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Il y a 22 citations sur le talit.
Le taux de mortalité est le nombre des décès sur une année rapporté à la population moyenne de cette même année. La létalité est la proportion de décès chez les patients atteints d’une affection donnée. Le taux de morbidité est le nombre de cas observés, pour une maladie définie, par tranche de 100.000 habitants. Magcentre — Surmortalité liée à la Covid-19: des chiffres et des morts, explications | Magcentre
Selon la loi juive, les femmes n'ont pas le droit de porter un talit (châle de prière), de porter une kippa, de tenir en main une Torah, encore moins de lire à haute voix les textes sacrés. Cette pratique et ces attributs étaient exclusivement réservés aux hommes. Elles avaient le droit de prier mais à l’écart et en silence. Or, des centaines de militantes juives, regroupées au sein de l’association "Les femmes du mur", demandaient depuis des années à prier comme bon leur semblait. France 24 — Décision "historique" autour d'un espace de prière mixte au mur des Lamentations
La religion est omniprésente dans les discours de celui qui porte désormais le talit (le châle de prière juif) et observe le shabbat. Tout est parti d'une "vision révélatrice" lors d'un voyage à Jérusalem: les Igbo - dont l'immense majorité sont chrétiens - descendent en fait d'une tribu perdue d'Israël. LExpress.fr — Nnamdi Kanu, la nouvelle voix de l'indépendantisme pro-Biafra - L'Express
Kippa sur les têtes, talit sur les épaules et chandeliers à neuf branches bien en vue: une petite organisation tente de faire renaître Hanouka en Irak, déserté par sa communauté juive au gré des conflits régionaux et des violences dans le pays. Challenges — Au Kurdistan d'Irak, les bougies de Hanouka brillent de nouveau - Challenges
On y voit un homme ressemblant fortement à Kanu, portant des sandales, un talit blanc et une kippa, prier au pied du mur des Lamentations. VOA — L'indépendantiste biafrais Nnamdi Kanu refait surface un an après sa disparition au Nigeria
Tôt, aux premières lueurs du jour, il se plonge dans la prière. La confrérie du prophète Elie entonne les mélopées anciennes. Revêtu de son talit, le père anticipe le geste intemporel du mohel. Webdo — Circoncision à Lafayette : Un "thour" chez nos frères juifs
Zoher Abu Jama, de confession musulmane et son collègue, Avraham Mintz de confession juive, sont tous deux des paramédicaux officiant à Magen David Adom (MDA), un service d’urgence officiel d’Israël, d’ambulance et de don du sang. L’un, muni de son tapis de prière et l’autre, les épaules couvertes d’un « talit » (châle de prière), se sont mis ensemble pour prier. Bladi.net — Un musulman et un juif prient contre le COVID-19 et mettent la toile en émoi
Une des passions communes de Juliette et Aurélie ? Les voyages. Chaque trimestre, un pays s’invite au Point G, « bar à voyager ». En ce moment, c’est Israël. Avec déco (menorah, talit…), musique et boissons locales : vins israéliens, cocktails (Jérusalem d’or, Sabra Cadabra…). Sur le reste de la carte, aucune boisson française mais du vin italien, belge (oui !), argentin… Idem pour les softs. LA VDN — Le bar de la semaine : le Point G, à Lille
Née à Nancy il y a quarante-quatre ans, Delphine Horvilleur a passé les dix dernières années à faire parler les textes sacrés autrement, endossant tour à tour talit et tailleur, de cérémonies en conférences, pour tisser des liens entre humains. Le Temps l’a rencontrée ce lundi à Lausanne avant de la laisser rejoindre son acolyte Rachid Benzine sur la scène d’une salle comble et comblée. Le Temps — Delphine Horvilleur: «Le texte ne dit que ce qu’on lui fait dire» - Le Temps
Le vestiaire mêle les cultures et les univers, Orient et Occident: une djellaba côtoie un trench, une veste PVC, un talit (châle de prière juif), un bomber... Le sportswear est aussi présent avec un pantalon de jogging, des hauts blancs en maille ajourée. Le Point — Mode masculine: le créateur israélien Hed Mayner, ou l'art de revisiter les uniformes - Le Point
Récemment, des fidèles juifs qui se rendaient dans l’une des deux synagogues de l’aéroport Ben Gurion ont été abasourdis quand ils ont découvert un groupe de touristes turcs à genoux sur le plancher de la pièce, qui utilisaient les châles de prière (talith) comme des tapis de prière musulmans. Des Musulmans confondent la synagogue de l’aéroport Ben Gurion avec une mosquée | The Times of Israël
L'enjeu à cet instant ? La "bénédiction des Cohen", où traditionnellement les hommes rejoignent les femmes de leur famille pour les bénir sous le châle de prière (le "talit"). Une dame de 86 ans proteste, elle vient ici depuis cinquante ans, elle ne comprend pas pourquoi subitement on le lui interdit. C'est vrai que nous l'avons fait ici même jusqu'en 2016 (il est toléré dans nombre d'autres synagogues consistoriales), mais ici, en 2017, les trois brutes s'y opposent avec des lueurs de mépris et de haine dans le regard. J'y vois l'expression d'une supériorité séculaire des hommes dans cette religion qui se transmet pourtant par la femme. L'Obs — Sexisme à la synagogue : "C'est la loi." Quelle loi ?
Elle a déclaré dans un message Facebook que « les étoiles juives et d’autres identifications et célébrations de Judaïsme (kippas, talit, et autres expressions du judaïsme et de la judéité) sont bienvenus et encouragés. Nous demandons cependant aux participants de ne pas apporter d’objets pro-Israël en solidarité avec nos amis gays palestiniens ». La DC Dyke March interdit les drapeaux juifs gays | The Times of Israël
Vêtue de noir, bras et jambes couverts et portant une perruque conformément à la tradition, elle présente fièrement ses fils, Levy et Menarem, qui portent kippa et talit (le châle de prière juif). "Ce drame va nous inciter à être encore plus forts, à être encore plus déterminés à porter la kippa et les tsitsits (franges du châle)", affirme-t-elle. Près de l'établissement, deux agents de police patrouillent en tenue : ils expliquent être présents chaque jour à la sortie des classes, notamment pour régler la circulation. Le Point — Paris : les écoles juives en colère - Le Point
Il se fait désormais appeler Nissim. Mais il n'y a pas que son nom qu'il a changé, son apparence aussi. Il ne quitte presque plus sa kippa et son talit. Le rappeur noir américain D-Black, converti au judaïsme en 2013, a quitté il y a quelques jours sa ville natale de Seattle au nord-ouest des États-Unis pour partir s’installer en Israël avec sa femme et ses enfants. France 24 — Vidéo : le rappeur américain D-Black, converti au judaïsme, part s'installer en Israël
La voix profonde, sépulcrale, crépusculaire de Leonard Cohen, le Patriarche, y est ourlée comme les franges d'un talit sur lequel se serait posées les mains d'un Dieu aimant. Son chant, écrit le magazine SLATE, égrène une à une des paroles qui sonnent, semblables à des versets antiques et où coulent le lait et le miel d'une musique dédiée, encore et toujours, à la femme. France Culture — So long Leonard
Elle nous permet ensuite de remarquer les tenues portées par les personnes figurant sur la photo: coiffes pointues pour les femmes, talit rituel avec ses rayures et aussi quelques costumes à l’occidentale. Webdo — Une photo rare : Yom Kippour au cimetière de Tunis en 1903
Désormais installé à New York, il a fait table rase du passé, même s'il conserve quelques objets à forte dimension symbolique comme son talit (châle de prière), les téfilines reçus lors de sa bar mitzvah (boîtiers en cuir reliés à des lanières) et son schtreimel, la toque en fourrure des juifs orthodoxes. Capital.fr — Shulem Deen, confessions d'un rebelle hassidique - Capital.fr
L’homme appelé sur scène par le vice-président américain Mike Pence pour commémorer les victimes de la tuerie antisémite de Pittsburgh s’appelle Loren Jacobs. À la tribune, devant un immense drapeau des États-Unis, il a prononcé une étonnante prière, invoquant « Dieu d’Abraham, Dieu d’Isaac, Dieu de Jacob, Dieu et Père de mon Seigneur et Sauveur Yeshua, Jésus le Messie… » Le tout, les épaules couvertes d’un talit, le châle de prière traditionnel juif. La Croix — Qui est le « rabbin chrétien » qui a prié pour les victimes juives de Pittsburgh ?
Certes, qu’il s’agisse du voile coutumier ou du voile sacré, certains hommes se couvrent également le chef, rappellent quelques-unes des cent pièces d’une exposition cherchant à dépasser les débats contemporains sur le voile islamique. Ce sont ces vénérables juifs séfarades, talit rabattu sur le crâne à la synagogue, dans une gouache d’André Sureda. Ce pleurant en albâtre d’un tombeau bourguignon du XIVe siècle. La Croix — Derrière le voile…