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Citations sur le troisième
Il y a 45 citations sur le troisième.
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L’argent est une troisième main.
Paul-Jean Toulet -
Les assemblées politiques sont le dernier endroit au monde où il n’est pas éliminatoire d’appartenir au troisième et même au quatrième âge.
André Frossard -
La femme parle à un homme, en regarde un autre, et pense à un troisième.
Bhartrhari -
La voiture est le troisième testicule de l'homme moderne.
Rimdelaire -
La première femme est une esclave, la deuxième une compagne, et la troisième un tyran.
Proverbe polonais -
Il n’y a que le champion qui compte ; une troisième place c’est quelque chose d’inachevé.
Bruno Marie Rose -
L'auteur écrit une pièce, les acteurs en jouent une autre et le public en comprend une troisième.
Charles Baret -
Ce n'est pas la peine d'avoir du talent à la cinquième ligne si le lecteur ne dépasse pas la troisième.
Françoise Giroud -
En France, le premier jour est pour l'engouement, le second pour la critique et le troisième pour l'indifférence.
Jean-François de La Harpe -
Le premier bien est la santé, le deuxième la beauté, le troisième la richesse.
Platon — Les lois -
Le premier mariage est une coupe de miel ; le deuxième est une coupe de vin ; et le troisième une coupe de poison.
Proverbe serbe -
Deux femmes finiront toujours par se mettre d'accord sur le dos d'une troisième.
Sacha Guitry -
Deux femmes ne s'entendent généralement bien que sur le dos d'une troisième.
Pierre Daninos -
Traite ton hôte en invité pendant deux jours. Le troisième, donne-lui une bêche.
Proverbe swahili -
Deux plaideurs font un seul riche : le troisième.
Proverbe chinois -
Le troisième jour, pendant qu’on attelait les voitures, nous nous rencontrâmes, Mme Tim, le procureur et moi, à l’angle de la terrasse d’honneur, près du petit oranger en caisse qu’il allait falloir rentrer dare-dare dans la serre […]
Jean Giono — Un roi sans divertissement -
[Les sans-opinions] forment la « grande muette » de l'opinion publique, étranges citoyens du troisième type qui n'ont jamais d'avis sur rien
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Aux États-Unis − et bientôt en France − les « vieux », les grands-parents, sont mis de côté, dans des ghettos, des « villages du troisième âge »
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Il existait en 1914 trois principaux courants de pensée à la S.F.I.O. : le syndicalisme révolutionnaire, le jaurésisme et le guesdisme. Dans l’entre-deux-guerres, deux de ces courants connaissent une éclipse durable, au profit du troisième.
Jacques Delpierrié de Bayac — Histoire du Front populaire -
Nous avons déjà dit que les analystes ne sont parvenus jusqu’à présent qu’à la résolution des équations générales du troisième et du quatrième degrés.
Louis Bourdon — Élémens d’algèbre -
Il devinait l'impuissance des légitimistes et des orléanistes, sans distinguer avec netteté quel serait le troisième larron qui viendrait voler la république
Émile Zola — Fortune Rougon -
(Figuré) — Avec lui aussi disparaît l’inventeur de cette politique desséchante et funeste de l’opportunisme, qu'il appelait la politique de la sagesse et de la raison, qu'il considérait comme la politique des résultats et qui allait devenir, avec les Jules Ferry, les Rouvier, les Constans, les Méline, une politique de stagnation, d'impuissance, d'opposition à tout progrès démocratique et à toute réforme sociale […]. — (Alexandre Zévaès, Histoire de la Troisième République 1870 à 1926, Éditions Georges-Anquetil, 1926, p.218)
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Le parti communiste tel qu'il naît du congrès de Tours, peuplé de blanquistes, de romantiques, d'anarchisants, n'a donc aucune chance d’être regardé d’un bon œil par la Troisième Internationale : tout ou presque y est mal agencé, de travers, à remettre en chantier.
Jacques Delpierrié de Bayac — Histoire du Front populaire -
Magnus Hirschfeld, médecin berlinois, propose pour l'homosexualité le terme de troisième sexe et demande pour les homosexuels la protection légale, ce qui contribue à diffuser la perversion en Allemagne
A. Morali-Daninos — Histoire des relations sexuelles -
Mardi prochain, lorsque vous trouverez Henriette en train de coudre à vous attendre, vous lui direz avant même qu’elle vous ait demandé quoi que ce soit : “Je t’ai menti, comme tu t’en es bien doutée ; ce n’est pas pour la maison Scabelli que je suis allé à Rome cette fois-ci, et c’est en effet pour cette raison que j’ai pris le train de huit heures dix et non l’autre, le plus rapide, le plus commode, qui n’a pas de troisième classe ; c’est uniquement pour Cécile que je suis allé à Rome cette fois-ci, pour lui prouver que je l’ai choisie définitivement contre toi, pour lui annoncer que j’ai enfin réussi à lui trouver une place à Paris, pour lui demander de venir afin qu’elle soit toujours avec moi, afin qu’elle me donne cette vie extraordinaire que tu n’as pas été capable de m’apporter et que moi non plus je n’ai pas su t’offrir ; je le reconnais, je suis coupable à ton égard, c’est entendu, je suis prêt à accepter, à approuver tous tes reproches, à me charger de toutes les fautes que tu voudras si cela peut t’aider le moins du monde à te consoler, à atténuer le choc, mais il est trop tard maintenant, les jeux sont faits, je n’y puis rien changer, ce voyage a eu lieu, Cécile va venir • tu sais bien que je ne suis pas une si grande perte, ce n’est pas la peine de fondre en larmes ainsi…”Mais vous savez bien qu’elle ne pleurera nullement, qu’elle se contentera de vous regarder sans proférer une parole, qu’elle vous laissera discourir sans vous interrompre, que c’est vous, tout seul, par lassitude, qui vous arrêterez, et qu’à ce moment-là vous vous apercevrez que vous êtes dans votre chambre, qu’elle est déjà couchée, qu’elle est en train de coudre, qu’il est tard, que vous êtes fatigué de ce voyage, qu’il pleut sur la place.
Michel Butor — La Modification -
À la fin de 1667, dès sa troisième pièce, Racine commençait à passer pour le seul digne de pouvoir être comparé un jour au Grand Corneille. Tous les contemporains, qu’ils eussent aimé ou détesté Andromaque, avaient senti que le jeune poète venait de créer un écart décisif par rapport à la norme tragique.
G. Forestier — Jean Racine -
Puis, comme Fabrice se sentait très faible, le maréchal des logis lui apporta une écuelle de vin chaud et fit un peu la conversation avec lui. Quelques compliments inclus dans cette conversation mirent notre héros au troisième ciel.
Stendhal — La Chartreuse de Parme -
– Ces pièces – questionna la Fée – où sont-elles maintenant ?– Je les ai perdues !C’était un mensonge. Les pièces, Pinocchio les avaient dans sa poche. Et il n’eut pas plus tôt menti que son nez, déjà conséquent, s’allongea immédiatement.– Et où les as-tu perdues ?– Dans le bois.C’était un deuxième mensonge. Le nez de Pinocchio s’allongea encore plus.– Si tu les as perdues dans le bois, on va les chercher et on les retrouvera. Tout ce qui se perd dans ce bois se retrouve toujours. – Ah oui ! Maintenant, je me rappelle. – répliqua la marionnette qui s’embrouillait – Les quatre pièces d’or, je ne les ai pas perdues. Je n’ai pas fait attention et je les ai avalées avec votre médicament.À ce troisième mensonge, son nez grandit tellement que Pinocchio ne pouvait plus tourner la tête. S’il la tournait d’un côté, le nez rencontrait le lit ou les vitres de la fenêtre. S’il la tournait de l’autre, il se heurtait aux murs ou à la porte de la chambre. Et s’il relevait tant soit peu la tête, il risquait de crever un œil à la Fée.
Carlo Vollodi — Les aventures de Pinocchio -
Nous nous sommes déjà battus deux fois. C'est assez. Le proverbe dit que les choses répétées plaisent, mais qu'à la troisième redite elles deviennent fastidieuses.
Théophile Gautier — Le Capitaine Fracasse -
Et quant à vous, la répugnance que vous aurez surmontée et cachée sera moindre la prochaine fois, et nulle la troisième.
Georges Sand — La petite Fadette -
Tant pis, que veux-tu c'est l'Amour. Ainsi, soudainement, j'étais aux prises avec un troisième homme et je ne pensais plus aux autres. Rien du tout. Pauvre cher curé abandonné Pauvre spahi déshabillé. Ah tant pis, car je suis lasse de souffrir.
Florence Asie — Fascination -
Avant de présenter ma candidature à Augsbourg, j’ai postulé à Oxford. Lorsque j’ai reçu la lettre de refus, j’ai été déçue, mais aussi soulagée car étudier là-bas en troisième cycle m’aurait coûté plusieurs dizaines de milliers de livres…
Courrier International — “Quand je suis partie étudier en Allemagne -
Dans le même journal je lis à la troisième page sous le titre « Crimes de guerre des Alliés » un article où l'on parle des maroquinades comme d'un crime d'ennemis, dont l'Italie adversaire loyal et vaincu a été victime et, à la page un, que tel sénateur américain a reconnu que l'aide italienne a été précieuse pendant la guerre.
Jean-Paul Sartre — La Reine Albemarle ou Le dernier touriste -
Il y avait à Montmartre, au troisième étage du 75 bis de la rue d’Orchampt, un excellent homme nommé Dutilleul qui possédait le don singulier de passer à travers les murs sans en être incommodé.
Marcel Aymé — La Passe-Muraille -
Découvrez en vidéo les chants des supporters français, présents aux abords de la Puskas Arena à un peu moins de deux heure du troisième match des Bleus face au Portugal.
L'Équipe — Euro : l'ambiance monte à Budapest avant Portugal-France -
Papa prit des billets de troisième classe. Sur les lignes régionales du Craonnais, nous montions en seconde, mais ici nous n’avions pas à craindre la rencontre de relations mondaines, que cette économie eût étonnées.
H. Bazin — Vipère au poing -
Nous passions devant des portes où était inscrit : quatrième, troisième, second bureau.
Vercel — Cap. Conan -
Un camarade s’engagea, puis un second, puis un troisième.
Antoine de Saint-Exupéry — Terre des hommes -
M. Arnauld (...) à quatre-vingts ans (...) soutint magnifiquement les quatre thèses voulues : la première appelée Sorbonnique (...) ; la seconde dite Mineure ordinaire (...) ; la troisième, Majeure ordinaire (...) ; et la quatrième et dernière, appelée l’acte de Vesperies...
Sainte-Beuve — Port-Royal -
Je traverse deux pièces dont la seconde assez vaste, et me trouve dans une troisième plus vaste encore.
Gide — Journal