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La zone est également un habitat de choix pour divers organismes. On y retrouve des algues microscopiques qui forment le point de départ de la chaîne alimentaire – le réseau trophique marin – qui est nécessaire à la survie des espèces présentes sur le territoire comme les ours polaires, les phoques et les morses. l-express.ca — La plus grande zone de protection marine est au Nunavut
Notre dépendance au plastique imprègne le réseau trophique océanique depuis trop longtemps. Or, ce problème semble avoir été largement sous-estimé. Il y a quelques semaines, une étude publiée dans la revue Limnology and Oceanography Letters a en effet suggéré que la quantité de microplastiques est en réalité un million de fois plus importante que prévu dans les eaux du globe. Il y aurait à ce jour en moyenne 8,3 millions de morceaux de plastique dans mille litres d’eau océanique. Sciencepost — Les microplastiques ne sont pas sans conséquences pour les poissons
Rien d’exceptionnel à découvrir cette espèce dans le secteur, donc, d’autant plus qu’elle aime « particulièrement les milieux rocailleux mais peut s’adapter à d’autres biotopes, notamment dans les jardins. Elle joue un rôle important dans le réseau trophique en régulant notamment les populations de petits rongeurs. » actu.fr — Insolite : un serpent aperçu dans le centre-ville du Mans | Les Nouvelles de Sablé
Les maladies complexes, en raison de leur étiologie multifactorielle, nécessitent de nouveaux outils capables d'exploiter de grands ensembles de données quantitatives pour esquisser l'équivalent d'un «réseau trophique» en écologie, c'est-à-dire un réseau d'interactions entre diverses cellules et protéines. Une «boîte à outils» pour l’aide au diagnostic dans les maladies complexes | UdeMNouvelles
Les microplastiques – les morceaux qui mesurent entre 0,001 et 5 millimètres – sont de plus en plus abondants dans l’environnement. Nous savons qu’ils intègrent les mers et océans lorsque les plus gros objets se désagrègent, victimes du stress physique induit par le mouvement des vagues et le rayonnement solaire. En outre, des milliards de fibres plastiques (celles de nos vêtements lavés en machine) intègrent également le réseau trophique océanique après avoir échappé aux traitements des eaux usées. Sciencepost — Le simple fait d'ouvrir une bouteille en plastique libère des milliers de microplastiques