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Citations sur le whisky

Il y a 20 citations sur le whisky.

• Blé, céréale dont on arrive, non sans peine, à tirer un assez bon whisky et qu'on utilise pour faire du pain.

• La féminité chez l'homme est comme le sucre dans le whisky. La masculinité chez la femme est comme la levure dans le pain. Sans ces ingrédients, le résultat est plat, sans piquant ni saveur.

• C’est du whisky, misérable créature !... De l’alcool !... Cet alcool qui ravale la bête au rang de l’homme !...

• Le whisky ! Rien n’est plus rude à avaler... Dans les pays civilisés, on boit du vin !

• La peur peut-être plus grisante que le whisky ; une fois qu’on y a pris goût.

• Un homme qui déteste les chiens et qui aime le whisky ne peut pas être tout a fait mauvais.

• Moins qu'avant : la jeunesse française boit des eaux pétillantes, et les anciens combattants, des eaux de régime. Puis, surtout, il y a le whisky… C'est le drame ça, le whisky.

• Au casino, on boit du whisky en jouant, ça donne une excuse pour perdre...

• Prise en trop grande quantité, la logique, comme le whisky, perd sa vertu bénéfique.

• Le whisky sent la punaise écrasée. Mais le contraire n'est pas vrai.

• Son whisky était si extraordinaire que quand il en buvait, il parlait écossais.

• Ce que beurre et whisky ne peuvent soigner est incurable.

• - Vous voulez un whisky ? - Juste un doigt - Vous voulez pas un whisky d’abord ?

• Le whisky est le cognac du con.

• Le whisky est une mauvaise chose, surtout le mauvais whisky.

• Mais bientôt son visage se rembrunit, et il se mit à siroter son whisky. Bref, il y avait plein de monde, marmonna-t-il. Plus on est de fous, plus on rit.

• Ils apportaient de récents souvenirs de flirt qu'ils divulguaient volontiers tout haut, quand ils ne les noyaient pas silencieusement dans un whisky and soda

• Je commandai un double whisky qui ne réussit pas à me ranimer

• On l’apercevait chez Weber, mince et moqueur, penché sur son verre de whisky and soda avec un étincelant œil de biais, observant l’existence, tripotant sa barbiche et crispant ses mains fines, comme s’il allait s’étirer.

• Si l’on suppose que le trajet entre l’hôtel et Murrayfield va être réglé comme du papier à musique cette fois, le groupe tricolore ne peut plus aujourd’hui s’inquiéter de la charge émotionnelle d’une Marseillaise a cappella à l’entrée d’un stade, quand bien même le dit stade sent le whisky pur malt et le vieux chêne écossais solide comme un grand gaillard du pack du Chardon. Ou alors il se serait liquéfié à Saint-Denis, en novembre, quand l’orchestre s’est tu pour laisser 80.000 spectateurs beugler l’hymne national sans musique avant le coup d’envoi.