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Citations sur le rossignol

Il y a 32 citations sur le rossignol.

• Dans la langue, un mystère, un vieux trésor se trouve Chaque année, le rossignol revêt des plumes neuves, mais il garde sa chanson.

• Ils* rendent le bruit même agréable au silence.

• Dans un monde sans mélancolie, les rossignols se mettraient à roter.

• Ni tous les rossignols ne chantent également bien, ni toutes les roses ne sentent également bon.

• On peut discuter des limites du beau, mais le chant du rossignol s'imite très bien au moyen d'un bouchon frotté contre un verre.

• Ce n'est pas en ouvrant la gorge d'un rossignol que l'on découvrira le secret de son chant.

• Un poète est un rossignol qui, assis dans l'obscurité, chante pour égayer de doux sons sa propre solitude.

• Trois choses sont impossibles d'acquérir : le don de la poésie, la générosité, un rossignol dans la gorge.

• Le rossignol reste fidèle à sa compagne, aussi longtemps qu’il est enfermé dans la même cage.

• Le rossignol chante mieux dans la solitude des nuits qu'à la fenêtre des rois.

• Quand le rossignol a vu ses petits, il ne chante plus.

• Un homme sans patrie, c’est un rossignol sans chanson.

• C'était le rossignol et non pas l'alouette.

• Mieux vaut chanter en bon chardonneret qu'en piètre rossignol.

• Les pies ne doivent pas défier le rossignol.

• Rossignol, le plus harmonieux des oiseaux, toi dont la voix n'est qu'un sanglot, viens

• Si j'étais rossignol, j'accomplirais l'œuvre du rossignol ; si j'étais un cygne, celle du cygne. Mais je suis un être raisonnable, je dois chanter Dieu.

• Nous sommes mieux avec un rossignol que sans rossignol.

• Les commandements de Dieu s'inscrivent aussi dans le ramage des rossignols.

• Le rossignol, à chaque instant, chante sur une rose différente.

• Quadrumane : Qui a quatre mains. Exemple : le rossignol n'est pas quadrumane.

• Chaque année, le rossignol revêt des plumes neuves, mais il garde sa chanson.

• Trois choses sont impossibles à acquérir : le don de poésie, la générosité, un rossignol dans la gorge.

• Pour chanter le rossignol n'ouvre qu'un petit bec.

• Le Rossingnolest trou qu'on fait entre queue fondement doit communiquer avec boyauce trou fait grosse gouge rougir Garsault Nouveau Parfait Maréal

• [Au mauvais chanteur:] tu chantes comme un rossignol à gland

• Cinquante églises paroissiales collèges hôpitaux ou couvents ont désormais leur orgue Dix à quinze jeux ne sont pas chose rare non plus que les montres de seize pieds Le goût du temps fait apparaître détonnantes sonorités Il y a Saint-Eustache un Rossignol et deux «soleils avec cymbales» Jean Favier Paris Deux mille ans histoire

• Ce dernier, ayant remarqué que les marchandises démodées, les rossignols, s’enlevaient d’autant plus rapidement que la guelte donnée aux commis était plus forte, avait basé sur cette observation un nouveau commerce.

• Le brigadier a hésité. Il a fini par se décider à entrer, en se servant d’un rossignol.

• Six années m’ont appris à reconnaître, dans le trille rauque, dans la courte gamme chromatique descendante que jette, dès février, un gosier d’oiseau, la voix du grand chanteur, un rossignol d’Auteuil fidèle à son bosquet, un rossignol dont la voix, au printemps, illumine les nuits.

• Le Rossignol et l’ÉpervierUn rossignol perché sur un chêne élevé chantait à son ordinaire. Un épervier l’aperçut, et, comme il manquait de nourriture, il fondit sur lui et le lia. Se voyant près de mourir, le rossignol le pria de le laisser aller, alléguant qu’il n’était pas capable de remplir à lui seul le ventre d’un épervier, que celui-ci devait, s’il avait besoin de nourriture, s’attaquer à des oiseaux plus gros. L’épervier répliqua : « Mais je serais stupide, si je lâchais la pâture que je tiens pour courir après ce qui n’est pas encore en vue. »Cette fable montre que chez les hommes aussi, ceux-là sont déraisonnables qui dans l’espérance de plus grands biens laissent échapper ceux qu’ils ont dans la main.

• LE MILAN ET LE ROSSIGNOLAprès que le Milan, manifeste voleur,Eut répandu l'alarme en tout le voisinageEt fait crier sur lui les enfants du village,Un Rossignol tomba dans ses mains, par malheur.Le héraut du printemps lui demande la vie :« Aussi bien que manger en qui n'a que le son ?Écoutez plutôt ma chanson ;Je vous raconterai Térée et son envie.— Qui, Térée ? est-ce un mets propre pour les Milans ?— Non pas, c'était un Roi dont les feux violentsMe firent ressentir leur ardeur criminelle :Je m'en vais vous en dire une chanson si belleQu'elle vous ravira : mon chant plaît à chacun. »Le Milan alors lui réplique :« Vraiment, nous voici bien : lorsque je suis à jeun,Tu me viens parler de musique.— J'en parle bien aux Rois. — Quand un roi te prendra,Tu peux lui conter ces merveilles.Pour un Milan, il s'en rira :Ventre affamé n'a point d'oreilles.