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Citations sur le ses - Page 144
Il y a 35192 citations sur le ses.
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Les troupeaux transhumants appartiennent tantôt à de riches propriétaires ou capitalistes, tantôt à de petits cultivateurs de Provence, qui les confient à un bayle ou berger chef qui, à ses risques et périls, conduit les troupeaux, loue les pâturages, etc., en un mot se charge de l’estivage moyennant une redevance.
Marchand (Garde général des forêts — « Le Pâturage dans les Alpes » -
Entre ses quatre porteurs,[…], il était entré à Hurtebise, étendu sur son échelle en façon de bayard, la tête recouverte d’un sac.
Jean Rogissart — Hurtebise aux griottes -
David avait adossé au mur mitoyen de cette espèce de cuisine un fourneau à bassine en cuivre, sous prétexte de dépenser moins de charbon pour refondre ses rouleaux, ...
Balzac — Les Illusions perdues -
Cette année, le musée présente ses dernières acquisitions : une nouvelle vitrine de fossiles du bassin parisien, une fluorine verte de Madagascar, une superbe plaque de quartz Vera Cruz du Mexique, un bloc d’argent natif, une baryte bleue de Roumanie, etc.
www.lepopulaire.fr — Des trésors de pierres au musée - Eymoutiers (87120) -
[…] ; deux bandelettes serrant ses cheveux ondés sont prises sous l'étole et vont s'entrecroiser par-derrière à la chute des reins.
Gustave Flaubert & Maxime du Camp — Nous allions à l'aventure par les champs et par les grèves -
Elle demeurait là quelques secondes, hésitante, avec l'envie de monter et de le surprendre comme l'autre fois, quand la bande tournait sur le magnétophone. Peut-être passait-il ainsi ses après-midi à regarder les bandes noires se dérouler dans le silence.
Patrick Modiano — Une jeunesse -
La société Cabon, qui assure ses terrassements, et développe le béton banché (béton armé que l’on vien couler entre deux supports verticaux), trouve là des nouvelles conditions, pour continuer à aller de l’avant
Ouest-France.fr — Le Folgoët. Une nouvelle orientation pour la société Cabon -
Ce mur faisait aussi office de lieu de rencontres le soir. Parfois, Gracinha, son amie de toujours, l'invitait à venir y rencontrer l'aventure. Mais sa mère veillait au grain. Il n'était pas question d'y laisser la prunelle de ses yeux balocher le soir dans les rues.
Alain Claude — Mon frère d'âme -
Selon Noséda , cité par M. de Azara, le balanceur doit être regardé comme le meilleur musicien entre les oiseaux chanteurs du Paraguay , et certainement, dit-il, comme le seul qui puisse surpasser le rossignol. La dénomination de balanceur lui vient de l’habitude qu’a le mâle, au temps des amours, de s’élever soir et matin à la hauteur d’un jet de pierre pour exécuter ses balancemens.
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Si elle n’avait jamais évoqué sa balafre auparavant, c’est sans doute parce que cette dernière ne cesse de lui rappeler une terrible épreuve qu’elle a dû endurer par le passé. « Quand j’étais petite, j’ai eu une tumeur bénigne, et j’ai dû me faire opérer pour l’enlever. Aujourd’hui, je ne la vois même plus ». À l’époque, la jolie brune n’avait que 5 ans. Heureusement, cette cicatrice n’a pas été un frein à sa réussite. Bien au contraire. Fière de son corps et de ses imperfections, elle n’a pas hésité à se lancer dans une carrière de mannequin.
Public.fr — Cristina Cordula : une mystérieuse balafre sur le visage et pas des moindres… - Public.fr -
On la haïssait donc, en cet Occident de terreur millénariste, elle la baguenaudeuse réjouissant ses fanatiques lecteurs d'Angoulême, mais pas la clique de ceux qui avaient des tribunes dans les journaux.
Muriel Cerf — Une passion -
Une indéniable sérénité se reflétait sur ses traits. Peut-être était-ce l’apaisante influence du cigare dont la bague rouge , ornée dun somptueux écu gaufréd'or , indiquait sans discrétion le prix .
Francis Carco — . Messieurs les vrais devrai -
allouer tant à une veuve pour ses bagues et joyaux
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[…], l’inconnu avait dans toute sa personne quelque chose d’efféminé ; […]; il portait un jabot et des manchettes du plus beau point d’Angleterre, des bagues à plusieurs de ses doigts, et de petites boucles d’or à ses oreilles.
Julie de Quérangal — Philippe de Morvelle -
Elle était sans doute malheureuse, que lui manquait-il ? Son amant perdu, ceux qu'elle a eus et qui l'ont quittée à leur tour ? Ses aventures sans lendemain dont elle est sortie plus meurtrie que grandie ?
Clara Dévi — Enfance meurtrie : récit -
Héritier de sa vaste clientèle, le jeune homme repoussa toujours les avances de César, et ne cessa, dans les assemblées, dans les fêtes religieuses, d'animer ses compatriotes contre les Romains.
Jules Michelet — Histoire romaine -
Depuis combien d’années sévit-il ? Vingt ans avec certitude. Peut-être trente ou quarante ans même. Personne ne le sait. Mais la légende de Max le Suisse, cet autostoppeur bonimenteur qui déleste les automobilistes de leurs euros après leur avoir vendu ses déboires imaginaires, s’est récemment enrichie de nouveaux chapitres en Languedoc.
midilibre.fr — "C’est un papi, on ne se méfie pas, mais il prend notre argent" : sur la piste de Max le Suisse, l’autostoppeur arnaqueur - midilibre.fr -
Ses «arselettes», ce sont ses guêtres, comme le sens de la phrase l'indique suffisamment.
Anatole France — La vie littéraire -
« Nous avons vu, en effet, que, avant Lamarck, la science n'expliquait aucun des phénomènes de la vie. On avait dû supposer que toutes les espèces aujourd'hui connues avaient été créées successivement, et chacune en possession de tous ses caractères actuels. Lamarck a véritablement trouvé le fil d'Ariane du labyrinthe universel. (...) ».
Roger Martin du Gard — Jean Barois -
André Courrèges brise les courbes ondoyantes de ses lignes architecturées, tandis […]
Emmanuelle Giulliani — A la lumière des femmes-fleurs -
L’architectonographie des prisons n’est point en effet une science de poète ; elle est tout à fait étrangère aux trois ordres, et c’est ailleurs qu’à Rome qu’elle va chercher ses inspirations.
L’Artiste — volumes 11 à 12 -
La trompette est un instrument à vent, en cuivre, à embouchure et à pistons.(…) Ses ancêtres sont le salpinx grec, la buccina romaine, l’araine médiévale….
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L'ignoble tentative d'égorgement arabophobe du Val-de-Marne est le résultat du laisser-aller raciste dans la sphère publique. La classe médiatico-politique doit se ressaisir. Pensées émues pour la famille de la victime et ses proches. Exigeons justice et tenons loin de nous le…
ladepeche.fr — VIDEO. "Espèce de sale bougnoule"... Un septuagénaire interpellé après avoir tranché la gorge d'un jardinier au cutter - ladepeche.fr -
Ainsi, les vieux se remémorant à la muette leur jeunesse et les jeunes travaillant au loin dans les campagnes, le village dormait abandonné, avec ses fenêtres closes et ses portes ouvertes, sa rue vide, ses venelles désertes, et ses grandes cours où ne gloussaient pas même les poules, qui à cette heure vagabondent dans l’herbe des pâtures ou s’aponichent dans l’ombre des étables.
Jean Richepin — Miarka -
Autour de ses tempes, de ses oreilles, de ses yeux, sa peau prit des teintes de cire. Elle connut d'autres misères secrètes, dont elle fut humiliée, et la fièvre la visita tous les jours. Les médecins appellent ça de l'anémie tropicale.
P. Mille — Barnavaux et quelques femmes... -
C. N. Ouspenski, dans ses Esquisses, donne une approbation très intéressante et très neuve au mouvement antimonastique et antimonacal.
Aleksandr Aleksandrovich Vasiliev — Histoire de l'Empire byzantin -
Il est dans la richesse des palais magnifiquement fenestrés et balconnés, où des générations de princes ont accumulé des œuvres d’art ; dans le gigantesque des églises où les savantes ordonnances, les gemmes étincelantes, les tableaux de maîtres et les statues claironnent toutes les gammes du beau incomparable ; dans la fière domination des campaniles qui angélusent dans l’azur incorruptible du ciel ; il réside dans la gloire des paysages vermeils, dans les Golfes d’or, de soufre et d’émeraude, les rivages frangés d’argent où la mer rôde, comme une louve ardente à lécher ses petits.
Bibliothèque universelle et revue suisse — 1911 -
Cette névrose [la névrose d'angoisse] procède soit par crises, souvent soudaines et raptus, laissant le malade brisé et redoutant la mort subite, la folie, l'abolition de ses moyens d'existence ou de sa vie sociale, soit par périodes prolongées d'hyperémotivité, sans cause extérieure, évoluant souvent vers un état habituel d'inquiétude, sinon d'affolement, avec besoin de protection et d'assistance... Porot1960.
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Les angles de ses lèvres semblaient tirés, ses mâchoires étaient contractées […]
Out-el-Kouloub — « Zaheira » -
Cette gravité de l’œuvre poursuivie par le prolétariat ne saurait convenir à la clientèle jouisseuse de nos politiciens ; ceux-ci veulent rassurer la bourgeoisie et lui promettent de ne pas laisser le peuple s’abandonner à ses instincts anarchiques.
Georges Sorel — Réflexions sur la violence -
[Ils] voguaient vers ces climats où l’océan pour eux sur l’ambre et le corail roulait ses flots heureux.
Casimir Delavigne — Paria -
Sa tige est droite , quelquefois hispide , divisées en un petit nombre de rameaux, sur chacun desquels est placée une feuille en alène. Ses fleurs sont jaunes; les calices glabres ; les pétales oblongs , assez grands et entiers ; les siliques oblongues et gonflées aux semences.
Antoine Delarbre — Flore d'Auvergne: ou -
Et si cela pouvait être, cet homme que nous n'aurions tenu qu'à l'aimable état de chrysalide, pour voler de ses propres ailes, il lui eût fallu sortir du cocon de sa pensée?
André Breton — Les Manifestes du Surréalisme -
Au seuil des lupanars débite ses morales, , Comme un bouvier crie ahuro !
Petrus Borel — Champavert: contes immoraux -
Tous deux professaient une estime sincère et profonde pour la truffe. — La truffe, cette végétation sourde et mystérieuse de Cybèle, cette maladie savoureuse qu’elle a cachée dans ses entrailles plus longtemps que le métal le plus précieux, cette exquise matière qui défie la science de l’agromane, comme l’or celle des Paracelse ; la truffe, qui fait la distinction du monde ancien et du moderne, et qui, avant un verre de Chio, a l’effet de plusieurs zéros après un chiffre. — (Charles Baudelaire, La Fanfarlo, 1847 ; Gallimard, 2012, collection Folio, page 60.)
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Elle avait l’art de dissimuler si naturellement, qu’il était impossible de pénétrer ses pensées, et que ses plus secrètes affidentes ne surent rien de ses inclinations naissantes.
Esprit Fléchier — Mémoires de Fléchier sur les grands jours tenus à Clermont en 1665-1666 -
Il fit si bien qu’il sut à n’en pas douter que c’était Heudicourt qui l’avait mandé; et il en fut d’autant plus piqué que, pour faire sa cour à sa mère, ce mauvais ange de madame de Maintenon, et à madame de Montgon sa sœur, il l’avait adomestiqué, protégé, et, chose fort étrange pour le maréchal, il lui avait souvent, non pas prêté mais donné de l’argent dont il était toujours fort dépourvu par sa mauvaise conduite et l’avarice de son père qui mangeait tout à son âge avec des créatures.
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Mais aussi de ces erreurs savantes et des procès ecclésiastiques où succombèrent tant de martyrs de leurs propres facultés, résultèrent des preuves éclatantes du pouvoir prodigieux dont dispose l'être actionnel qui, suivant Lambert, peut s'isoler complètement de l'être réactionnel, en briser l'enveloppe, faire tomber les murailles devant sa toute-puissante vue; phénomène nommé, chez les Hindous, la tokeiade au dire des missionnaires; puis, par une autre faculté, saisir dans le cerveau, malgré ses plus épaisses circonvolutions, les idées qui s'y sont formées ou qui s'y forment et tout le passé de la conscience.
Honoré de Balzac — Louis Lambert -
(figuré) Il accompagnait ses réprimandes de coups de poing qu’il me donnait dans le cou, en m’appelant tête d’achôcre ; voulait-il dire achore ?
François-René de Chateaubriand — Mémoires d’outre-tombe -
Jour et nuit, elle était assise, accouvée comme une vieille poule sur ses richesses...
G. Bernanos — La joie