -
Je dois m’attendre à tout – ayant été l’homme le plus haï et le plus adoré du XVIIIe siècle !… Avec de la gaieté – et même de la bonhomie, j’ai eu des ennemis sans nombre – et n’ai pourtant croisé la route de personne. Or, j’ai trouvé la cause de tant d’inimitiés. Dès ma folle jeunesse, j’ai joué de tous les instruments, mais je n’appartenais à aucun corps de musiciens – les musiciens m’ont détesté. J’ai inventé quelques bonnes machines, mais je n’étais pas du corps des mécaniciens – et l’on a dit du mal de moi. Je faisais des vers et des chansons, mais qui m’eût reconnu pour poète ? – j’étais le fils d’un horloger ! N’aimant pas le jeu de loto, j’ai fait des pièces de théâtre, mais on disait : “De quoi se mêle-t-il ? Ce n’est pas un auteur, car il fait d’immenses affaires”. Faute de rencontrer qui voulût me défendre, j’ai imprimé de grands mémoires pour gagner des procès qu’on m’avait intentés. Les avocats se sont écriés : “Peut-on souffrir qu’un pareil homme prouve sans nous qu’il a raison !” J’ai traité avec les ministres de grands points de réformation dont nos finances avaient besoin, mais l’on disait encore : “De quoi se mêle-t-il, puisqu’il n’est point financier ?” Luttant contre tous les pouvoirs, j’ai relevé l’art de l’imprimerie française par les superbes éditions de Voltaire – mais je n’étais pas imprimeur et j’ai eu tous les marchands pour adversaires. J’ai fait le haut commerce dans les quatre parties du monde – mais je ne m’étais point déclaré négociant. J’ai eu quarante navires à la fois sur la mer – mais, n’étant pas un armateur, on m’a dénigré dans nos ports. Un vaisseau de guerre à moi de cinquante-deux canons a eu l’honneur de combattre en ligne avec ceux de Sa Majesté, mais regardé comme un intrus, j’y ai gagné de perdre ma flottille ! De tous les Français, quels qu’ils soient, je suis celui qui a fait le plus pour la liberté de l’Amérique – mais je n’étais point classé parmi les négociateurs…
Sacha Guitry — Beaumarchais -
Conclure et exclure ont eu autrefois un participe passé en s [...] La désinence -u, qui s'est imposée à grand nombre de participes passés, a fait abandonner conclus, exclus, pour conclu, exclu. [...] Les formes exclus, excluse ont persisté jusque dans le XVIIIe siècle, et l'Académie, en 1811, les admettait encore à côté de exclu, exclue.
Grevisse — §686 -
« Watteau reste le peintre du XVIIIe siècle qui a le mieux compris la musique de son temps : il en a donné un équivalent pictural... Ce que Couperin et les compositeurs contemporains avaient conçu en musique, Watteau l’a réalisé en peinture avec un métier de qualité exceptionnelle, alliant l’élégance désinvolte à la rêverie tendre, l’amour de la nature et le raffinement de la vision — et toujours avec cette pointe de moquerie qui évite à l’expression des sentiments l’emphase pathétique et l’émotion larmoyante. »
Philippe Sollers -
Dès le XVIIIe siècle, nous trouvons de nombreuses recettes pour l’eau, la liqueur ou le vin de noix. Fabriquées un peu partout en France, ce sont des boissons à la mode, des boissons « précieuses », comme on les appelait à l’époque. Il n’est donc pas surprenant de trouver dans des pays de noix, comme le Quercy et le Rouergue, des spécialités de liqueur et de vin aromatisés avec ce fruit.
millavois.com — Cuisine : Le vin de noix -
Cette forme de tenure a fait l’objet de nombreux griefs formulés par les paysans dans les cahiers de doléances de 1789. Mais le domaine congéable était-il toujours défavorable au domanier ? « Non, car les cahiers mettent en avant une littérature de combat et ne reflètent pas la réalité », pense Isabelle Guégan, docteur en histoire moderne et chercheure associée au Centre de recherche bretonne et celtique de l’UBO, qui vient de soutenir une thèse intitulée « Rapport à la terre, conflits et hiérarchies sociales en Basse-Bretagne au XVIIIe siècle ».
Journal Paysan Breton — Le singulier “usement” du domaine congéable – Journal Paysan Breton -
Au Moyen Âge, on n’y allait pas « par quatre chemins », on préférait les traverses. Ce n’est qu’au XVIIIe qu’on fera des travaux pour adoucir les pentes (*). Cette quatrième balade urbaine démarre sous une autre particularité de Thiers : une pedde, celle de Saint-Genès.
www.lamontagne.fr — Rues-escaliers, peddes : une quatrième balade urbaine à Thiers sur les verticales de la ville médiévale - Thiers (63300) -
Jean-François Dunyach (Historien, maître de conférences à Sorbonne Université, spécialiste de la Grande-Bretagne au XVIIIe siècle), Emmanuelle Tixier du Mesnil (Maîtresse de conférences à l'Université Paris-Ouest La-Défense), Antoine de Baecque (Professeur d'histoire du cinéma à l'École normale supérieure).
France Inter — Les deux corps de la reine -
Bien plus employé par la médecine populaire, le chardon-Marie devra attendre l’orée du XVIe siècle avant que les thérapeutes le prennent enfin en considération. Cependant, dès le XVIIIe siècle, les vertus du chardon-Marie, aussi diverses soient-elles, sont jetées aux orties par les praticiens. Qu’importe. Le XXe siècle saura redorer le blason de cette plante répudiée.
Des conseils de spécialistes pour prendre soin de soi naturellement — Le Chardon-Marie, symbolique de la Rose mystique -
En 1978, le célèbre sellier-maroquinier français faisait déjà fabriquer ses montres à Bienne, l’un des pôles horlogers de Suisse. Dès 2003, il s’est employé à concevoir et produire ses propres mécanismes. Désirant s’entourer des meilleurs artisans et garantir son approvisionnement en composants essentiels, Hermès a ensuite multiplié les partenariats stratégiques en Suisse : en 2006, avec le fabricant de mouvements Vaucher Manufacture Fleurier, actif depuis le XVIIIe siècle ; en 2012, avec un cadranier réputé de La Chaux-de-Fonds ; en 2013, avec une société du Noirmont spécialisée dans la production de boîtiers.
parismatch.be — Hermès : ouvrir des parenthèses et des espaces de fantaisie -
Le mot calzone signifie bien « chausson », mais également « pantalon ». Datant du XVIIIe siècle, elle aurait été inventée par des femmes italiennes d’ouvriers. Leurs maris pouvaient ainsi la transporter sans risque « dans leur poche » pour le déjeuner.
Routard.com — Recette du calzone -
L’association Pays Guillestrin a fait découvrir à une vingtaine de curieux les différents lieux d’enseignement entre le XVIIIe et le XXe siècles, ce dimanche 18 septembre.
Guillestre. Les écoles du XVIIIe au XXe siècles ont fait marcher les curieux -
Le village de Soiron, l’un des trente et un plus beaux de Wallonie, est attaché à la commune de Pepinster, située dans la province de Liège. Ses rues et ruelles sans nom sont bordées de nombreuses bâtisses préservées dans le style local mosan des XVIIe et XVIIIe siècles.
parismatch.be — Plus beaux villages de Wallonie : Soiron, l’harmonie douce du style mosan -
Le succès international du caoutchouc doit beaucoup aux travaux du Français Jacques Charles (1746-1823) qui faisait partie de cette première génération de ceux qu’on appelait les "ascensionnistes" à l’époque, car ils rêvaient tous de voyager dans les airs. À la fin du XVIIIe siècle, Jacques Charles s’est intéressé à cette sève tropicale pour étanchéiser l’étoffe de soie qui devait servir à la construction de sa montgolfière. Bonne pioche !
DH Les Sports + — Voici l’histoire des équipements imperméables et respirants - DH Les Sports+