Accueil > Citations > Citations sur la redistribution

Citations sur la redistribution

Il y a 62 citations sur la redistribution.

• Beaucoup d’Américains ne comprennent toujours pas qu’ils sont appauvris par un système de redistribution qui avantage outrageusement un très petit nombre de personnes extrêmement riches.

• Face à la montée des inégalités, le gouvernement semble ériger un barrage aux initiatives de redistribution de la richesse.

• Dans la danse complexe et délicate de la société, la fiscalité tient le rôle maître, orchestrant l'imposition et la redistribution des charges publiques.

• La voie sociale-démocrate de la flexisécurité de l'emploi, couplée à une redistribution qui fasse prévaloir un principe de justice sociale à l'encontre des excès de la valeur actionnariale, est le chemin qui distinguera l'Europe dans la mondialisation de ce premier XXIe siècle.

• Face à la démesure des inégalités territoriales, la péréquation se pose en rempart, cherchant l'équilibre dans la redistribution des ressources et des charges.

• L'impôt progressif, cet outil de la redistribution des richesses, est un levier que l'Etat actionne pour rééquilibrer les écarts de revenus.

• Marquée par l'immigration cubaine et haïtienne, Miami est une ville d'affaires tournée vers l'Amérique latine et les Antilles. Nœud aérien entre les Amériques, c'est aussi le premier port mondial de croisières (6 millions de passagers par an). [...] Sans industrie ancienne, dans port de commerce majeur, grignotant les espaces fragiles des Everglades, menacée par les tempêtes tropicales, lieu de conflits ethniques entre Cubains et Noirs (Américains ou Haïtiens), lieu de redistribution des narcodollars recyclés aux Bahamas, Miami est, pour certains géographes, un autre exemple paradigmatique de la ville post-moderne.

• Privé du métier de chansonnier qu’il aime tant en raison de la pandémie, Éric Masson souhaite une meilleure redistribution des sommes de 400 millions $  du plan de relance annoncé par la ministre Nathalie Roy. Tout en reconnaissant l’importance de la création, il souhaite que les interprètes, comme lui, puissent aussi pouvoir garder la tête hors de l’eau d’ici le retour des spectacles.

• Parallèlement, Zoomici vient de mettre en œuvre l'interconnexion des stocks de tous ses clients distributeurs permettant la mise en place d'un système de circularisation de tous leurs stocks. Ce qui autorisera leur redistribution sur d'autres places de marché et évitera ainsi les rebuts : « Nous nous inscrivons pleinement dans une démarche de RSE et d'économie circulaire. Nous avons désormais la taille et la puissance de distribution nécessaires. Ce qui n'était pas le cas jusqu'ici », précise Grégory Orand, le président fondateur de la société valentinoise.

• Celui-ci s’est renforcé en matière de fiscalité avec la concentration de l’impôt progressif sur de moins en moins de contribuables, alors même qu’une étude de l’Institut Vauban a démontré que l’impôt proportionnel était considéré comme le plus juste par plus de 80 % des Français. Et surtout que dire du niveau de redistribution «sociale», près de 800 milliards d’euros chaque année, on l’a vu!

• Quand on interroge la population sur les leviers à actionner par les entreprises pour s’engager dans l’économie positive, c’est l’empreinte environnementale qui remporte les suffrages (90%), suivie des conditions de travail et du bien-être des équipes à égalité avec le développement des connaissances (89%), de la définition et du partage d’une vision stratégique à long terme (88%), de l’équilibre dans la redistribution des bénéfices de l’entreprise (87%), de l’innovation des produits et des services (84%).

• L’une des causes de l’engluement de l’Afrique dans la pauvreté réside dans le fait qu’une bonne partie de la population est, de fait, « exclue » de la sphère de redistribution des richesses et de le vie civique, parce que ne disposant pas de documents d’identité officiels.

• La dernière étude d'Oxfam montre qu'il existe un grand fossé entre les stratégies de lutte contre la pauvreté et les inégalités avec, d'un côté, des démarches visant à plus de redistribution et, d'un autre, les approches misant sur l'enrichissement des individus.

• Si les pays de l'Europe du Nord se distinguent par un fort niveau de dépenses sociales, comme en France, l'une des différences majeures est l'universalisme sur lequel est fondé leur protection sociale. A l'inverse, écrit Pierre Cahuc, la France a historiquement bâti son Etat providence dans une logique corporatiste qui nuit à la transparence et au sentiment de juste répartition de la redistribution sociale.

• Nicolas Siegler, Directeur Général Adjoint Maif en charge des Solutions et Systèmes d'information, explique comment ses équipes et lui ont réagi face à la crise du Covid-19. De la mise en place du télétravail à la réorganisation du portefeuille de projets, en passant par la livraison d'un nouveau système pour gérer la redistribution de 100 millions d'euros à ses sociétaires, la société d'assurance a dû mener de front de nombreux chantiers IT. L'adoption d'un fonctionnement agile au sein de la DSI et plus largement de la Maif a joué un rôle clef pour relever tous ces défis.

• On doit ajouter à cela l’appauvrissement et l’endettement net des classes moyennes, qui sont le socle de notre système. Nicolas Sarkozy le disait en son temps, les classes moyennes sont «trop riches pour être pauvres, trop pauvres pour être riches», c’est un corps social disparate, avec de nombreuses personnes vivant très bien, mais une grande partie, révélée par les gilets jaunes, ne s’en sortent plus en raison de l’augmentation du coût de la vie (apparition des forfaits internet et autres objets multimédias) ainsi que de la hausse continue des impôts. Ce qui est inquiétant c’est qu’elle ne profite jamais de la redistribution des richesses ; le cas des aides aux étudiants en est un triste constat. Il suffit de lire l’interview de Louis Chauvel au Figaro Vox pour constater que la classe moyenne, en France, n’est pas soutenue correctement par les gouvernements successifs.

• Le Parlement arménien a levé l’immunité parlementaire de Gaguik Tsaroukian, leader du principal parti d’opposition, et l’a placé en détention provisoire pour délits financiers et achat de votes en 2017. L’opposant étant aussi un richissime homme d’affaires, certains observateurs estiment que la redistribution des richesses a commencé dans le pays.

• Simone Wapler : Ce terme de solidarité a complètement été vidé de son sens. On a oublié que la solidarité implique un lien réciproque. Désormais, on ne s’épaule plus les uns les autres. On est passé à une autre étape : la redistribution forcée. La preuve est qu'on menace de graves poursuites les contribuables qui ne payent pas leurs impôts. Le système redistributif français confine les individus dans l'assistanat perpétuel. Et le pire, c'est que malgré les milliards déversés, le système ne fonctionne pas. Les urgences médicales sont en grève, le chômage est élevé, l’école dégringole dans les classements internationaux…

• La pandémie de Covid-19 va-t-elle affaiblir ou renforcer l’attractivité de l’Eure-et-Loir ? Alors que l’après-crise promet d’insuffler de profondes mutations (télétravail, relocalisations, etc.) dans le paysage économique et démographique de la France, quel rôle peut espérer jouer le département dans cette redistribution des cartes ?

• La répartition, qualifiée aussi de système bismarckien, ne sera d'ailleurs pas instaurée en France par le CNR comme on aime à le rappeler, mais imposée par le régime de Vichy, après avoir pillé les caisses par capitalisation des ouvriers et des paysans. Le CNR n'a fait que généraliser la loi Belin de 1941 qui avait instauré l'Allocation pour les vieux travailleurs salariés, une redistribution intergénérationnelle qui constitue la naissance de notre système de retraite actuel.