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Citations sur le ses - Page 33

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• Quand on essaye de raconter ses souvenirs d'enfance, il ne reste plus que des phrases bien ordonnées, quelques fragments passés au crible des structures du langage.

• Un homme se marie pour avoir un foyer mais aussi pour ne plus être embêté par ses problèmes de sexe ou autres affaires de ce genre.

• Qu’y a-t-il derrière l’ambition ? C’est cela qui fait sens. Derrière celle du Cid, il y a la trahison, la morgue, le goût pour la guerre et le fracas des armes. Derrière celle de la reine Constance et de ses Bourguignons, il y a l’avidité, l’hypocrisie et l’oppression. Derrière celle de Chimène Nuñez, il y a une femme que tu as aimée et que tu aimes encore, qui amasse les bijoux, l’or, les brocards et les châteaux ; quête sans but d’une femme qui sait qu’elle lira un jour dans tes yeux : « je ne t’aime plus »… Derrière la mienne, il y a un dessein : voir les deux peuples de ce pays et ses deux religions, vivant en paix sous l’égide d’un prince fort : Toi ! Je t’appuierai pour cela ; je suis la seule à pouvoir le faire ; je t’apporte les musulmans d’Espagne…

• Qui paye ses dettes n'a vraiment pas autre chose à foutre !

• L’homme heureux, c’est celui qui aide sa femme à passer le manteau de fourrure qu’elle a acheté avec ses économies de jeune fille juste avant leur rencontre.

• Le fouet a cet avantage sur les caresses. Ses tracent durent longtemps.

• La fortune à ses lois asservit tous les temps.

• Il vaut mieux fortifier ses points forts que combler ses points faibles.

• Il faut toujours tâcher de former ses projets de façon que leur réussite même soit suivie de quelque avantage.

• Coeur et raison se valent parfois Le coeur a ses raisons Et la raison a coeur de lui forcer le pas.

• L’écriture d’un roman n’est pas fonctionnelle. Le style n’est pas le vêtement mais la peau d’un roman. Il fait partie de son anatomie comme ses entrailles.

• Le boeuf n'est pas particulièrement intelligent, c'est un ruminant, ses pensées sont nourries de foin.

• L'erreur est plus entêtée que la foi et n'examine pas ses croyances.

• Qu’est-ce que Dieu fait donc de ce flot d’anathèmes Qui monte tous les jours vers ses chers Séraphins ?

• Sur la flèche qui l'atteint l'oiseau reconnaît ses plumes.

• L'être humain a besoin d'être flatté, sinon il ne devient pas ce qu'il est destiné à devenir, pas même à ses propres yeux.

• Si l'envie pouvait regarder fixement le soleil, elle ne verrait que ses taches.

• L'homme est un gros sot pensant, mes amis ! Conscient de l'absurdité de son existence et de l'absence de toute finalité, il se couvre les yeux d'un voile anesthésique afin d'échapper à ses angoisses.

• La filature est, de toute évidence, un concept d'origine anglaise puisqu'il s'agit d'un art qui consiste à garder ses distances.

• A coudre du vieux, on perd son fil ; à aimer un vieux, on perd ses nuits.

• L'homme qui est fier de sa vertu devient souvent un fléau pour ses voisins.

• Qu'est-ce que ça peut fiche qu'il ait une jolie femme ! Entre hommes, on ne se complimente que sur ses maîtresses.

• L'humain déborde de résignation et possède, enfouie dans ses fibres les plus secrètes, la vocation de la douleur.

• Diminuez les maux du peuple, vous diminuez sa férocité, comme vous guérissez ses maladies avec du bouillon.

• L'avenir de notre pays, son dynamisme économique durable dépendent de notre capacité à fédérer tous ses talents.

• La vie est un conte de fée qui perd ses pouvoirs magiques lorsque nous grandissons.

• La vie ne dévoile jamais ses embûches et ses fatalités.

• Quand la compétition est farouche entre deux rivaux, le gagnant est celui qui a le plus grand contrôle de ses émotions.

• Ni épées, ni grands éléphants, ni cavalerie, ni fantassins, n'aident autant qu'intelligence pour réussir dans ses desseins.

• Emporter avec soi son accent familier, C'est emporter un peu sa terre à ses souliers ; Avoir l'accent, enfin, c'est chaque fois qu'on cause, Parler de son pays en parlant d'autre chose.

• Mirabeau aimait avec force : c'est une de ses faiblesses.

• La liberté, c'est la faculté de choisir ses contraintes.

• Barbare ou civilisé, l'homme n'a jamais su ni façonner le monde à la mesure de son coeur, ni façonner ce coeur à la mesure de ses désirs.

• Si l’homme ne façonne pas ses outils, les outils le façonneront.

• On compte plus facilement ses moutons que ses amis.

• Le rêve est la forme sous laquelle toute créature vivante possède le droit au génie, à ses imaginations bizarres, à ses magnifiques extravagances.

• Quand on est belle, on reste trop concentrée sur ses produits, ses extensions, ses ongles pour avoir le temps de penser à autre chose. C'est le privilège des moches, elles n'ont que ça à faire

• Etre le maître de ses caprices est exquis, être leur esclave est mieux encore.

• L'esprit achève ses propres pensées, en les mettant au-dehors.

• Conversation. Foire où chacun propose ses petits articles mentaux, chaque exposant étant trop préoccupé par l'arrangement de ses propres marchandises pour s'intéresser à celles de ses voisins.