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Citations sur le S. M. - Page 2
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UNOVISTES S. m. pl. (Anatomie et Physiologie) branche des physiciens ovistes, qui ne diffèrent des infinitovistes qu'en ce qu'ils veulent que chaque œuf soit un petit hermitage habité par un solitaire inanimé, soit mâle ou femelle, et formé peu après la naissance de celle qui le porte. Tout ce système est fondé sur ce que quelques observateurs prétendent avoir à l'aide du microscope, découvert l'embrion formé dans l'œuf avant qu'il ait été rendu fécond par le mâle ; mais ces faits prétendus et difficiles à constater, continue l'auteur de l'art de faire des garçons, sont détruits par d'autres faits incontestables, et par des raisons aussi convaincantes que les faits.
L’Encyclopédie — 1771 -
UNOVISTES S. m. pl. (Anatomie et Physiologie) branche des physiciens ovistes, qui ne diffèrent des infinitovistes qu'en ce qu'ils veulent que chaque œuf soit un petit hermitage habité par un solitaire inanimé, soit mâle ou femelle, et formé peu après la naissance de celle qui le porte. Tout ce système est fondé sur ce que quelques observateurs prétendent avoir à l'aide du microscope, découvert l'embrion formé dans l'œuf avant qu'il ait été rendu fécond par le mâle ; mais ces faits prétendus et difficiles à constater, continue l'auteur de l'art de faire des garçons, sont détruits par d'autres faits incontestables, et par des raisons aussi convaincantes que les faits.
L’Encyclopédie — 1771 -
EMPORE, s. m. (emporium) t. de physiol. on donnait ce nom à un réservoir que l'on supposait destiné à recevoir les esprits animaux filtrés par la pulpe médullaire de toute la substance cendrée du cerveau.
Dictionnaire universel de la langue française — 1835 -
ÉCLECTE s. m. (é-klè-kte
du gr. eklektos — choisi). Ornith. Nom scientifique d'une section du genre perroquet -
MANIOLLE, s. m. Espèce de truble dont on se sert à Brest et à Bayonne, pour prendre des prêtrots ou éperlans bâtards, qui se tiennent près des bâtimens ou des quais.
Jean Baptiste Philibert Willaumez — Dictionnaire de marine -
TAUMALIN ou TAOMALI, s. m. ce mot en langage caraïbe, signifie sauce, à quoi la graisse des crabes & des tourlouroux a beaucoup de rapport par son état naturel ; aussi dit-on communément dans le pays un taumalin de crabe, un taumalin de tourlouroux ; cette substance étant cuite, n’a point le fastidieux des autres graisses ordinaires : c’est une espece de farce composée par la nature dans le corps des animaux de l’espèce des chancres ; elle n’a besoin d’aucun assaisonnement ; sa délicatesse surpasse celle des sauces les plus fines ; son goût est exquis, & ne peut se comparer.
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SOUTRE. — S. m. On appelle soutres, les poutres sur lesquelles, dans les caves, on pose les tonneaux pour les élever au-dessus du sol. — (Francisque Mège, Souvenirs de la langue d’Auvergne, Auguste Aubry, Libraire-Éditeur , Paris , 1861)
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SOUTRE. — S. m. […] On appelle aussi soutre une espèce de sous-main, buvard ou portefeuille sur lequel les hommes d’affaire [sic] posent leur papier pour écrire, et dans lequel ils placent leurs notes. — (Francisque Mège, Souvenirs de la langue d’Auvergne, Auguste Aubry, Libraire-Éditeur, Paris, 1861)
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LEVENTI ou LEVANTI, s. m. (terme de relation.) soldat turc de galère qu’on rencontre en assez grand nombre dans Constantinople. Comme ces gens-là ne sont que de la canaille qui court sur le monde le coutelas à la main, le gouverneur de la ville a permis de se défendre contre eux, & l’on les met à la raison à coups d’épée & de pistolets. On a encore un moyen plus sage d’éviter leurs insultes, c’est de se faire escorter par des janissaires, qui ne demandent pas mieux, & pour lors on peut se promener dans Constantinople en toute sureté.
L’Encyclopédie — 1751 -
LEVENDI, s. m. (Hist. mod.) nom donné par les Turcs à leurs forces maritimes ; ils y admettent les Grecs & les Chrétiens sans distinction, ce qu’ils ne sont point dans leurs troupes de terre, où ils ne reçoivent que des Mahométans.
L’Encyclopédie — 1751 -
SICILIQUE, s. m. (Poids anc. & mod.) sicilicum ; sorte de poids qui chez les anciens pesoit deux drachmes, ou six scrupules. Le sicilique des modernes, & dont les Apothicaires se servent, pese un sextule & deux scrupules. (D. J.)
« Sicilique » — in L’Encyclopédie -
CHANVRETTES, ou LINET BOUCASSINÉ , s. m. & f. ( Toile. ) Toiles légeres de Picardie, qu'on blanchit quelquefois , & que l'on consomme souvent en écru ou teintes.
Encyclopédie méthodique: Manufactures — arts et métiers ; errata -
CÉRAUNIA. s. f. ou CÉRAUNIAS, s. m. (du gr. κεραυνίας, foudre). Minér. Pyrite ou sulfure de fer radié, regardé comme une substance métallique, qui a la propriété de faire feu sous le briquet. | Nom de certaines astéries et haches de pierre appelées aussi céraunites.[…]CÉRAUNITE. s. f. Minér. Nom donné à des pierres que les anciens croyaient être tombées du ciel avec la foudre.| Pétrification du genre des bélemnites.V.céraunia.< > Louis-Nicolas Bescherelle< > Dictionnaire national ou Grand Dictionnaire classique de la langue française
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DÉMÉTRIUM, s. m. Quelques chimistes ont donné ce nom au cérium.
Antoine-Jacques-Louis Jourdan — Dictionnaire des termes usités dans les sciences naturelles -
vire-vire, s. m. Nom par lequel les marins désignent les endroits de la mer qui forment des tournan[t]s d’eau, qui entraînent tout ce qui est près de cette sorte de tourbillon faisant l’entonnoir. Voy. Gouffre.
Jean-Baptiste-Philibert Willaumez (comte — Dictionnaire de marine -
Pour un « niaquoué », S. M. l’Empereur Bao Dai n'est que l’exécutant des volontés françaises, l’exécuteur de nos plus basses œuvres.
Étiemble — Hygiène des lettres -
NONAGONE, s. m. (Gramm.) figure de 9 angles & de 9 côtés. On dit plus communément ennéagone. Voyez ce mot.
« Nonagone » — dans L’Encyclopédie -
cariset. s. m. (ka-ri-zè). Étoffe de laine croisée d’Écosse = Créseau, carsaie.
Dictionnaire des dictionnaires — tome premier (A-F) -
CÉRAUNIA. s. f. ou CÉRAUNIAS, s. m. (du gr. κεραυνίας, foudre). Minér. Pyrite ou sulfure de fer radié, regardé comme une substance métallique, qui a la propriété de faire feu sous le briquet. | Nom de certaines astéries et haches de pierre appelées aussi céraunites.CÉRAUNIE. s. f. (ét., V. céraunia). Minér. Sorte de pierre précieuse des anciens.| Sorte de pierre brunâtre dont les anciens se servaient pour faire des frictions dans les engorgements du genou, du sein, etc.
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BEGHILER-BEGHI ou BEGLER-BEG ; ou BEGLERBEY, ou enfin comme on prononce souvent même en Turquie, BEYLER-BEY. s. m. &c. La Boullaye écrit béglerbeg. C’est chez les Turcs un Gouverneur de Province. Un béglerbey a sous lui plusieurs sangiacs, ou gouverneurs particuliers.
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COGUENOSCO ou CONGUENOSCO, s. m. Sorte de mastic, composé de brai gras, goudron ou huile, avec résine et suif, mêlés dans une chaudière de potin.
Dictionnaire de marine — 1831 -
MONACHELLE, CASTAGNOLLE, CHROMIS, s. m. (Hist. nat. Icthiolog.) poisson de mer auquel on a aussi donné le nom de castagne, parce qu’il est de couleur de chataigne ; il ressemble au nigroil par la forme du corps, par le nombre & la position des nageoires ; mais il en diffère en ce qu’il n’a point de taches noires sur la queue, & par les yeux qui sont plus petits. Il a l’ouverture de la bouche & les écailles petites, les côtés du corps sont marqués de lignes droites, qui s’étendent depuis les ouies jusqu’à la queue. Ce poisson a la chair humide, il est petit & très-peu recherché.
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MORDEHI, s. m. (Medecine.) Les Indiens appellent de ce nom une espece de langueur d’estomac qui leur est très-familiere ; elle est principalement occasionnée par les grandes chaleurs qui provoquent des sueurs abondantes, sur-tout lorsquelles sont suivies de froid ; & si dans ces circonstances les Indiens font le moindre excès dans le boire ou le manger, surtout le soir, leur estomac affoibli & relâché ne peut pas le digérer sans peine & parfaitement, & donne par-là lieu à des diarrhées fréquentes & très-opiniâtres.
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REMISEUR (re-mi-zeur), s. m. Celui qui loue des remises, des voitures.
Émile Littré — Dictionnaire de la langue française -
TOURNE-FEUILLET, s. m. touffe de petits rubans attachés au haut de la tranche d’un livre, ou à une espèce de petit peloton ; on passe les rubans entre les feuillets du livre, & ils indiquent où l’on en est resté de sa lecture.
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LANTERNISTE, s. m. (Hist. litt.) nom d'académiciens établis à Toulouse. Ils prirent ce nom des petites lanternes avec lesquelles ils se rendoient à leurs assemblées qui se tenoient la nuit.
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VAGINIFORMES, adj. et s. m. pl., Vaginiformia (vagina, gaine, forma, forme). Nom donné par Lamarck [Jean-Baptiste de Lamarck] et Latreille [Pierre-André Latreille] à une famille de polypiers, comprenant ceux dont les polypes forment des tiges fistuleuses et flexibles qui contiennent ces animaux dans leur intérieur.
Antoine-Jacques-Louis Jourdan — Dictionnaire des termes usités dans les sciences naturelles -
QUILBOQUET, s. m. (Menuiserie.) c'est un instrument dont les Menuisiers se servent pour sonder le fonds des mortoises, & voir si elles sont taillées quarrément; il est fait de deux petits morceaux de bois dont l'un traverse l'autre à angles égaux.
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LOCRENAN, s. m. (Com.) grosse toile de chanvre écru qui se fabrique à Locrenan en Bretagne; elle a 30 aunes de long, sur deux aunes et demie de large; on l'emploie en voiles pour barques petites & grandes, & chaloupes.
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ADIAPHORISTES, s. m. pl. (Théol.) nom formé du Grec ἀδιαφορος, indifférent, d’ἀ privatif, & de διάφορος, différent.On donna ce titre dans le xvj. siecle aux Luthériens mitigés qui adhéroient aux sentimens de Melanchton dont le caractere pacifique ne s’accommodoit point de l’extrème vivacité de Luther. Depuis en 1548, on appella encore Adiaphoristes les Luthériens qui souscrivirent à l’Interim que l’Empereur Charles V. avoit fait publier à la Diete d’Ausbourg.
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MASTICATOIRE, s. m. (Thérapeutique & Pharmatie.) espece d’apophlegmatisme par la bouche, ou de remede propre à exciter une évacuation par les excrétoires de la bouche, c’est-à-dire les différentes glandes salivaires. L’action simple & méchanique de la mastication, l’action de mâcher à vuide, ou de mordre un corps tenace ou plus ou moins resistant, qui ne répand dans la bouche aucun principe médicamenteux, suffit pour faire couler abondamment la salive.
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TOQUOTS, s. m. pl. (Voy. Cloches et Bâlotte).
Vocabulaire du Berry et de quelques cantons voisins — 1842 -
ESCHILLON, s. m. Nom que les matelots donnent dans les mers du Levant, à un météore fort dangereux pour la navigation. C'est une nuée épaisse, d'où sort une longue queue, qui s'allonge jusqu'à la mer & qui en tire l'eau comme une pompe.
Manuel lexique ou dictionnaire portatif des mots françois — 1750 -
ANDAILLOT, s. m. Cringle. Anneau, bague en bois placée sur la ralingue des voiles, et qui sert à les enverguer.
Pierre-Marie-Joseph de Bonnefoux — Dictionnaire de marine à voiles et à vapeur : marine à voiles -
ARAME, s. m. Palais des rois perses. Ce mot correspond au sérail des Turcs.
Napoléon Landais — Dictionnaire général et grammatical des Dictionnaires Français -
KUL ou KOOL, s. m. (Hist. mod.) en turc, c’est proprement un domestique ou un esclave. […] Nous lisons dans Meninski que ce nom est commun à tous les soldats dans l’Empire ottoman ; mais qu’il est particulier à la garde du grand-seigneur & à l’infanterie. Les capitaines d’infanterie & les capitaines des gardes, s’appellent kûl zabitlers, & les gardes, kapu kûlleri, ou esclaves de cour. D’autres auteurs nous assurent que tous ceux qui ont quelques places qui les approchent du grand-seigneur, qui tiennent à la cour par quelqu’emploi, qui sont gagés par le sultan, en un mot, qui le servent de quelque façon que ce soit, prennent le titre de kûl ou kool ,ou d’esclaves,& qu’il les éleve fort au-dessus de la qualité de sujets.Un kûl ou un esclave du grand-seigneur,a droit de maltraiter ceux qui ne font que ses domestiques; mais un sujet qui maltraiteroit un kûl ,seroit séverement puni.
L’Encyclopédie — 1751 -
SOMMISTE, s. m. (Chancel. rom.) c’est le principal ministre de la chambre romaine, pour l’expédition des bulles ; il en fait faire les minutes, les fait recevoir, & plomber.
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SALAMANDRINS, adj. et s. m. pl., Salamandrina. Nom donné par Muller [sic : Müller] [1832] à une famille de Reptiles nuds, qui a pour type le genre Salamandra.
Antoine Jacques Louis Jourdan — Dictionnaire raisonné -
HIEROMENIE, s. m. (Antiq.) ἱερομήνια, nom donné au mois dans lequel on célébrait les jeux Néméens ; c'était le même mois que le Boedromion des Athéniens, qui correspondait au commencement de notre mois de Septembre.
« Hiéroménie » — dans L’Encyclopédie -
Babilo, P. & Haile, S. M. Enhanced sintering of yttrium-doped barium zirconate by addition of ZnO. J. Am. Ceram. Soc. 88, 2362–2368 (2005).
Nature — High proton conduction in grain-boundary-free yttrium-doped barium zirconate films grown by pulsed laser deposition | Nature Materials