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Citations sur le ses - Page 26

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• La mer : une grande dame qui prend trop ses aises. Elle n'a pas besoin de tant de place pour produire la moule et l'oursin.

• Qui peut s'oublier soi-même Peut aussi oublier ses problèmes.

• Toute âme est otage de ses actions.

• Un homme porte son âge dans ses os, une femme sur son visage.

• Le danseur n’a-t-il pas ses oreilles dans ses orteils !

• Dans une cohue, on ne peut penser qu'à ses orteils.

• On quitte d’abord la maison de ses parents, et ensuite, parfois, on quitte la maison de son premier mariage, et c’est toujours la même peine qu’on ressent, celle de se sentir, une fois pour toutes, orphelin.

• Quoi de plus original que le bien délicatement fait ? N'est-ce point se distinguer de ses semblables que de les aimer ?

• C'est déjà grand savoir que s'orienter dans le dédale de ses ignorances.

• Ecrire, c’est mettre en ordre ses obsessions.

• La civette dépose ses ordures, à la source où elle a bu.

• Quand on entame une relation durable avec un orchestre dont on est directeur musical, on est garant de son unité. Il faut comprendre son fonctionnement, sa psychologie, ses points forts et ses points faibles.

• Le directeur musical ne peut plus se contenter de diriger ses concerts et s'en aller. Il doit s'impliquer dans la vie de l'orchestre et dans son rayonnement à l'extérieur.

• Dieu laissa-t-il jamais ses enfants au besoin ? Aux petits des oiseaux il donne leur pâture, Et sa bonté s'étend sur toute la nature.

• Quand le loup enseigne aux oies leurs prières, il les croque pour ses honoraires.

• Quand une femme montre ses seins, elle croit qu'elle offre son coeur.

• On a souvent plus d'envie de passer pour officieux que de réussir dans les offices, et souvent on aime mieux pouvoir dire à ses amis qu'on a bien fait pour eux que de bien faire en effet.

• Le pauvre sera odieux à ses proches mêmes, mais les riches ont beaucoup d'amis.

• Chacun de nous ignore la couleur de l'iris de presque tous ses amis. L'oeil est regard : il n'est oeil que pour l'oculiste et pour le peintre.

• Écrire, c'est mettre en ordre ses obsessions.

• On peut connaître la vertu d’un homme en observant ses défauts.

• On n’a que l’âge de ses obsèques.

• Tout a ses merveilles, l’obscurité et le silence aussi.

• J'ai toujours été en conflit avec l'Eglise, ses dogmes, son jeu du pouvoir, ses réactions obscurantistes.

• L'ère du numérique a créé un nouveau monde qui bouleverse l'ensemble de l'industrie médiatique, son économie comme ses usages.

• On peut tout savoir sur la cellule nucléaire et être atteint de cécité galopante en ce qui concerne ses plus proches.

• Lorsqu'une langue meurt avec ses couleurs, ses nuances, le peuple meurt aussi.

• On a beau noyer sa raison dans le vin, on n’y noie pas le sujet de ses peines.

• Jamais on n'aimera celui qu'on a mis en nourrice comme celui qu'on a nourri sous ses yeux.

• C'est du rêve enfanté par un désir nourri d'espoir que le génie tire ses accents les plus émouvants.

• La politesse de l'Anglais, c'est l'impassibilité du visage et de la voix. Il trouve autant d'impudeur à montrer ses émotions qu'en éprouverait une nonne à exhiber ses jambes aux passants.

• L'Italien noie ses soucis dans la nonchalance, le Français dans les chansons et l'Allemand dans la boisson.

• Le nom est plus qu'une désignation de la personne. Il est indissolublement lié à l'être. Nommer quelqu'un, nommer un objet, c'est le connaître à fond, jusque, dans ses parties les plus secrètes.

• La pureté des intentions d'un auteur est à rechercher dans la noirceur de ses brouillons.

• Tout écrivain, pour écrire nettement, doit se mettre à la place de ses lecteurs.

• Un bon escroc est un farceur ironique qui se joue de la distraction, de l’impertinence, de la naïveté ou de la nervosité de ses contemporains.

• Le néologisme, c'est la langue qui fait ses besoins.

• Le rêve conscient côtoie la réalité et corrige ses côtés négatifs.

• On ne gouverne jamais une nation contre ses habitudes.

• Quand une nation perd ses conteurs, elle perd ses enfants.