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Citations sur le ses - Page 585

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• Belle animation, jeudi, au centre de loisirs La Pergue, qui a repris ses bonnes habitudes pour meubler les petites vacances scolaires. Et là, les personnages terrifiants d'Halloween étaient de la fête. C'était également une grande première pour Laurence Thibault, la nouvelle directrice, qui, succédant donc à Naoual Khorsi, prenait possession de son poste. L'association est toujours présidée par Malik Ihallaine.

• La maison Armogan se distingue par son goût de l’aventure et sa passion du défi, dans les univers où on aspire au dépassement de soi. Etymologiquement, « l’armogan » est une expression de vieux français qui qualifie des conditions météorologiques favorables pour prendre le large. La nouvelle collection E.N.B., à l’esprit sportif et vintage, est un hommage à l’Equipe nationale belge, réputée dans les années 50 et 60 pour ses prouesses sportives.

• Si l’aviateur Vidart a réussi à s’imposer, lors de la première journée, avec le meilleur chrono, sa victoire a un goût amer, trois de ses homologues tirant leur révérence en les personnes de Landron, Lemartin et Princeteau. Ces derniers ne survivront pas à un accident d’aéroplane…   

• A de nombreuses reprises, l'apprenti permaculteur affirme l'importance d'assurer sa sécurité économique afin d'effectuer la transition. Multicasquette, il vit notamment de ses activités dans la communication digitale. 

• C’est Jean-Etienne Perez, permaculteur en Creuse, qui s’attachera à faire prendre conscience de l’importance de bien réaliser ses greffes d’arbres fruitiers.

• Financi’elles fête ses 10 ans. La fédération, qui rassemble treize réseaux d’entreprises en faveur de la mixité, souhaite faire de la finance un secteur exemplaire en matière de promotion des femmes. Entretien avec sa coprésidente, Silvine Laguillaumie Landon, directrice des affaires juridiques, institutionnelles et fiscales de Malakoff Humanis.

• Sa scène, une salle de classe du lycée Kirschleger. Son public, 80 lycéens « option cinéma ». Francis Huster va, vient, vitupère, jure… Jamais à bout de souffle, il mime Jean-Paul Belmondo boxeur, restituant les pas du frappeur, ses esquives. Pas un Festival du film de Colmar sans un épisode munstérien.

• Née en janvier 1996 d'une mère anglaise et d'un père français au Mans, Emma Tachard-Mackey a grandi dans l'Ouest de la France au cœur de Sablé-sur-Sarthe. En 2013, la studieuse lycéenne obtient son baccalauréat littéraire avec mention très bien puis rejoint l'Angleterre, le pays de sa mère, afin de poursuivre des études de lettres classiques à l'université de Leeds. C'est là-bas qu'elle fait ses débuts au théâtre. "J'ai fait un choix après mes études de lettres : déménager à Londres. J'ai dit à ma mère que j'avais un projet, je voulais passer des auditions pour le conservatoire. J'avais envie de faire du théâtre, de jouer, d'être actrice", raconte la principale intéressée à GQ. Inconnue jusqu'alors, elle grimpe les échelons du septième art en trois films et crève aujourd'hui le petit écran.

• Originaire des hauts plateaux éthiopiens, le teff est une graminée, comme le millet. Ses minuscules graines au léger goût de noisette sont utilisées en Ethiopie pour l'injera, une sorte de crêpe locale, et pour la tella, une bière.

• Nous sommes très loin des vieux locaux de la rue Cognacq-Jay qui firent la grandeur de la télévision française au début de son Histoire, même si les visiteurs des locaux modernes de l’esplanade du Foncet sont accueillis par une citation de Pierre Tchernia, figure emblématique de la télévision, saluant ses “jeunes amis de Cognacq-Jay qui, comme hier, aiment cette étrange et fascinante invention, la télé”.

• Le reste de l’après-midi se passera, de rue en rue et de slogan en slogan, entre le faubourg du Coureau, la place de la Comédie, le Polygone qui devra fermer ses portes et la préfecture.  

• S'il n'est pas une mince affaire de prononcer le nom de cette appellation, déguster ses vins blancs, c'est l'adopter. De magnifiques vins de cépages locaux comme le gros et le petit manseng ou encore le courbu, gorgés d'énergie, de vibrations et de saveurs aromatiques. À découvrir absolument.

• Au XIXe siècle, la notion de race fait l’objet de vives controverses. Arthur de Gobineau est l’un des premiers à soutenir que la race possède des fondements biologiques plutôt que culturels. Ses théories, qui connaîtront une sinistre postérité, se heurtent aux critiques du libéral Alexis de Tocqueville, qui a pourtant été son mentor et ami. Histoire d’une déchirure.

• François Bourneau a pris ses fonctions lundi, lors d’une cérémonie à Florac.

• Le 2 décembre dernier, la Fédération française du bâtiment et des travaux publics de l’Isère a élu son nouveau président en la personne de Bertrand Converso. Prenant officiellement ses fonctions le 1er janvier prochain, il succédera alors à Thibault Richard pour un mandat de trois ans.

• Entrer dans le monde d'André Robillard, c'est accepter l'idée que les martiens existent, que les fusils ne servent pas forcément à tuer et qu'on peut créer des oeuvres d'art à partir d'objets de récupération. A 89 ans, l'artiste est devenu une figure incontournable de l'art brut. Il présente ses oeuvres dns les salles d'exposition de l'Espace Malraux, à Chambéry, jusqu'au 9 octobre prochain.

• L’établissement public agricole Le Robillard ouvre ses portes le samedi 29 janvier pour présenter ses formations post-bac. Venez découvrir notre établissement et rencontrer nos équipes pédagogiques !

• Rémy de Groulard, maraîcher au potager de l’Epinay, à Orcemont, près de Rambouillet (Yvelines) ouvrira ses portes au public ce samedi 18 septembre, avec un grand marché de producteurs et des animations (lire encadré).

• Le chemin de Patrick Farou croise alors celui de Julie Bouard, responsable de l’entreprise saintaise, pour qui « une rencontre vaut plus qu’un CV ». C’est le tournant. Mis à l’essai, Patrick se montre très compétent et d’une « polyvalence » précieuse. Il fait ses preuves et impressionne ses collègues. « Depuis qu’il est là, on reçoit plus de compliments de nos clients. C’est simple, tout passe par lui », explique la cheffe d’agence. L’intéressé semble épanoui : « C’est un environnement dont je rêvais depuis tout gamin. »

• Ce vendredi 25 juin, une boutique Free vient d'ouvrir ses portes au 55 rue Dombey au centre-ville de Mâcon.

• Inès a 17 ans, ses notes sont bonnes pour son lycée mais pas assez pour les grandes écoles. Sans réseau, elle se bat pour trouver des stages à Paris, comme dans une grande école privée de mode et de luxe, "pour compenser (son) retard".

• L’association à la tête de la plus grande école Loubavitch d’Europe, une communauté juive ultraorthodoxe, fait l’objet de dizaines de signalements à Paris. Une enquête est ouverte depuis août par le parquet pour « abus de confiance », « travail dissimulé » et « escroquerie ». La mairie a décidé la fermeture de l’une de ses trois crèches.

• Avec plus de 50 ans de pratique, la reine Margrethe II est devenue une artiste textile reconnue dans la paramentique. La reine de Danemark coud, brode et conçoit des vêtements et des textiles liturgiques. Une maison d’édition sort un livre reprenant ses plus belles créations. La reine Margrethe II a reçu ce livre ce 7 février à Amalienborg.

• Ceux qui étaient dans la confidence depuis plusieurs semaines ont su rester discrets. Jeudi soir, Sandra Barot, maire de Préchac depuis 2001, a annoncé qu’elle démissionnait de ses fonctions...

• Noël Mamère, qui fut étudiant de Jacques Ellul à l’université de Bordeaux et qui milita à ses côtés, a retrouvé le grand penseur et précurseur de l’écologie dans sa maison de La Marière à Pessac. Interview posthume.

• Âgé de 38 ans, Grégory Lanter a intégré le Club dès la fin de ses études, en 2004.

• Michel et Bernard arrivent dans le service d'hommes du docteur Roland Lanter en 1961. Un professeur décrit par ses pairs comme progressiste et novateur. Roland veut justement expérimenter une nouvelle forme de cure de dégoût à destination de "deux catégories de malades difficiles : les pervers sexuels délinquants et les éthyliques chroniques." Michel et Bernard sont des cobayes tout trouvés.

• Une carrière courte, certes, mais quelle carrière pour Bastien Fuster ! L’ailier, au moment d’arrêter sa carrière professionnelle à 29 ans, aura remporté une finale d’accession et un titre de PROD2 sous les couleurs de l’Aviron Bayonnais. Et même si la suite ne sera pas inscrit à son palmarès, du haut de ses 26 matchs en deux ans, il aura aussi grandement aidé le club de Rouen à se maintenir à ce niveau-là. 

• Georges Jacob est né le 9 février 1942 à Strasbourg. Il a grandi avec sa sœur Marlyse et ses frères Raymond et Eddy. Il a effectué son service militaire pendant 18 mois à Fréjus. Au retour,...

• Pendant deux siècles, le service militaire a touché toutes les familles et presque tous les Français. Il en sortait quelques expressions restées dans les mémoires comme : « Faire ses classes », « La corvée de chiottes » « La quille », « Le trois jours », « Les permissions » et bien d’autres plus ou moins grivoises. Si tout cela est étranger aux nouvelles générations, les plus de 40 ans s’en souviennent. Et pour cause, ils font partie des appelés du contingent. Ces Gardois n’ont pas oublié leur passage sous les drapeaux.

• Jean-Claude Bouret naît à Saint-Jean-de-Losne le 21 septembre 1936. Il poursuit ses études à Dijon et devient expert comptable. Il part pour le service militaire en République Centrafricaine puis se marie le...

• C’est l’histoire d’un avenir tout tracé où le jeune Vincent a pris goût à la cuisine dans la ferme-auberge de ses parents à Lémestroff. De l’école hôtelière de Metz en passant par La Klauss avec un parcours lors de son service militaire à Rastatt où il a continué...

• Une septuagénaire décédée depuis plusieurs semaines dans sa maison à Châtel-Moron, un village de la Côte chalonnaise, a été retrouvée le corps en partie dévoré par ses chiens.

• Au DFCO, personne n'a affronté la nouvelle star du PSG, Lionel Messi. Sauf l'entraîneur des gardiens, Grégory Coupet. Pour France Bleu Bourgogne, il raconte ses confrontations avec l'Argentin. Et notamment un coup-franc direct, entré depuis dans l'histoire.

• La Chèvrerie des Bois Pâturés, une nouvelle ferme, a ouvert ses portes le 1er mai, à Servance-Miellin. Frédéric Charvey et Carine Roland y commercialisent leurs produits issus d’un élevage de chèvres.

• Le chocolat Mascarin célèbre cette année ses 20 ans. Mascarin a su allier le chocolat avec des saveurs locales pour le plus grand plaisir des gourmands.

• Georges Lopez, né le 11 janvier 1922, a fêté ses 100 ans au domaine de Massac, en compagnie de ses amis, des membres et des bénévoles dévoués du club équestre et d’Alexia Morabito, responsable animation de l’institut Claude-Pompidou, à Nice.

• Magnaud a 22 ans lorsque la guerre contre la Prusse éclate en 1870. "Il fait tout pour être mobilisé, c'est un vrai patriote." Il se retrouve dans la garde mobile, affectée à la défense des places fortes et des villes, du maintien de l'ordre intérieur. La IIIe République est proclamée le 4 septembre et c'est tout un modèle de société qui est à construire. Le jeune homme est prêt à tout pour défendre la République, et prendra ensuite part aux combats jusqu'à l’armistice signé le 28 janvier 1871. Le lieutenant Magnaud est démobilisé et reprend ses études.

• Gardien titulaire du Rayo Vallecano et international macédonien, Stole Dimitrievski (28 ans) est annoncé au Barça par la presse de son pays. Selon le quotidien macédonien Ekipa, tout est bouclé pour sa signature au FC Barcelone et Dimitrievski aurait déjà fait ses adieux à ses coéquipiers.

• La nouvelle équipe municipale du Haut-Bréda, élue le 15 mars dernier, sous la conduite de Sandrine Thilly, a officiellement pris ses fonctions lundi dernier.