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Citations sur le sur - Page 30

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• La parole qui nie Dieu brûle les lèvres sur lesquelles elle passe, et la bouche qui s'ouvre pour blasphémer est un soupirail de l'enfer.

• Un cheveu sur la tête c’est peu, dans la soupe c’est beaucoup.

• Qui s’est brûlé la langue n’oublie plus de souffler sur sa soupe.

• La nécessité d'exercer un contrôle sur soi, de se soumettre aux lois morales. C'est l'achèvement de l'équilibre.

• Qui jette son soulier sur ses bienfaiteurs va balancer dans la soupe distinguée de l'intelligence un gros pavé prosaïque : le Goulag et l'esclavage qu'il désigne.

• Il y a de grandes flaques de sang sur le monde où s’en va-t-il tout ce sang répandu est-ce la terre qui le boit et qui se saoule drôle de soûlographie alors si sage... si monotone...

• Le sage ne peut rien souhaiter sur terre, sinon de rendre un jour le mal qu'on lui a fait.

• Celui qui ne se sent pas offensé par l'offense faite à d'autres hommes, celui qui ne ressent pas sur sa joue la brûlure du soufflet appliqué sur une autre joue, quelle qu'en soit la couleur, n'est pas digne du nom d'homme.

• La vérité, que personne n'avoue, c'est qu'une fois les illusions enfuies, on passe sa vie à souffler sur le miroir aux regrets. Mais toujours la buée s'efface.

• Il faut souffler sur quelques lueurs pour faire de la bonne lumière.

• Leur sort à tous est sur le tranchant du rasoir.

• Il en est de certains esprits comme de certaines maisons sordides ; ils ouvrent sur des basses-cours.

• C'est ainsi, on ne tire pas sur son passé. Selon qu'on est le fils d'un garde-barrière ou d'une duchesse, quand on se penche sur l'histoire qu'on a vécue, on entend siffler des trains ou sonner des cors de chasse !

• Le comble de la pose : Ne pas sortir de chez soi, sonner sur son piano toutes les heures et toutes les demies pour faire croire aux voisins qu’on a une pendule.

• La liane parvient au sommet d’un grand arbre en s’appuyant sur lui.

• Le bonheur s'édifie parfois sur des ruines plus solidement que sur des fondations nouvelles.

• On ne construit du solide que sur le passé.

• Le soleil ne se couche pas sur mon empire.

• Si le soleil ne s'éteint pas sur mes États, c'est que mon règne est d'un seul jour.

• Parfois des soldats s'avisent de penser ; on a vu jusqu'à des colonels raisonner - et les raisonneurs, qu'ils soient vêtus de rose, de rouge ou de bleu, sont sur la pente de la révolte (du moins neuf sur dix).

• Une fourmi sur le sol, tu l’écrases ; Une fourmi sur ton bras, tu la pousses doucement.

• On ne peut poser les pieds sur le sol tant qu'on n’a pas touché le ciel.

• Si tout le monde appuyait fermement du pied droit sur le sol pour freiner, le temps passerait moins vite.

• Nous sommes destinés à vivre ensemble sur le même sol de la même terre.

• L’enfance est le sol sur lequel nous marcherons toute notre vie.

• La maison n'est pas fondée sur le sol, mais sur la femme.

• L'Ecriture nous dit que les années de l'homme sur la terre sont de soixante-dix. Il faut en conclure qu'au-delà, c'est du temps emprunté à l'éternité.

• A soixante-dix ans, il est meilleur pour la santé d'avoir des femmes dans la mémoire que sur les genoux.

• Au soir de cette vie, vous serez jugés sur l'amour.

• Qui ne compte plus sur le bonheur est moins soigneux de sa conscience.

• Contrairement à ce qui est dit dans le sermon sur la Montagne, si tu as soif de justice, tu auras toujours soif.

• La femme a été peu ou mal étudiée. Nous avons des monographies complètes sur le ver à soie, sur les hannetons et sur les chats, et nous n'en avons pas sur la femme.

• J'ai connu un grand peintre sur soie qui faisait sous lui.

• La vérité, juchée sur son socle d'erreurs.

• La société dans laquelle nous sommes nés repose sur l’égoïsme. Les sociologues nomment cela l’individualisme alors qu’il y a un mot plus simple : nous vivons dans la société de la solitude.

• Les société trop confiantes dans la littérature ont un rapport perturbé à la vérité ; les sociétés qui ne sont construites que sur l’alcool ont un rapport extrêmement perturbé à la vérité et à la littérature.

• La société tout entière repose sur l'industrie.

• Dans les individus de l'espèce humaine, ainsi que dans les sociétés politiques, la progression des besoins est une chose nécessaire ; elle est fondée sur l'essence même de l'homme, il faut que les besoins naturels, une fois satisfaits, soient remplacés par des besoins que nous nommons imaginaires, ou besoins d'opinion : ceux-ci deviennent aussi nécessaires à notre bonheur que les premiers.

• Si on avait autant de légèreté sur la perception des réalités physiques ou biologiques que celle dont on fait preuve à propos des réalités socio-humaines, on en serait encore à l'âge de pierre.

• L'ordre social ne vient pas de la nature ; il est fondé sur des conventions.