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Il y a 45 citations sur le siemens.
Mais bientôt, le groupe va s’auto-dissoudre, en se scindant en trois entités distinctes, l’une avec les métiers de la santé, l’autre ceux de l’énergie et la troisième ceux de l’aéronautique. L’actuel patron suit la voie des autres grands conglomérats industriels plus que séculaires, Toshiba au Japon, Siemens en Allemagne, IBM aussi aux États-Unis, qui accentuent eux aussi leur recentrage. www.rtl.fr — ÉDITO - General Electric va s'auto-dissoudre, mettant fin à son conglomérat
Le danger ne vient donc pas tant des (pas si) nouvelles chemises brunes à grande gueule (surtout de bois) - il n'en manquera jamais - que des milieux de la finance et de l'industrie qui ont, comme autrefois les Krupp, Opel, Daimler, Siemens et autres magnats des affaires, financé le parti nazi sans lesquels celui-ci n'aurait jamais eu aucune chance d'accéder au pouvoir. Et le petit caporal Adolphe en costard de Poirot en serait resté à cuver sa révolution chaplinesque dans les "BierStube" munichoises parmi l'éructation des bières et les tics saccadés des ivrognes, sa cervelle trouée de lèches, écoutille flottant sur la mer des déconfitures. Le Temps — Le «modèle» suisse mérite bien mieux que des caricatures - Le Temps
Macron en séquence environnement au Havre. Devant les immenses pièces détachées de nacelles d’éoliennes off shore, sur le site Siemens Gamesa du Havre, Emmanuel Macron a les yeux qui brillent. Celles qui seront fabriquées ici ont vocation à se planter notamment dans les futurs champs au large de la Normandie. En tout, ce sont 50 parcs d’éolien en mer que Macron propose de créer. Il y a là de quoi permettre au Président candidat de dérouler son concept d’«écologie de progrès» : «pouvoir d’achat, indépendance énergétique, création d’emplois, lutte pour le climat», résume-t-il devant 200 salariés. Par Laure Equy, envoyée spéciale au Havre. Libération — EN DIRECT - Présidentielle: François Hollande appelle à voter Emmanuel Macron – Libération
La start-up bavaroise teste une technologie de fusion par confinement inertiel par laser. Partenaire de Thalès, Siemens Energy et Trumpf, elle va en accélérer l'expérimentation cette année et espère commercialiser un premier réacteur à fusion dans les années 2030. Les Echos — Energie : Marvel Fusion fait le pari du nucléaire sans déchets | Les Echos
Avec une qualité technique supérieure sur la plupart des paramètres (résolution spatiale, sensibilité, meilleur rapport signal/bruit). Résultat : une image d'un niveau de résolution comparable à celui de l'IRM. De fait, à l'occasion de cette digitalisation, marquée par la disparition du tube photomultiplicateur au profit d'un capteur numérique, Siemens a également optimisé les autres éléments de la chaîne d'acquisition de l'image. Il fabrique en effet lui-même chacun des composants, à la différence de ses concurrents. Les Echos — La médecine nucléaire portée par le passage au numérique | Les Echos